Christian Hofer : Contrairement à ce que prétend Reuters, cela ne vise pas à rapprocher Israël de la Hongrie puisqu'Israël avait déjà dénoncé Soros par le passé (sources ici et ici). On est très loin du "philanthrope" que les médias de gauche tentent sans cesse de nous vendre.
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Israël soutient la Hongrie : le financier Soros est une menace.
Le ministère israélien des Affaires étrangères a publié une déclaration dénonçant le milliardaire américain George Soros, une mesure qui semblait destinée à rapprocher davantage Israël de la Hongrie avant la visite du Premier ministre Benjamin Netanyahou à Budapest la semaine prochaine.
Soros, un juif d'origine hongroise qui a dépensé une grande partie de sa fortune pour financer des groupes [...] (Christian Hofer : Je censure ici la propagande de gauche visant à transformer cet individu en "philanthrope".), a été pris pour cible à plusieurs reprises par le gouvernement hongrois de droite, en particulier pour son soutien à une immigration plus ouverte.
Dans le dernier cas, le Premier ministre Viktor Orban a soutenu une campagne dans laquelle Soros est pointé du doigt comme un ennemi de l'Etat : "Ne laissons pas Soros rire le dernier" disent des panneaux publicitaires à côté d'une photo de l'investisseur de 86 ans. Les associations juives ainsi que d'autres groupes prétendent que cette campagne encourage l'antisémitisme.
Soros, qui parle rarement des attaques personnelles à son encontre, n'a pas commenté les panneaux d'affichage, mais des groupes juifs hongrois et Human Rights Watch, une organisation partiellement financée par Soros, ont condamné la campagne, affirmant qu'elle "évoque les souvenirs des affiches nazies pendant la Seconde Guerre mondiale".
L'ambassadeur d'Israël en Hongrie a publié une déclaration dans laquelle il dénonce la campagne, affirmant qu'elle "évoque de tristes souvenirs, mais qu'elle sème aussi la haine et la peur", une référence apparente au rôle de la Hongrie dans la déportation de 500 000 Juifs pendant l'Holocauste.
Mais quelques heures plus tard, le ministère israélien des Affaires étrangères a publié une "clarification" déclarant que Soros était une cible légitime des critiques.
"La déclaration (de l'ambassadeur) ne visait nullement à délégitimer la critique de George Soros, qui sape continuellement les gouvernements démocratiquement élus d'Israël." a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Emmanuel Nahshon, ajoutant que Soros finançait des organisations "qui diffament l'Etat juif et cherchent à lui refuser le droit de se défendre."
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Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch
”George Soros est une menace.”
Pour quelles raisons cette menace n’a pas été écartée et éliminée ?
Lorsqu’une minorité (un individu) arrive à influencer des millions d’autres, cela n’est plus du tout de la démocratie, surtout que M. Soros utilise TOUS les moyens pour y arriver, Y COMPRIS LA CORRUPTION !
Merci Ie ministre israélien des affaires étrangère, d’être plus courageux et intelligent que l’ambassadeur.
Pour ses partisans, critiquer Soros serait antisémite, mais par contre, critiquer Zemmour ce ne serait pas antisémite. Critiquer quelqu’un qui favorise leur politique et qui est juif serait antisémite, mais critiquer quelqu’un qui est juif aussi et qui s’oppose à leur politique ne serait pas antisémite. Ils sont vraiment de mauvaise foi.
Et chez nous, notre télévision d’état n’a de cesse d’inviter Manon Schick sur ses plateaux, une de nos ex conseillères fédérales travaille ouvertement pour une ONG de cet individu et tout le monde trouve cela normal… Eh bien moi je trouve cela très inquiétant!