Le front des ONG humanitaristes en Méditerranée s’effrite

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La politique ferme anti-immigration clandestine entamée par le nouveau gouvernement italien et son ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, commence à porter ses fruits : le front des ONG en Méditerranée s’effrite de jour en jour.

Après l’opération du Diciotti et les dernières opérations de secours en Méditerranée du bateau Aquarius de SOS Méditerranée et de MSF, ces sauvetages, bien souvent organisés entre les passeurs eux-mêmes et les humanitaristes, se raréfient. Pour cause, depuis quelques semaines la plupart des bateaux reste à quai !

Le navire Aquarius est rentré à Marseille et n’a plus pris le large depuis sa dernière mission où il s’est vu refuser par l’Italie, Malte et l’Espagne le débarquement de son chargement de clandestins. Il a en outre perdu le pavillon e Gibraltar et doit donc maintenant expliquer sa position.

A Malte, rapporte un quotidien italien, Il Fatto, trois bateaux restent au port : Lifeline, Sea Watch et Seefuch. Le premier d’entre eux est d’ailleurs sous séquestre et son équipage doit affronter une bataille juridique concernant l’enregistrement de l’embarcation. La sentence tombera en septembre. De son côte Sea Watch a lancé un appel pour retourner en mer mais sans succès :

« Ils ne nous font pas sortir. Mais ils ne nous donnent aucune raison : tout simplement nous ne pouvons pas bouger. »

Pour l’instant, la mer Méditerranée est donc enfin libérée des ONG immigrationnistes, collaboratrices de l’invasion qui submerge l’Europe depuis des années. Les sauvetages dépendent actuellement exclusivement des gardes-côtes des pays méditerranéens qui sont sur la route des « migrants ». Et le blocus des bateaux des ONG pourrait durer encore longtemps.

Francesca de Villasmundo

 

Extrait de: Source et auteur

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Un commentaire

  1. Posté par Michel le

    Bien, si les navires négriers sont actuellement bloqués dans les ports, c’est un bon point.
    Maintenant il faut que les garde-côtes, se limitent à faire leur travail : GARDER LEURS CÔTES, pour empêcher toute intrusion, en restant dans LEURS eaux territoriales.
    Que plus personne n’aille faire des ronds dans l’eau près des côtes africaines.
    Les candidats à la traversée le sauront très vite et ne s’y risqueront plus.
    Maintenant nous avons la grosse épine espagnole, nouvelle porte ouverte aux pique-assiette, qu’il faut refermer…

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