Jeudi matin, quatre hommes ont attaqué plusieurs voyageurs sur la ligne S-Bahn S26. Un homme de 24 ans s'est présenté à l'hôpital avec un nez cassé.
Jeudi, à 9 h 20, une altercation physique a éclaté entre quatre personnes à la gare de Südkreuz. La bagarre a continué dans le train.
Coup de pied au niveau du cou. Ceux qui viennent en aide sont agressés.
Le quatuor, un Ethiopien et les trois Somaliens, ont continué à voyager. Un Berlinois qui se serait plaint d'une cigarette allumée aurait soudain reçu un coup de pied brutal au niveau du cou de la part d'un homme du groupe.
Alors que d'autres témoins voulaient intervenir, un autre Berlinois a été blessé. Le jeune homme de 24 ans a dû être hospitalisé avec un nez cassé et d’autres blessures au visage.
Frein d'urgence tiré
Peu après qu'un témoin de la station de S-Bahn Priesterweg ait tiré le frein d'urgence du train, la police fédérale a arrêté les quatre hommes. Auparavant, ils auraient également attaqué le conducteur du S-Bahn.
La police fédérale a engagé une procédure préliminaire pour blessures corporelles graves à l'encontre des hommes âgés de 18 à 28 ans.
Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Et une police armée dans tous les transports publics, prête à utiliser leur arme en cas de danger, mais qui ne serait pas poursuivie par une parodie de justice, même en cas de bavure ?
Bravo Messieurs des commentaires precedents ! Mais Nobel de la meilleure syntaxe qui parle de “la classe la plus arrieree de la societe”, avec mon experience a travers le monde , je ne puis que confirmer !
Armons-nous pour nous défendre !
La preuve que nous nous retrouvons seuls face à ces agresseurs issus de l’immigration de masse illégales.
10-15 ans de bagne pour ces racailles !
– Remigrations de TOUS les migrants illégaux
– Remigration de TOUS les migrants violents
C’est tellement enrichissant, ….tant que nous n’en sommes pas victimes nous-mêmes.
Et si vraiment nous sommes confrontés à cette violence innommable, il suffit de parler d’événements isolés, et d’ affirmer qu’il n’y a pas lieu de stigmatiser, ni de s’offusquer.
La démocratie est incompatible face à la classe la plus arriérée de la société. La seule réponse est le sabre.