Après les mois d'un processus de confirmation dérapant de la plus odieuse manière dans sa dernière ligne droite, aujourd'hui le Sénat américain vient finalement de nommer Brett Kavanaugh à la Cour Suprême, en remplacement du juge Anthony Kennedy qui a pris sa retraite au 31 juillet.
"Comme si des millions de voix [de gauchistes] avaient soudainement hurlé de terreur et puis s'étaient éteintes aussitôt...comme si un drame terrible s'était produit." ― citation apocryphe d'Obi-Wan Kenobi, Star Wars, "Un Nouvel Espoir"
L'opposition au candidat choisi par Donald Trump alla jusqu'à perturber la tenue du vote en protestant depuis les gradins du Sénat, avant d'être évacués par la police. La confirmation eut lieu avec un vote de 50 contre 48, soit la plus petite marge d'élection pour un magistrat à la Cour Suprême depuis le XIXe siècle.
Brett Kavanaugh et sa famille, lors de la nomination du candidat par le Président Trump
Sur le papier les Républicains disposaient d'une majorité de 51 sièges contre 49, mais trois Sénateurs républicains hésitèrent à faire défection jusqu'au dernier moment. La Sénatrice de l'Alaska Lisa Murkowski fut finalement la seule élue républicaine à s'opposer à la nomination du juge, mais choisit de s'abstenir pour compenser l'absence du Sénateur du Montana Steve Daines qui soutenait Kavanaugh et ne put prendre part au vote, ayant quitté la capitale de Washington le vendredi pour retourner dans son État et assister au mariage de sa fille.
Brett Kavanaugh obtint même une voix démocrate, celle du Sénateur Joe Manchin de Virginie Occidentale.
Les médias se lamentent bien entendu sur l'élection du juge, mais il s'agit d'une victoire majeure pour Donald Trump et surtout pour le Constitutionnalisme aux États-Unis. La majorité à la Cour Suprême est désormais portée par cinq juges qui souhaitent appliquer la Constitution des États-Unis, contre quatre juges "progressistes", dont deux nommés par Obama, pour lesquels la Constitution américaine n'est qu'un vieux texte de loi qui ne doit surtout pas entraver l'action du gouvernement, spécialement s'il est de gauche.
Depuis des années, la Cour Suprême oscillait entre l'application et la non-application de la Constitution, en particulier à cause du juge Kennedy (que Kavanaugh remplace) et dont l'opinion variait selon les sujets. Selon de nombreux observateurs médiatiques, la plupart consternés évidemment, l'élection de Kavanaugh ancre l'institution dans son rôle traditionnel pour au moins dix ans.
L'élection du juge a bien sûr d'autres conséquences. Elle montre que les Républicains ont osé résister au terrorisme idéologique lancé par la gauche américaine pour détruire la réputation et la vie d'un homme qui a juste eu le malheur d'accepter de vouloir servir son pays.
Dans les dernières heures avant le scrutin, un avocat de gauche américain, Michael Avenatti, alla jusqu'à accuser Kavanaugh d'avoir organisé un réseau de viols collectifs alors qu'il était au lycée. Alors que les accusations proférées par Christine Blasey Ford - toujours dénuées de la moindre corroboration aujourd'hui - pouvaient sembler crédibles et susciter un certain doute au sein de l'opinion publique, le camp démocrate martela de nouvelles accusations de plus en plus hystériques dans l'espoir que le cumul de diffamation permettrait de faire échouer sa nomination.
Rappelons une fois encore que Brett Kavanaugh fut mis sous enquête six fois lorsqu'il accéda à ses différents postes de juge, et encore une septième fois cette semaine lorsque les Démocrates réussirent à arracher cette demande à la Commission du Sénat charger d'examiner sa candidature. Trump ironisa en disant qu'aucun nombre d'enquêtes ne pourrait suffire aux Démocrates tant qu'aucune ne prouverait ce qu'ils veulent, et il est difficile de lui donner tort.
Aujourd'hui, la défaite est totale et face à leur échec les Démocrates commencent à s'accuser entre eux. Si la justice américaine fait son travail, il se pourrait que certaines personnes soient poursuivies pour parjure et fausses déclarations. Si la parole des femmes agressées sexuellement s'est libérée depuis la vague #MeToo, et c'est fort heureux, il faudrait être de la dernière naïveté pour croire qu'aucune d'elle n'oserait jamais mentir à ce sujet - "la fin justifie les moyens" étant inscrit dans l'ADN de la gauche.
Loin des sentencieuses analyses des présentateurs télévisés, le grand public américain est très fâché de ce qui vient de se passer. Les accusations continuelles des Démocrates américains tombent à plat, étant donné qu'il est difficile de prétendre qu'un vote démocratique du Sénat est "fasciste" lorsque donner crédit à des accusations sans preuve et sans procès ne le serait pas.
