Pour son exécutif de transition, le chef du Parti socialiste, Pedro Sánchez, a fait un choix féministe, européiste et hors des appareils. Et n'a confié que 6 portefeuilles sur 17 à des hommes.
Faire de nécessité vertu. Telle est la prouesse en passe d’être réalisée par le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, qui, à la tête d’un Parti socialiste sans boussole, menacé par Podemos et ne disposant que d’une minorité de députés à la chambre basse (68 sur 350, soit moins de 20%), a su former un exécutif à la personnalité très (re)marquée, par son européisme et surtout par son féminisme et la préférence donnée aux compétences au détriment des appartenances politiciennes. [...]
Source: Onze de choc en Espagne : les femmes ultra-majoritaires au gouvernement
Seuls les résultats comptes … l’Espagne dans un élan humanitaire (émotionnel des féministes) mal placé vient d’inviter les 629 migrants/immigrés à débarquer à Valence …
Tout effort pour juguler l’immigration de masse illégale est contré par de politicards de gôche …
Lire Otto Weininger.