Lorsque Steve Bannon s'est lancé dans sa tournée d'unification des partis populistes européens en mars dernier, il a prononcé son premier discours public à Zurich, déclarant que la Suisse était le point de départ de la lutte antimondialiste et que son peuple avait dit non à l'adhésion à la Communauté européenne par référendum en 1992.
Aujourd'hui, elle risque de reculer encore davantage, car les Suisses se préparent à abandonner les traités internationaux au profit des lois nationales.
Nos remerciements à Info
Savoureux dans le reportage BBC d’entendre Bannon nommer Blocher le Dr. Blocker, prononciation à l’américaine.
Un titre qui lui revient, Dr Blocker, ou en français Dr Bloqueur, celui qui a bloqué l’adhésion de la Suisse à l’UE.
Les juges étrangers ne sont PAS supérieurs aux décisions populaires des 2/3 des cantons suisses souverains. On va envoyer au diable les juges des “droits de l’homme musulman” qui veulent nous imposer le grand remplacement. Votez OUI à l’initiative UDC pour la démocratie suisse!
http://www.europe-israel.org/2018/10/reportage-certaines-villes-britanniques-sont-totalement-islamisees-la-diversite-a-completement-disparu-90-des-habitants-sont-musulmans-video/comment-page-1/#comment-534172
N’oubliez jamais que tous les journalistes étrangers s’abreuvent auprès des sources journalistiques suisses, lorsque ces derniers ne sont pas à temps partiel “correspondants” pour une feuille de chou étrangère.
Donc, la BBC a probablement concocté son reportage avec des interlocuteurs venus du Temps ou autres officines de désinformation professionnelle.
Régulièrement, les journalistes suisses leur rendent la pareille: ils font une “revue de presse” en reprenant LEURS PROPRES TEXTES parus dans la presse étrangère et ensuite expliquent au gens “regardez ce que les médias étrangers disent de nous!”
Les Anglais de la BBC feraient mieux de se demander plutôt comment est-ce qu’un minuscule pays sans accès direct à la mer, quasiment sans matières premières ni hydrocarbures dans ses sols, sans avoir jamais colonisé aucun pays tiers et pas membre de l’UE-RSS, a fait pour être l’un des pays les plus prospères au monde. Peut-être que lorsque le Royaume-Uni se sera enfin extirpé du diktat bruxellois, les petits journaleux de la BBC pourront venir nous demander des conseils lors d’un reportage.
N’étant pas de nationalité suisse mais française, je repense plus que jamais ces temps-ci à la manière dont un de vos génies, grand humaniste, C.G Jung définissait l’esprit de la Suisse dans “L’âme et la vie” , c’est à dire la conviction de la permanence du territoire et la manière de le rendre solide, en échappant aux influences délétères . Pour reprendre en quelque sorte un autre de ses titres: “Les racines de la conscience”…En France nous avons eu aussi des génies et j’espère qu’aux prochaines européennes (puisque nous n’avons pas de votation) l’esprit de ces génies se réveillera, de même qu’il parlera fort le 25 novembre prochain chez vous.
“Les Suisses se préparent à abandonner les traités internationaux.”
Sont un peu menteurs la BBC. Ils ne parlent pas encore de camps d’extermination mais ça va pas tarder…
En parlant de droit international :
“La Turquie s’enracine et étend son influence dans le nord syrien (…) : protectorat de facto de la Turquie dans le nord de la Syrie.”
https://www.romandie.com/news/ZOOM-La-Turquie-s-enracine-et-tend-son-influence-dans-le-nord-syrien/966444.rom
“La Turquie s’enracine et étend son influence dans le nord syrien
Un garçon marche le long d’une rue dans la ville d’Azaz, dans le nord de la Syrie, près de la frontière turque, le 16 octobre 2018 / © AFP / Nazeer AL-KHATIB
“La fraternité n’a pas de limites”. La phrase est soigneusement peinte en arabe et en turc sur un mur de la ville d’Azaz, située au cœur du protectorat de facto de la Turquie dans le nord de la Syrie.
Enseignement du turc dans les écoles, implantation de l’opérateur mobile Turk Telekom… Le rôle d’Ankara dans cette région sous contrôle rebelle ne cesse de s’étendre.
“Tout ici vient de chez nos frères turcs”, explique Mohammad Hamdan Keno, président du conseil local d’Azaz, à la frontière avec la Turquie.
Dans son bureau, le drapeau de la révolte syrienne avec ses trois étoiles côtoie celui de la Turquie, frappé d’une étoile et d’un croissant blancs.
Ankara a commencé à fournir un soutien humanitaire, politique et militaire à l’opposition syrienne peu après le début des manifestations anti-régime en 2011.
Mais son influence s’est amplifiée à partir de 2016 à la faveur d’une opération militaire conjointe menée par ses troupes et leurs supplétifs syriens contre le groupe jihadiste Etat islamique (EI) d’une part, et les combattants kurdes, d’autre part.
Ensemble, ils ont délogé les jihadistes des villes de Jarablos et d’Al-Rai, avant de conquérir cette année l’enclave kurde adjacente d’Afrine.
