Une femme de 61 ans est morte dans l’incendie de son immeuble, dans la nuit de mardi à ce mercredi. Les pompiers n’ont rien pu faire pour la femme qui appelé à l’aide depuis son balcon. Leur intervention a par ailleurs été perturbée par des jeunes du quartier.
« Elle voulait sauter, mais n’y arrivait pas. (…) On voyait les flammes approcher. Tout le monde l’a vue prendre feu…« , a rapporté une riveraine au journal Nice-Matin. Selon elle, la sexagénaire était une femme corpulente qui se remettait d’une opération de la hanche. Elle n’aurait donc pas été en mesure de quitter son domicile situé au quatrième étage de l’immeuble, là ou l’incendie semble s’être déclaré. Les pompiers dépêchés sur place ainsi qu’un voisin ont tenté de venir à son secours mais sans y parvenir. […]
Selon la sous-préfète Gwenaëlle Chapuis, l’action des pompiers a par ailleurs été compliquée par des groupes de jeunes. « Certains ont obstrué le travail des pompiers au début de l’intervention : vol de matériel, invectives… « , la police a dû intervenir pour disperser les fauteurs de trouble au gaz lacrymogène. Trois personnes ont été interpellées.
via Fdesouche.com
Nos remerciements à UnOurs
je trouve que c est inadmissible d empecher les secours de venir sauver cette dame de toute facon il est plus facile de foutre la merde de degrader les lieux plutot que de bien agir
Dispersés aux gaz lacrymogène,LAISSEZ-MOI RIRE ! C’est une GUERRE que nous vivons avec cette RACAILLE imposée.Et comme dans une GUERRE c’est avec des ARMES LOURDES que l’on doit répondre à cette INVASION DE BARBARES. Donc FEU à volonté,je peux parier GROS que cela va changer.14-18-39-45 avec pour seules armes des gaz lacrymogène,VOULEZ.RIRE LA ! ( c’est pour la caméra cachée ou Mardi Gras ? )HOMMES LIBRES = HOMMES ARMES !VIVE LES PATRIOTES,VIVE LE POPULISME !
Pourquoi ce “par ailleurs” ? Pourquoi toujours parler de “jeunes” sans les désigner clairement ? Ce n’est pas “par ailleurs” que l’intervention des pompiers a été perturbée. Les empêcher d’agir constitue un acte criminel, ni plus, ni moins !
Lorsque j’habitais encore Nice il y a plus de 30 ans, le quartier St-Roch, bien que populaire, était fréquentable et les “jeunes” (puisqu’il faut les désigner ainsi de 7 à 77 ans) n’avaient pas encore pourri l’environnement.
Ils restaient sur l’Ariane, encore accessible à l’époque.
Dans le quartier Notre-Dame, aux alentours de l’avenue Jean Médecin, c’est déjà gangrené, comme j’avais pu le remarquer il y a quelques années en revenant sur Nice.
Une dame est morte par la faute de cette lie de la société qui n’en est plus à ça près puisque elle poignarde comme vous iriez acheter une baguette.
Nice, Antibes, Cannes.,Vallauris..pour ne citer que ces villes du 06 …cela fait déjà près de 30 ans que la situation est ostensiblement dégradée..Demandez aux anciens…
Il me semblait que le climat niçois n’était pas idéal pour les peaux blanches des Norvégiens, mais je peux me tromper(?)
Ne pas stigmatiser, pas d’amalgame, l’islam est une religion de paix et d’amour, les populations de réfugiés sont constitués en majorité de médecins et d’ingénieurs qui viennent sauver l’Occident, et même si les pontes du parti socialiste ont de la peine à accueillir des migrants dans leurs belles villas et leurs somptueux appartements, nous sommes tous frères! Si, si!
Enfin: c’est ce qu’ils disent…
Des racailles !!!! des calamités pour la France !!!les médias feraient mieux de réviser leur copie d’idiots utiles car ça va péter!!!
Quelle est la définition d’un groupe de jeunes ? Que veulent dire les médias en employant à toutes les sauces cette expression devenue si familière ?
Comme les Arabes ont bloqué le travail des pompiers, on peut malheureusement en déduire que cette pauvre femme, qui a connu une mort proprement atroce, est l’une d’entre nous. Les Arabes n’auraient probablement pas empêché les pompiers d’intervenir s’il s’était agi d’une moukère.
Naturellement, cette nouvelle ne paraîtra pas dans 20 Minutes, ne fera aucun gros titre et sera oubliée dès demain.
En Papouasie, quand un membre d’une famille est tué par une tribu ennemie, le père part avec le corps et s’assied, des jours durant, à mi-chemin entre les deux villages avec devant lui l’être aimé qui se décompose, de façon à “se charger” mentalement. Et ensuite, il fait ce qui doit être fait et ce qui est fait, n’est pas “Charlie”, ne ressemble ni à une marche blanche ni à un dépôt de bougies.
Remarque générale: on ne sait bientôt plus quoi dire devant le déferlement incessant de nouvelles horribles, d’insanités sociétales et de trahisons de la part de nos autorités. Et il y en a encore, parmi nous, pour être choqués par quelques mots de ci de là plus hauts que les autres. Qu’est-ce-qu’ils feront et qu’est-ce-qu’ils penseront ces gens quand ça tournera à “Beyrouth” ou “Sarajevo” dans nos cantons (pour la France, on peut largement dire que le conflit de “basse intensité” a déjà commencé).