La présomption d'innocence est importante aux États-Unis et le respect de la Constitution est encore vivace. L'échec des Démocrates à un mois des élections de mi-mandat présage le pire pour leur camp lors du vote qui se profile en novembre. Mais le plus amusant sera de lire ces prochains jours nos journalistes et éditorialistes s'étrangler pour admettre que Trump vient de gagner une bataille de plus.
Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 6 octobre 2018
Remake féministe du film « Le juge et l’assassin », il nous a été présenté en avant-première son pendant : « L’assassine et le juge », avec un scénario inversé où le juge était traqué.
Superproduction financée par les démocrates, avec un casting de pros et une intrigue cousue de fil blanc, le public a boudé la fin en quittant la salle et en exprimant son mécontentement.
Les circuits des salles obscures en on tiré la conclusion de ne vouloir diffuser ce film de politique fiction.
On parle, à mots couverts, dans le cénacle des producteurs… de flop suprême.
Et c’est heureux, cela promet d’améliorer encore et en bien la politique américaine
“La gauche américaine donne, depuis l’élection de Donald Trump à la présidence, un spectacle particulièrement répugnant.
Elle piétine la présomption d’innocence, déchire la Constitution, agresse physiquement des gens avec qui elle est en désaccord, diffame, menace, ment.
Elle était ainsi avant l’élection de Donald Trump. Elle l’avait montré sous la présidence de George Walker Bush. Elle l’avait montré auparavant aussi.
Mais son ignominie a atteint un degré d’intensité qui n’a pas de précédent depuis des décennies.
Même à l’époque de son hostilité envers Richard Nixon, elle n’était pas aussi déchaînée.
Ce qui a changé est que Barack Obama a été Président pendant huit ans et a pu, pendant ces huit années, placer des gens sans honneur ni scrupules à tous les niveaux des institutions américaines.
Ces gens, comme je l’explique dans les premiers chapitres de mon livre « Ce que veut Trump », se sont donné pour tâche de transformer radicalement la société américaine.
Ce qui a changé aussi est que, pendant huit années, Barack Obama a pu parachever la transformation du parti démocrate américain en un parti gauchiste, en y assurant la promotion à des postes-clés de gens sectaires qu’on voit aujourd’hui en pleine action.
Si ces gens devaient arriver au pouvoir (et cela aurait été le cas si Hillary Clinton avait été élue), les conséquences seraient délétères, bien au-delà des frontières des États-Unis.
On oublie trop vite le rôle qu’a joué Barack Obama dans les révolutions islamistes qui ont secoué le monde arabe, dans la création de l’État islamique, dans la guerre civile en Syrie et au Yémen, dans le renversement du régime Kadhafi en Libye, dans l’islamo-terrorisme qui a frappé la plupart des capitales européennes et dans le déferlement de vagues de « migrants » musulmans de l’Afrique du Nord et du
Proche-Orient vers l’Europe occidentale.
Les gauches européennes, par comparaison, peuvent sembler moins violentes et moins hystériques, mais il ne faut pas se fier aux apparences.
La gauche américaine est en état de folie furieuse parce qu’elle pensait avoir gagné, et qu’après les années Obama, elle pourrait poursuivre son travail de destruction.
Avec Donald Trump, le pouvoir lui a échappé des mains, et elle est prête à tout, strictement tout, pour le reprendre.
Les gauches européennes ne pensent pas avoir besoin de violence extrême, parce qu’elles considèrent qu’elles ont gagné la partie.
Les mouvements conservateurs ont été mis en minorité dans quasiment tous les pays d’Europe occidentale. (…)
https://www.les4verites.com/politique/la-gauche-cancer-du-monde-occidental
Oh mais ! Des “démocrates” ont même vu un certain VVP (Vladimir Vladimirovitch P.) se mêler aux sénateurs pour voter en faveur de Kavanaugh. SI, si ! La gauche, en quelque pays que ce soit, est une chose immonde. Bravo aux sénateurs Républicains et au Démocrate (là, il mérite la majuscule) Joe Manchin. Quand il y a une Constitution, messieurs les gauchistes, on la respecte, on ne change pas la règle du jeu en cours de partie. ET ON NE FABRIQUE PAS DE FAUSSES PREUVES , sales menteurs !
maintenant les gauchistes mondialistes ont les yeux pour pleurer, bien fait !!!
ils veulent détruire tous les progrès de l’humanité jusqu’à ce jour
Réveillez vous ne pas les laisser nous détruire !
Champagne !
Allez, je donne un petit coup de main à nos journalistes et éditorialiste…. : je pense que les Russes ont influencé le vote !!!! Mdr