Un vendeur de lignes téléphoniques Turk Telekom dans la ville d’Azaz, dans le nord de la Syrie, près de la frontière turque, le 16 octobre 2018 / © AFP / Nazeer AL-KHATIB
– “Garantie pour nos enfants” –
La Turquie a maintenu des soldats et membres des services de renseignement dans la région, et continue de soutenir la police locale.
Des institutions étatiques et sociétés privées turques s’y sont également installées.
A Jarablos, le principal hôpital, désormais géré par une direction turque, arbore des portraits du président Recep Tayyip Erdogan. Et la ville est éclairée par un réseau électrique installé par Ankara.
Un projet similaire, encore embryonnaire, est en cours d’exécution à Azaz par AK Energy, une société privée turque. D’un coût de trois millions de dollars, il a déjà permis de raccorder au réseau plusieurs quartiers de la ville, affirme M. Keno.
Selon lui, la Turquie a par ailleurs aidé le conseil de la ville à paver des routes, rénover des mosquées et réhabiliter des salles d’écoles endommagées par les combats.
Des combattants syriens soutenus par la Turquie devant le siège du Conseil local d’Azaz, dans le nord de la Syrie, le 16 octobre 2018 / © AFP / Nazeer AL-KHATIB
“Ils ont fourni des bureaux, des livres, des cartables, des ordinateurs et des imprimantes”, énumère le responsable local.
En guise de reconnaissance, le conseil de la ville a introduit l’enseignement de la langue turque dans le cursus scolaire destiné aux 18.000 élèves d’Azaz et de ses environs.
“Nous avions auparavant deux langues étrangères dans notre programme: l’anglais et le français”, mais il a récemment été décidé de “remplacer le français par le turc”, indique M. Keno.
Il s’agit d’une “garantie pour l’avenir de nos enfants”, d’autant que “la Turquie est désormais l’Etat parrain”.
Illustrant le phénomène, la plupart des panneaux dans les rues sont bilingues, et les résidents ont de plus en plus recours à des puces téléphoniques turques.
“La demande est soutenue”, se félicite le représentant de Turk Telekom, Ahmad Hadbeh. “Nous avons érigé des tours (de télécommunications) à Al-Bab, Azaz et Jarablos”.
Un employé turc du service postal national turc (PTT), à Azaz, ville du nord syrien sous contrôle rebelle, le 16 octobre 2018 / © AFP / Nazeer AL-KHATIB
– “Sorte de mandat” –
Pour Ahmet Yayla, professeur à l’université DeSales aux Etats-Unis, la Turquie table sur le long terme.
“Toutes les administrations de ces villes sont dirigées par la Turquie. C’est une sorte de mandat”, dit-il à l’AFP. “Ces zones ne feront pas officiellement partie de la Turquie”, mais Ankara y “règnera de facto”.
Sur le plan commercial, cette tutelle se traduit par des échanges accrus avec la Turquie.
Le principal centre commercial à Azaz regorge de produits turcs: sucreries, riz, vêtements et produits ménagers.
Salim Horani y vend du tissu, des chaussures et des équipements industriels importés de l’autre côté de la frontière.
“Les produits en Turquie sont beaucoup plus abordables” que ceux venant de l’intérieur de la Syrie, assure-t-il.
Certains Syriens de la région se font même livrer leurs vêtements et autres produits par le biais du service postal national turc (PTT), qui a récemment ouvert une succursale à Azaz.
(©AFP / (29 octobre 2018 09h51)”
Pourquoi utiliser ce terme de populiste dénigrateur. Nous sommes la dernière démocratie réelle existante, voilà le vrai terme. Et bien nous serons 3 à voter oui, dont deux bi-nationaux qui ont déjà voté pour faire élire M. Salvini!
Ah! Si seulement.
Ce terme manipulateur de populiste est particulièrement réducteur et manipulateur, nous ne sommes pas des populistes mais des souverainistes démocrates à contrario des gauchistes crétins manipulés par la mafia des banksters internationaux! Bande d’abrutis qui pensez défendre la veuve et l’orphelin alors qu’en réalité vous défendez les intérêts des familles les plus riches de notre petite planète! Qui a financé Marx? Qui a financé Lénine? Qui a financé Trotski? Qui a financé Mao? Qui a financé la pseudo révolution bolchevique? Qui a financé les révolutions oranges? Il faut commencer à vous réveiller bande de bisounours incultes et ignares!!!
Restons positifs !
Nous attendrons avec impatience les résultats des votations du 25 novembre prochain.
Je voterai OUI à l’autodétermination !
Notre Constitution est le garant d’une stabilité et d’une sécurité sans pareil face à l’UE !
Notre Liberté et Indépendance n’ont pas de prix !
Cela ferait bien mal aux fesses de tous les gauchos moralisateurs en grand nombre dans ce pays , si cela s’avérait vrai. Malheureusement je doute fort, que cela soit le cas, vu le nombre de moutons que l’on y trouve. On va s’enfoncer bien plus profond dans ce qui est la plus grande maladie mentale de tout les temps, le socialisme. Et comme toujours le socialisme amènera à la dictature. Préparez-vous.