Comment on trompe le public avec des photos d’enfant manipulées

Pour favoriser le grand remplacement en Europe, les médias du système ont colporté à plusieurs reprises des photos d’enfants pour appeler à une plus grande tolérance vis-à-vis de l’immigration illégale. D’abord celle d’une petite fille palestinienne en larmes lorsque la chancelière Merkel lui a déclaré « que tous ne pouvaient pas venir », puis celle d'un petit Syrien échoué sur une plage, mais que les parents sont allés enterrer dans le village d’où ils s'étaient prétendûment enfuis. Enfin, d’un homme qui semblait vouloir protéger une femme et son enfant d’un policier hongrois, mais qui en réalité voulait les maintenir sur une voie ferrée afin de donner une mauvaise image de la Hongrie, alors que le policier tentait de les éloigner du danger. Et maintenant, la même chose aux Etats-Unis avec l’affaire des enfants que l’on a séparé de leurs parents ou de leurs accompagnateurs plutôt que de les mettre en prison avec eux.

https://www.andreas-unterberger.at/2018/06/amerika-bis-sterreich-kinder-sind-wehrloses-opfer-ij-und-die-strkste-waffe/

Traduction (Claude Haenggli) : En Amérique aussi, il apparaît maintenant que de nauséabondes manipulations avec des photos d’enfants en pleurs ont eu lieu. Une telle photo a même atterri sur la couverture duTime, un périodique autrefois sérieux. Il s’est révélé maintenant que l’enfant n’avait pas du tout été séparé de sa mère, ce que le Time a dû maintenant à sa grande honte admettre.

Claude Haenggli, 23.6.2018