Une infirmère de vingt-deux ans n'a pas supporté la douleur des enfants blessés dans l'attentat de Manchester.
Clara Malagon était infirmière en soins intensifs lorsqu'un attentat-suicide a eu lieu à la Manchester Arena, en mai 2017. De nature dépressive, cet évènement va complètement changer sa vie.
(...)
Lorsque l'attentat survient, Clara est traumatisée. Elle confie à son père que la situation est extrêmement difficile, à l'hôpital. "J'ai vu des enfants mourir", lui dit-elle. Avec son expérience, son père l'épaule et l'écoute.
Mais le travail éreintant l'angoisse. Elle ne supporte pas de voir tous ces enfants souffrir à l'hôpital. Elle ne dort plus. Son médecin raconte qu'elle est venue la voir quelques temps avant sa mort. Clara n'avait pas de pensées suicidaires mais elles voulait des médicaments pour combattre sa dépression et son stress. La médecin l'a orientée vers des groupes de parole. Cela lui a fait du bien mais ça n'a pas suffi. Sept semaines après l'attentat, Clara a pensé qu'elle ne pouvait plus être sauvée.
aldo le 28 septembre 2018 : Certes mais même psycho-sociologique: comme pour le reste, les populations étaient à l’abri de ces réalités culturelles via la médiatisation de professionnels (Affaires étrangères, coopérants, missionnaires, Légion étrangère, etc. pour la France, par exemple) mais maintenant les populations y sont confrontées directement. Soit il y aura un effort pour re-confier les missions régaliennes à des professionnels, soit pas et, dans ce dernier cas, les populations seront dans leur droit de s’auto-organiser et auto-défendre
Gérard Guichard le 28 septembre 2018 à 12h06 Exactement et la 1ère formation, c’est le tir obligatoire.
C’est à cause de la démission des lâches qui dirigent que tant de souffrances sont infligées à de pauvres gens innocents !!Il faut juger tous ceux qui nous cachent la vérité en nous mettant en danger de mort ainsi que nos enfants et qui nous empêchent de nous défendre !!
Peuples européens l’heure est venu de nous réveiller ,demain il sera trop tard!!!!
Cher amis, vous qui aimeriez que les islamistes se suicident, vous ne connaissez pas encore bien l’islam : quand un islamiste se donne la mort, il le fait en tuant en même temps des non musulmans, car c’est seulement ainsi qu’il pense être assuré d’aller au paradis d’Allah. S’il se suicide seul il pense aller en fer d’Allah pour l’éternité. C’est tordu, mais c’est comme ça en islam.
Faut les foutre dehors tout court. Pour que ceci ne se répète à l’infini. Mes condoléances. Les gouvernants Suisse doivent penser à des mesures adéquates pour récompenser à la hauteur le travail des certain(e)s soignant(e)s des ems et hôpitaux. Cest un travail épouvantable physiquement et psychiquement. Réduire les gros avantages des fonctionnaires nuisibles et fainéants , une bonne option. Accompagner un moribond est une tâche de plus difficile. Ne profitez plus de main d’oeuvre moins chère qu’elle soit autochtone ou d’ailleurs. Il arrive aux soignants d’avoir assister à deux décès par semaine. Est-il juste un salaire denviron 3k par mois? Je ne crois pas. La vie humaine n’est pas un numéro dans les archives.
C’est très douloureux. Nous ne sommes pas habitués à la guerre qui nous vont vivre les terroristes.
Les populations encore saines de nos pays ont besoin de formation concernant toute cette diversité culturelle qui nous arrive
Et si les islamistes se suicidaient ? Ils iraient rejoindre les djihadistes dans la maison de Satan.
Si seulement les islamistes pouvaient, eux aussi, se donner la mort pour rejoindre Satan au paradis des djihadistes.