La débâcle des vélos gratuits révèle la fragilité du contrat social français

Dans la plupart des pays où la culture californienne, (qu'on pourrait résumer par l'équation gratuité+civilité), est adoptée depuis dix ans, les vélos n'ont pas besoin d'être blindés avant d'être prêtés. Chez nous c'est le contraire. Les gens qui n'ont aucune morale sociale sont trop nombreux, et quand ils arrivent du monde entier le président leur dit que la France est coupable envers eux. Du coup les vélos trinquent.

 

2 commentaires

  1. Posté par Christian Hofer le

    Selon moi, il manque un élément :

    L’éducation ne servirait à rien dans ce contexte. Ces gens se fichent éperdument de l’Europe, elle est ridiculisée, utilisée, insultée. Dans leurs pays d’origine, c’est la force qui fait loi, qui les fait réfléchir. Aucun autre levier ne fonctionne. Pourquoi pensez-vous que les Algriens ne se comportent pas de la même manière dans leur pays qu’en Europe?

    En France, il n’existe guère de système de coercition. C’est même l’inverse puisque la rébellion est perçue de manière positive par le socialisme. N’importe quel élément peut devenir une revendication à la violence et à la destruction.

    Or le prêt de ces vélos se base sur une morale occidentale, une notion de respect qui leur est inconnue, qui est même perçue comme une faiblesse.

  2. Posté par Tommy le

    Vous m’ avez coupé le sifflet.
    Absolument rien à rajouter.
    La population” providentielle” de la France considère que ce pays est un libre-service qui lui doit tout.
    Aucune contrepartie.
    Aucun esprit civique.
    A part lorsque leurs congénères marquent un but au Mondial.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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