Christian Hofer : les élections italiennes se sont déroulées le 4 mars 2018. Visiblement, la racaille de gauche encore au pouvoir avait tout prévu. C'est à cela que l'on peut mesurer la nocivité de cette idéologie.
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A la tête des garde-côtes italiens, Giovanni Pettorino a sous sa responsabilité le Diciotti, ce navire bloqué en mer depuis cinq jours avec 177 migrants à son bord. L'amiral évoque son "devoir moral" de sauver les migrants en réponse à la position très ferme du ministre de l'Intérieur italien Matteo Salvini.
Cela fait désormais cinq jours, depuis mercredi soir, que le Diciotti, un navire des garde-côtes italiens qui a secouru 177 migrants en mer Méditerranée entre Malte et la Tunisie, ne peut accoster sur l'île de Lampedusa. Comme depuis le début de l'été, Matteo Salvini, le ministre italien de l'Intérieur, se veut inflexible : plus aucun navire ne pourra faire débarquer des migrants dans un port de son pays. Sauf qu'il ne s'agit pas cette fois d'un navire affrété par une ONG humanitaire, comme L'Aquarius ou le Lifeline, mais d'un bateau des garde-côtes, des fonctionnaires de l'Etat donc.
Le Diciotti est sous la responsabilité de l'amiral Giovanni Pettorino, le patron des garde-côtes italiens. Ce dernier, élevé le 10 février 2018 par le président italien aux grades d'"amiral inspecteur en chef" et "commandant général", tient tête à Matteo Salvini depuis deux mois.
Le "devoir moral" de l'amiral Pettorino
A son arrivée au pouvoir, le 1er juin dernier, le ministre de l'Intérieur, également chef de La Ligue, la principale formation d'extrême droite, a très vite mis en application l'une de ses promesses de campagne : empêcher les navires de migrants d'accoster dans les ports italiens. Une semaine plus tard, le 9 juin, L'Aquarius, le navire de l'ONG française SOS Méditerranée, n'a pas pu accoster en Italie avec 629 migrants à son bord.
Mais les garde-côtes de Giovanni Pettorino n'ont pas cessé pour autant leurs missions de sauvetage. Le 19 juin, 522 migrants ont ainsi débarqués du Diciotti dans le port sicilien de Pozzallo contre l'avis du ministre. Une semaine plus tard, le 26 juin, c'est au tour d'un cargo danois, le "Alexander Maersk", de débarquer 108 migrants dans ce même port. Le navire marchand s'était détourné pour secourir les migrants à la demande de l'amiral Pettorino. "Répondre à un SOS est un devoir moral", justifiait alors le "commandant général", cité par le Corriere della Serra. "Tous les marins, depuis toujours et même en l'absence de conventions [internationales], ont aidé les personnes en difficulté", expliquait encore l'amiral.
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LeJDD.fr
Via le Facebook du PNS
Le pouvoir est un exercice difficile et les adversaires politiques de Mr SALVINI ne manqueront pas de l’entraver dans ses fonctions en lui ” soumettant” de multiples pièges. Bruxelles et la gauche opportuniste et destructrice nous en font quotidiennement la demonstration.
Le ou les bateaux des garde-côtes sont censés protéger l’Italie d’éventuels adversaires militaires, mais aussi des invasions. Pour ce commandant, il ne s’agit pas d’invasion, là est le problème.
Il les a sauvés puisque c’est son devoir. Pourquoi ne les reconduit-il pas aux abords de la Lybie? Cela devrait être son devoir?
Le monde entier, à partir du moment où il se présente “pacifiquement” est donc bienvenu en Italie. et en Europe. La France compte déjà 140 nationalités dans ses prisons, un vrai esprit d’ouverture!!
Demain l’Italie devrait avoir le plaisir d’en accueillir bien plus puisque le monde compte 324 pays (dont certains ne sont pas reconnus par l’Onu – www instinct voyageur).
IL SUFFIT JUSTE D’ENTRER PACIFIQUEMENT.
Après, que le nombre explose et devienne un vrai colonisateur, c’est tellement fatiguant d’y penser, d’anticiper les conséquences. Ce commandant a-t-il des enfants et des petits enfants? Je les plains.
En Europe, une fraction du monde européen qui déteste ses origines vend, non, offre sa culture “au monde” afin que celle-ci disparaisse. Un viol consenti. On est presque dans l’horreur!!
Notre devoir est d’éveiller, éveiller, éveiller sans cesse les consciences afin que ces “maudits” soient éloignés et pour longtemps, des pouvoirs politiques, médiatiques ou financiers.
Un traître à la nation, ni plus ni moins… Dans un autre contexte, il serait (ou sera ?) jugé pour haute trahison et fusillé, en tout cas je l’espère. Au lieu de se trouver des prétextes de devoir moral envers tout humain, il devrait penser à son devoir moral de protéger l’Italie et de sauver des vies italiennes, car en laissant débarquer ces migrants, il se rend responsable de ce qu’ils commettront ! Mais quand on a ni dignité, ni courage, et qu’on est de plus opportuniste, il faut un lot de faux arguments à exposer.
Espérons que le nouveau president italien saura restituer ce saboteur de la volonté du peuple au grade de sous-sous-commandant, comme il le mérite.
Et de trahir les peuples européens, c’est moral ?
Avec ce petit péteux, les torpilles seront bientôt de la partie.