Grâce aux réseaux de sa fondation Open Society, le financier et philanthrope américain place au sein de la Cour européenne des droits de l’homme des juges acquis aux principes du libre-échange et du sans frontiérisme.
L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) s’apprête à élire, mardi 9 octobre, trois nouveaux juges à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), au titre de la Norvège, de la Turquie et de l’Albanie. Chaque pays concerné par le vote doit désigner trois candidats (dont au moins une femme) et les soumettre à l’appréciation préalable d’un « panel d’experts » chargé de conseiller à l’Assemblée de voter pour l’un plutôt que pour l’autre. Un tel filtre, utile pour éviter que des juges peu qualifiés puissent de nouveau être élus, peut aussi donner lieu à un phénomène d’uniformisation culturelle ou idéologique des juges, recrutés selon les mêmes profils, fournis par les mêmes « experts ».
« George Soros investit particulièrement dans les petits pays »
Cette année, deux des trois candidats proposés par l’Albanie, Sokol Berberi et Darian Pavli se trouvent ainsi avoir occupé de hautes fonctions à l’Open society, le réseau de fondations créé par le financier et philanthrope américain George Soros. Comme l’explique un bon connaisseur des arcanes strasbourgeoises, « George Soros investit particulièrement dans les petits pays parce que leur voix compte autant que celles de la France ou de l’Allemagne et qu’il est plus facile d’y exercer une influence, eu égard à la corruption qui y sévit encore. » L’objectif étant de multiplier le nombre de juges, dont le mandat, non renouvelable, court sur neuf ans, sensibles à la vision du monde développée et soutenue par George Soros. En vingt-cinq ans, Open Society a investi 130 millions d’euros en Albanie, où elle dispose de bureaux. « L’Open society contrôle et finance de nombreuses filiales et organisations – Human Rights Watch ou Amnesty International pour les plus connues – qui, au-delà de leur action propre, œuvrent toutes à l’établissement d’une société toujours plus libérale et individualiste », poursuit l’expert.
Pour cela, un seul mot d’ordre : faire tomber les barrières, les frontières, les limites. A titre d’exemple, le European Implementation Network (EIN) et Open Society Justice Initiative (OSJI) organisent ce mercredi 10 octobre, pendant la session de l'Assemblée du Conseil de l'Europe, une conférence au sein même du Conseil intitulée « Les tribunaux comptent ! Améliorer la politique migratoire par les arrêts de la Cour européenne des droits de l'homme ». Une façon d'imposer aux Etats, par le biais du juge européen, une politique migratoire plus favorable au nomadisme qu’au contrôle des frontières. Le Letton Nils Muiznieks, ancien Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe (de 2012 à 2018) qui a exprimé sa réprobation aux autorités françaises quant à l’allongement de la durée de rétention pour les migrants, est un ancien directeur de l’Open Society.
Plusieurs juges déjà passés par l'Open society
Certes, la CEDH compte 47 juges (un par Etat membre du Conseil de l’Europe) mais la répartition en cinq sections fait qu’une affaire donnée ne relève en réalité que du travail de huit juges. Pour en rester à l’influence de George Soros, des juges actuellement en fonction comme le bulgare Yonko Grozev (élu en 2015), la croate Ksenija Turkovic (élue en 2013) ou la roumaine Iulia Antoanella Motoc, sont passés soit directement, soit par le biais d’organisations amies par les instances de l’Open Society. Une influence certaine permise par l’abondance de ses fonds ou les perspectives de carrière offertes. « Cette influence, qui contribue au progressisme de la CEDH ou du Conseil de l’Europe sur les questions migratoires ou sociétales, nuit à la crédibilité des instances européennes, notamment aux yeux des populations des pays de l’Est » conclut l’expert. Une défiance que partagent les Suisses, dont un referendum, le 25 novembre prochain, aura pour intitulé « le droit suisse au lieu de juges étrangers. »
Nos remerciements à Λlex Λ |
Vous prétendez que Soros est un philanthrope et un bienfaiteur?
