Fin de crise : l'Espagne a finalement décidé d'accueillir à Valence L'Aquarius, un navire transportant les 629 migrants secourus au large de la Libye, au cours de six opérations dans la nuit du 10 à 11 juin, et qui se trouvait jusqu'alors bloqué entre la Sicile et Malte. «Il est de notre obligation d'aider à éviter une catastrophe humanitaire et d'offrir un "port sûr" à ces personnes», a annoncé dans un communiqué publié ce 11 juin le gouvernement de Pedro Sanchez.
L'Espagne met fin au bras de fer entre l'Italie et Malte
Quelques heures plus tôt, le Haut-Commissariat de l'ONU et la Commission européenne pour les réfugiés (HCR) avaient enjoint l'Italie et Malte d’accepter le débarquement des migrants bloqués en Méditerranée.
Malgré ces appels, l’Italie et Malte avaient campé sur leurs positions. Le 10 juin, le Premier ministre maltais Joseph Muscat avait annoncé que son pays ne recevrait pas «le navire en question dans ses ports». Côté italien, le ministre italien de l'Intérieur Matteo Salvini avait menacé de fermer les ports de son pays aux navires abritant des migrants si Malte ne recevait pas L'Aquarius, selon des médias locaux.
D'après l'ONG SOS Méditerranée, à l'origine des opérations, 123 mineurs isolés, 11 enfants en bas âge et sept femmes enceintes se trouvent parmi les migrants.
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L’Espagne : Le maillon faible, la honte !
Evidemment, avec des socialos à la barre il ne pouvait en être autrement.
Un taxe devrait être perçue auprès des passeurs (ces ONGs ne sont rien d’autre que des passeurs !) pour chaque migrant importé. Par exemple 250’000 euros par pépite.
Ça calmerait.
Le bon sens dicterai de simplement arreter ce bateau, renvoyer tous les africains chez eux et mettre en prison l’équipage…