A Ceuta, 600 migrants pénètrent en Espagne dans la violence
Un jeune marocain passe devant une clôture à Ceuta, enclave espagnole dans le nord du Maroc, le 11 avril 2018 / AFP
Plus de 600 migrants africains sont parvenus jeudi à entrer dans l'enclave espagnole de Ceuta au Maroc après un "assaut" de la double clôture particulièrement violent selon les autorités, lançant de la chaux vive et des excréments contre les policiers.
Ce franchissement de la frontière de Ceuta, hérissée de barbelés, est la plus importante depuis février 2017, quand plus de 850 migrants étaient parvenus à pénétrer dans la ville sous administration espagnole au nord du Maroc.
Près de 800 migrants ont tenté de passer de l'autre côté de la barrière, selon la Garde civile. Une centaine a été stoppée par la police marocaine, d'autres interceptés par les agents espagnols à la frontière et renvoyés au Maroc, et 602 ont finalement atteint le territoire espagnol.
L'incident accroit la pression sur l'Espagne, devenue la première porte d'entrée de l'immigration clandestine en Europe, dépassant l'Italie qui, en refusant d'accueillir davantage de migrants, a fermé la route qui passait par la Libye.
- Sprays lance-flammes -
Les "assauts" de la barrière "sont tous violents", précise José Cobo, porte-parole du syndicat de gardes civils AEGC, mais celui-ci passe un nouveau palier car "ils ont employé une méthode qu'ils n'avaient jamais utilisée avant, la chaux vive", dit-il.
La Garde civile a dénoncé l'emploi de "méthodes virulentes" : selon le communiqué du corps de police espagnol, des migrants ont lancé aux agents "des récipients de plastique avec des excréments et de la chaux vive", utilisé des sprays enflammés à la manière de "lance-flammes" en plus de pierres et de bâtons.
Quinze agents ont été blessés, dont cinq ont dû être soignés à l'hôpital pour des brûlures au visage et aux bras...
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merci à Alimuddin Usmani
C’est innommable de bêtise de supprimer les barrières anti-migrants à Ceuta et réclamer plus de gardes et policiers. De nouveau, c’est la gauche qui est responsable de ce genre de décision à 2 balles qui engendre plus d’affrontements et de blessés. Bonnet d’âne à l’Espagne pour avoir mis en place un gouvernement de gauche pro-immigrationniste.
Forcer la frontière d’un pays en étant armé (chaux vive – sprays enflammés) est un acte de guerre. Ces gens ne sont que des sauvages arriérés dont le comportement abject va ressurgir à chaque contrariété. Les européens ne sont donc-t-ils que des lavettes pour ne pas se révolter devant cette barbarie ? Et les merdias qui devraient en faire leur Une (ce qui serait le cas si des européens attaquaient ces envahisseurs à la chaux…), ne sont que des charlots sans bravoure ! Cette attaque de frontière et de policiers est inacceptable et des autorités dignes de ce nom ne devraient pas croiser les doigts en espérant que l’info passe inaperçue, mais dénoncer haut et fort ces agressions qui sont certainement plus nombreuses que l’on croit ! Le pire est qu’il y a des couillons bienpensants pour se précipiter avec nourriture et couvertures pour soutenir ces assassins en puissance… C’est incroyable, inouï… La connerie humaine et la lâcheté perdront ce continent à court terme.
Depuis plus de 10 ans, Samsung (entre autres) fabrique le matériel permettant d’éviter ce genre de débordements : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Samsung_SGR-A1 (et les technologies se sont certainement améliorées depuis).
A CHF 250’000, l’engin est largement ammorti au premier “migrant” qu’il empêche d’entrer, que se soit par son seul effet dissuasif ou par une action effective (que personne ne souhaite).
Cette frontière ayant une longueur de 8 km, en comptant 80 machines -soit une tous les 100 mètres, ce qui semble bien compté- on règlerait définitivement le problème à Ceuta pour 20 millions.
Certes, il y en aura bien quelques-uns qui tenteront de passer au début, mais la vue de leurs ossements (à laisser impérativement sur place) découragera certainement les centaines de milliers d’envahisseurs qui attendent derrière.
Faut-il lancer un crowdfunding pour mettre en place une solution adaptée, ou l’UE (et la Suisse) sont-elles capables de renoncer à leurs méthodes manifestement inefficaces (“les méchants nous lancaient du caca, alors on a dû les laisser passer…”) ?
Il faudra sévir contre les violences policières. Voilà qui doit ravir le nouveau premier ministre espagnol Pedro Sanchez, d’à gauche toute.