Genève, notamment la faculté de médecine, se trouve également dans la même situation. Mais l'on peut craindre que les accords de libre-circulation provoquent des problèmes et interdisent tout quotas.
A noter que les universités françaises sont surchargées, notamment par le nombre d'étrangers extra-européens qui viennent y étudier. Les problèmes de la France deviennent les nôtres par le biais de la libre circulation.
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L'école est victime de son succès. Plus de 40% des étudiants viennent de filières hors Suisse, et les auditoires sont bondés.
Comme l'explique «Le Temps», cette démographie galopante n'est pas sans poser de problème. Pour certains cours, les auditoires sont bondés, au point que certains élèves les suivent assis par terre. Et, en période de révision, la bibliothèque ouvre à 7 h. Dix minutes plus tard, toutes les places sont prises.
Ainsi, l'une des solutions envisagées est celle de limiter le nombre d'admissions d'étudiants étrangers.
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A relever également que la racaille va continuer à faire son chemin dans notre pays, y compris à un haut niveau de responsabilités dans les entreprises et les institutions (administration, hôpitaux, armée). Les premières victimes du dumping, pistonages et des licenciement abusifs seront les Citoyens de ce pays, qui contrairement à certains, sont honnêtes (ou essaie de l’être le plus possible au vu de leur éducation).
J’adore ces bien-pensants. Les quotas, ils en raffolent lorsqu’il s’agit de se protéger entre eux. La “libre circulation” (des TRAVAILLEURS, comme ça l’était à l’origine) ça ne sert qu’à niveler par le bas la population générale. Tous les secteurs d’activités qui les financent et donc dont ils doivent défendre les intérêts c’est régulation après régulation, pour nous c’est open bar. Cela prendra du temps, mais un jour les gens verront l’hypocrisie du système.
A noter que l’Epfl (devenue une voie d’immigration, une de plus) est envahie de seconds couteaux français incapables d’accéder aux “grandes écoles” de l’hexagone. Lesquels, une fois le diplôme Epfl obtenu, s’installent à peu près tous en Suisse (merci Schengen, merci la préférence étrangère et merci le pistonnage), à l’instar d’un certain bétonneur fou du PLR.
Le plein est fait partout en suisse et dans tous les domaines……et en vue des innombrables immeubles en constructions c’est pas fini.
Je me rappelle que quand ces accords de libre-circulation ont été signés, tous, absolument tous les politiciens et journalistes ont claironné que c’était une grande victoire pour la Suisse puisque nos étudiants pourraient dorénavant aller étudier dans les pays européens. Personne, absolument personne, et même pas les membres de l’UDC, n’a fait remarquer que l’ouverture allait dans les deux sens !
Trois secondes de réflexion auraient suffi pour savoir que nos universités étant excellentes et très bon marché, elles allaient attirer un nombre considérable d’étudiants étrangers (dont une bonne partie resterait ensuite en Suisse pour y occuper un emploi). Personne non plus n’a jamais osé mentionner le nombre d’étudiants suisses ayant bénéficié de ces accords pour étudier à l’étranger (probablement très faible) par rapport à celui des étudiants étrangers en suisse (énorme). Sur ce point là, cet accord nous coûte une fortune au bénéfice d’une très faible minorité de Suisses (ceux qui étudient à l’étranger) et aux dépens d’une très grande majorité d’étudiants suisses (UNI bondées, + de compétition pour les emplois, etc.).
Je me rappelle aussi que j’étais désespérée que cet aspect n’ait jamais été évoqué, même pas par ceux qui étaient opposés à ces accords !
Il est évident que dans les EPF et les Universités, la priorité doit être donnée aux étudiants du pays : ce sont leurs parents qui avec leurs impôts financent ces écoles. Oui il faut limiter le nombre d’admission d’étudiants étrangers et il faut aussi qu’ils paient des taxes importantes pour compenser le fait que leurs parents n’ont pas financé ces écoles.
PAS D’IMMIGRATIONS DE MASSE UNIVERSITAIRES SOUS PEINE DE VOIR UNE DÉGRADATION SUPPLÉMENTAIRES DE LA QUALITÉ DES DIPLÔMÉS.
Rappelons que le numerus-clausus est aussi à l’origine de ces problèmes. C’est un autre cadeau empoisonné de la Dreifuss, à part la Lamal, sans doute élaborés dans les vapeurs de cannabis pas seulement légal. On a l’impression que toutes ces vipères fédérales sont totalement issues des conspirations européennes qui font florès dans nos parlements et qu’elles demeurent sous la tutelle de maîtres chanteurs, à l’image de Drunker-junk. Ces Juncker, qui se partagent le pouvoir arbitrairement et qui vocifèrent contre la Suisse, dès qu’ils sont en manque et que leurs planifications bolchéviques, dignes des plans quinquennaux soviétiques de l’ex-Urss, sont remises en cause. LA SUISSE DOIT ETRE OUVERTE A LA TRAPPE* ET AUX MENOTTES QU’ON LUI TEND ! Ce sont là des injonctions dignes des socialo-écolo-islamo-blochévo-fascistes. * le paradis bolchévique à la sauce européenne.