Les fraudeurs sur les chantiers sont souvent issus des pays de l’Europe de l’Est et des Balkans et le prix d’achat de faux papiers varie de 1500 francs à plus de 20 000 francs.
La réalité serait pire que cela. «Nous ne connaissons manifestement que la pointe de l’iceberg. Le nombre de documents trafiqués sur les chantiers est totalement sous-évalué», affirme Emmanuel Fivaz, inspecteur scientifique de la police neuchâteloise. (...) Les faussaires sont membres d’organisations criminelles étrangères qui vendent les contrefaçons au sein des communautés étrangères, dans les milieux délinquants et sur Internet.
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travail réservé au noirs bizarre sur la photo ils paraissent blancs évidement c est le début de saison .
Il est évident que ce phénomène est strictement limité aux chantiers!