Moi je le vois plutôt comme un misanthrope et un malfaiteur…
SOMMES-NOUS EN TRAIN DE VIVRE A NOTRE INSU UN SUICIDE COLLECTIF MONDIAL ?
Ce vieux Soros qui ne croit pas en Dieu, en train de crever à petit feu est sur le même chemin que Di Mambro à la tête du Temple Solaire, dont on pourrait se demander si ce n’était pas déjà l’émanation des délires de Soros. Avec le Dr. Jouret, une lopette qui fricotait avec le principal financier de la secte le pire était devenu possible. Toujours ces homos qui trahissent, ce qui d’une certain manière est intrinsèque à leur personnalité. C’est inquiétant tout autant que le pouvoir constant qu’ils prennent dans les médias et la politique. https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/13h15/13h15-du-dimanche-7-octobre-2018_2948649.html
Et le canard Soo Rosse était toujours vivant…
Le problème n’est pas que les masses bêlantes ne sont pas capables (occasionnellement) de faire preuve de bon sens. Le problème est qu’elle ne connaissent pas la réalité, qu’elles ne se réinforment pas sur des sites tels que lesobservateurs.ch . En effet, non seulement elles gobent toutes les conneries que raconte Rochebin (la TV a un effet hypnotique ultra-puissant), mais elles se prosternent devant le Grand Moralisateur : ce n’est pas pour rien que les premières paroles du prélât de la “grande messe” du 19:30 de hier soir mardi étaient les suivantes : “NOUS DEVONS ET NOUS POUVONS…” ! Ca, c’est de l’information ! (Insupportable comme dit Couchepin : https://lesobservateurs.ch/2018/10/06/medias-pascal-couchepin-ancien-conseiller-federal-en-critique-des-medias-complete-lesobservateurs-ch-audio-des-1150/).
Soros est l’emblème de l’ordure remplaciste, mais il n’est pas seul; on en parle parce qu’il fait un tapage pharisien autour de ses mauvaises actions. Mais il est dangereux, certes oui ! Il serait temps que quelque service secret nous en débarrasse.
Bon, ceci dit, la pourriture de cette europe des monopoles se remarque aussi à la prolifération des groupes de pression (in globish : lobbies) représentant les grands monopoles bancaires et industriels. Ces corrupteurs dépensent des sommes folles pour que des commissaires inventent des dispositifs juridiques tordus allant dans le sens de leurs intérêts et pour que les députaillons corrompus votent ces prétendues “lois”. L’UE est une tyrannie ploutocrate et un foyer de corruption. La CEDH est en effet l’instrument juridique pour que le système fonctionne, et il en ira ainsi tant que des pays imbéciles accepteront la suprématie du “droit communautaire” sur les droits nationaux.
En vérité, je vous le dis : la seule solution pour se sauver de cette tyrannie est : de ne jamais entrer dans cette europe des monopoles, et lorsqu’on a eu l’imprudence de s’y aventurer, d’en sortir, quel qu’en soit le prix à court terme.
Notre Monde va mal ! Une riche marionnette tire les ficelles et truque les cartes politiques.
Notre système est CORROMPU, il faut le reconnaître !
Nos démocratie sont en lambeaux, il faut le reconnaître !
Réagissons pendant qu’il est encore temps !
Je voterai pour l’autodétermination le 25 novembre prochain.
NON aux juges étrangers !
Notons au passage que le PLR et le PDC souhaitent placer le droit international de Georges Soros au dessus du droit suisse et de notre constitution!!! Espérons que pour une fois les masses belantes sauront faire preuve de bon sens! Je ne comprends pas donc je crois… Je crois aux conneries de la RTS! C’est pitoyable!
Juges politisés et corrompus jusqu’à l’os nommés par des politiques . Et moi qui croyais que dans une démocratie il y a une séparation des pouvoirs.