L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) des Nations Unies a admis que l’Iraq est désormais « sûr » et que près de quatre millions d’Irakiens sont déjà rentrés chez eux, prouvant qu’il n’y a plus d’excuse pour que les Irakiens demandent le statut de « réfugié » dans aucun autre pays.
Selon le dernier rapport de l’OIM intitulé Displacement Tracking Matrix (DTM), publié le 4 septembre 2018, « près de quatre millions de personnes sont rentrées chez elles », ajoutant que « en décembre 2017, le Premier ministre irakien Haider al-Abadi a déclaré la fin de la guerre du pays contre ISIS ».
« Dans tout l’Irak, les déplacés internes continuent de rentrer chez eux à un rythme régulier mais plus lent qu’en 2017. » Les gouvernorats comptant le plus grand nombre de rapatriés sont Ninewa (1,49 million), Anbar (1,27 million), Salah al-Din (près de 553 000), Kirkouk (296 000), Diyala (222 000) et Bagdad (77 000).
« Presque tous (97 %) sont retournés à leur résidence habituelle, deux pour cent dans des lieux privés, et un pour cent (19 000 personnes) demeurent très vulnérables après avoir cherché refuge dans des édifices religieux, des écoles et des bâtiments inachevés ou abandonnés. »
Selon les dernières données de l’OIM, les rapatriés « ont cité l’amélioration de la situation sécuritaire, la disponibilité de logements, le manque de moyens financiers pour rester en déplacement, l’encouragement des dirigeants communautaires et le soutien des amis et des parents comme facteurs dans leur décision de retour ».
« Les données du DTM de l’OIM ont documenté les phases de la crise et ont été cruciales pour la planification de l’aide humanitaire », a déclaré Marta Ruedas, Coordinatrice humanitaire des Nations Unies en Iraq. « Les données sur les retours sont également essentielles pour cette prochaine phase de notre soutien au rétablissement et à la réinsertion. »
La plupart de ceux qui sont rentrés chez eux ont été déplacés de la province de Ninive, dans le nord de l’Irak, vers Mossoul, la deuxième ville du pays et un bastion de l’ISIS, pendant trois ans avant que cette organisation ne soit expulsée en 2017.
Les Irakiens déplacés sont également retournés en grand nombre dans la province sunnite d’Anbar, à la frontière syrienne, où s’est déroulée la dernière grande bataille contre ISIS.
En d’autres termes, l’ONU a maintenant admis qu’il n’y a plus de menace en Irak et que tous les ressortissants irakiens qui ont demandé l’asile en Europe, en Amérique ou ailleurs sont des faux et devraient maintenant tous rentrer chez eux – s’ils étaient de véritables réfugiés.
L’Irak aux Irakiens !
Depuis 2015, on nous a dit que tous ceux qui arrivaient étaient des réfugiés Syriens….. vous vous souvenez… les ingénieurs, médecins et astrophysiciens…. et donc ils peuvent tous rentrer au pays, c’est bien ça ? …… même ceux dont j’avais eu l’impression qu’ils étaient un peu foncés pour être syriens…. ?
Que voilà une bonne nouvelle !
Et ceux qui refusent de rentrer, ce sont donc des touristes, et ils n’ont bien sûr plus droit à aucune aide quelle qu’elle soit, n’est-ce pas ?
Bon Somarmoilerouga, qu’attends-tu pour organiser le renvoi de tous les irakiens requérants d’asile présent sur notre territoire? C’est pour cela que l’on te paie grassement!!!
Remigration immédiate de TOUS les migrants irakiens ! Que Mme Sommaruga en prenne acte !