Une section de l’Association américaine des bibliothécaires a décidé de débaptiser son prix littéraire « Laura Ingalls Wilder » en raison du racisme qui imprègne l’œuvre de l’auteur de « La Petite Maison dans la prairie ».
« Les œuvres de Mme Wilder restent l’objet d’études et d’analyses littéraires qui mettent souvent en lumière des sentiments anti-Amérindiens et anti-Noirs », a expliqué l’Association des bibliothèques pour enfants (ALSC). « L’ALSC reconnaît que l’héritage de l’auteur est complexe et que l’oeuvre de Mme Wilder n’est pas universellement acceptée », a-t-elle ajouté.
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Basée sur la vie de Laura Ingalls Wilder, cette série a connu un immense succès de librairie avant d’être adaptée à la télévision.
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Certaines personnes sont prêtes à faire,dire,écrire,n’importe quoi,simplement pour prouver qu’elles existent.Sans intérêt .Andre SAMMARCELLI
Après Banania, Tintin au Congo voici La petite maison dans la prairie. À pleurer de rire.
je n’avais jamais flairé le moindre relent de racisme dans cette série qui décrivait une époque et un lieu et des gens bien ancrés dans la société et leur religion ; à vrai dire, en raison même de cet ancrage, le concept de racisme n’existait pas! Mais il en faut partout pour satisfaire certains obsédés : j’ai récemment “appris” que Bérénice était une victime du racisme ; Racine en eût été fort surpris!
Rectificatif :
”«Celui qui a le contrôle du passé a le contrôle du futur. Celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé» C’est un des slogans les plus glaçants de 1984, le chef-d’œuvre visionnaire de George Orwell.”
Référence:
http://www.lefigaro.fr/culture/2013/09/13/03004-20130913ARTFIG00001-george-orwell-en-passe-d-etre-vaporise-comme-ses-personnages.php
Les cons, ça ose tout, c’est même à cela qu’on les reconnait. Ces ahuris de bibliothécaires préfèrent “La Petite Prison dans la Mairie”, sans doute ?
C’est dans la lignée d’Orwell, on réécrit le passé pour gouverner le futur …