Une association policière dénonce les violences commises contre les membres des forces de l'ordre et oppose aux revendications «anti-flics» le calme olympien d'un équipage policier copieusement insulté lors d'un contrôle, vidéo virale à l'appui.
Ce 17 octobre, l'association policière Mobilisation des policiers en colère (MPC) a décidé de publier sur ses pages Facebook et Twitter une vidéo non-datée tournée en pleine nuit lors d'un contrôle policier à Champigny-sur-Marne dans le quartier sensible des Boullereaux.
A l'image, on peut voir des jeunes qui insultent les policiers dans l'exercice de leurs fonctions alors qu'ils procèdent manifestement à un contrôle routier. L'individu qui filme les membres des forces de l'ordre les invective : «Voici une salope, sale pute, retourne-toi si tu es un homme, espèce de pute, montre un peu ta tête si tu es un homme, pétasse, sale pute.»
Un autre individu lève son majeur et proclame devant le contingent policier : «Nous, on nique les condés», puis : «Wallah on dirait un éducateur, wallah. Nous, on baise les condés.» S'ensuivent des ricanements et cette légende symptomatique à l'écran : «Boullereaux Champigny 94, ici les conder y fond pas les fou [sic]».
Dans une publication Facebook, l'association policière assume son intention de publier la vidéo et explique : «Ces jeunes ne sont ni harcelés, ni humiliés, ni contrôlés au faciès. Ces jeunes ne sont pas des victimes. Seulement cette fois leur publication peut être rendue publique, seulement cette fois nous espérons qu’ils assumeront, et que le peuple nous comprendra.»
MPC interpelle les internautes et propose : «Regardez cette vidéo, et mettez-vous une seconde à leur place. Ce n’est pas un cas isolé sachez-le… C’est ça tous les jours. [...] Nous sommes filmés à la moindre interpellation, même quand elle se passe bien, nous sommes accusés d’agression.»
Et de déplorer : «Nous voyons pulluler sur des pages anti-flics, antifa, anti-système [...] que les policiers ne se maîtrisent pas. Qu’ils sont des cow-boys, des gens sans sentiment et sans maîtrise de soi.»
En guise de conclusion, l'association de policiers en colère rappelle : «Nous sommes le dernier rempart, celui qui sépare le mal du bien, la malhonnêteté de la justice, l’ordurerie du respect. Nous œuvrons pour la sécurité de tous, mais sans moyen, sans soutien, jetés en pâture à la vermine délinquante.»
Massacrer ainsi la langue de Voltaire pour parler à son portable payé avec mes impôts, ça m’énerve.
Deux remèdes :
1) Retrait de la nationalité pour cause de crime contre la grammaire française.
2) Expulsion ad vitam aeternam hors d’Europe. Ils crâneront moins en face de policiers africains aguerris et ne couteront plus un sou au contribuable français.