Poutine et Kurz au mariage de la ministre des affaires étrangères, mais pas le président autrichien
Alors que le président russe Vladimir Poutine et le chancelier Sebastian Kurz assistent au mariage de la ministre des affaires étrangères autrichienne Karin Kneissl dans le sud de la Carinthie, le président Van der Bellen a préféré rester près de Vienne. Les raisons de Vladimir Poutine pour accepter l’invitation de Madame Kneissl sont multiples, outre que la Carinthie est une très belle région au sud des Alpes, ressemblant à notre Tessin. Avant sa rencontre avec Angela Merkel, il veut entre autres montrer que l’Allemagne n’est pas la seule plaque tournante pour les contacts de l’Union européenne avec son pays, mais qu’il faut aussi compter sur l’Autriche, qui en a actuellement la présidence. Et sa visite a été organisée par Margot Löffler-Klestil, la veuve d’un ancien président autrichien, durant longtemps ambassadrice à Moscou et représentante spéciale du ministère des affaires étrangères pour les relations avec la Russie, avec laquelle Poutine a d’excellentes relations officielles et personnelles. Naturellement, cette visite inopinée choque l'opposition, qui boude dans son coin, comme le président Van der Bellen, qui avait été le candidat de la gauche lors de son élection à ce poste.
https://www.andreas-unterberger.at/2018/08/ein-mehrfach-genialer-schachzug-putins/
Traduction (Claude Haenggli) : Mais le caractère le plus délectable de la visite de Poutine, c'est le contraste avec les apparitions publiques de plus en plus pitoyables du président Van der Bellen. Tandis que Kurz et Kneissl se rencontrent avec Poutine, le président venant des Verts n’a pas trouvé mieux que de se rendre en Haute-Autriche pour soutenir un Afghan qui n’a pas reçu l’asile, alors qu’il est lui-même l’homologue de Poutine. Mais personne n’a besoin de Van der Bellen, si ce n’est les migrants.
Claude Haenggli,18.8.2018
Trois jour avant le cinquantième anniversaire de l’invasion soviétique de la Tchécoslovaquie…
Une provocation calculée de Poutine ?
Les pays anti-mondialistes ont des affinités avec la Russie qui apprécie les valeurs culturelles, la nation, le christianisme et l’histoire. C’est une très bonne chose de garder de bons contacts avec Poutine, car il a beaucoup d’ennemis irréductibles chez les mondialistes anglosaxons et européens.
Je suis navré d’avoir fait une faute de traduction, la Steiermark, c’est la Styrie (chef-lieu Graz), pas la Carinthie (chef-lieu Klagenfurt).
Poutin cultive ses liens avec les partis populistes de plusieurs pays.
Populiste=démocratique, Anti-populiste=anti-démocratique.
Qu’on se le dise: Putin est démocratique, et les journalistes sont anti-démocratiques!
Putin a été élu par son peuple populiste, Soros et Juncker ont été élus par les banksters!
Cela en dit très long, ce pseudo président élu suite à des tricheries électorales démontre ici son appartenance à la mafia mondialiste!