RTS / Tribu, 7 juin 2018
La mobilité sociale
« Comment décrire la place de chacun dans une société? Comment rendre compte de la position sociale atteinte par un individu, par une famille ou par un groupe? Notre invité, le sociologue Rémi Sinthon, sʹest penché sur la question et nous livre ses réflexions sur les questions de stratification et de mobilité sociales. A lire : Rémi Sinthon, "Repenser la mobilité sociale" aux éditions de lʹEHESS [École des hautes études en sciences sociales]. »
Journaliste : Julien Magnollay
https://www.rts.ch/play/radio/tribu/audio/la-mobilite-sociale?id=9592499
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Cenator : La RTS a invité ici un sociologue vain et pédant qui a l’art de parler pour ne rien dire.
Ce spécimen représente à lui seul la stérilité des théoriciens gauchistes à l’état pur.
En Occident, la collectivité entretient une marée de pseudo-scientifiques qui ne servent à rien et pire, qui sont nuisibles à la société.
Sociologues, linguistes, politologues des facultés de Sciences sociales, les Hautes écoles sociales, les écoles de cinéma, les écoles de journalistes, les Universités du développement et leurs dérivés, tous ces nouveaux diplômés en marxisme culturel sortent en quantités annuelles à remplir un aéroport, pour rejoindre les rangs des fonctionnaires de gauche... Et comme un malheur ne vient jamais seul, ces charlatans diffusent leur « science » dans les médias et dans l’enseignement avec leur posture de savants.
Dans cet entretien, le sociologue Rémi Sinthon fait souvent référence à sa muse, Bourdieu, et comme son maître, il excelle à parler sans rien dire :
« Le monde social est divisé en champs interconnectés… », « introduction de la logique capitaliste… », « la société algérienne des années 50 »… les études qui cherchent à démonter les inégalités sociales, au travers du métier des pères des étudiants… les processus historiques… la fluidité sociale… catégoriser les strates et les couches sociales… les aspects culturels des stratifications sociales… quantification de la mobilité sociale…
Ce genre de catégorisation stérile a pour but final de procurer un statut social au sociologue. Pointer sur les inégalités, le sujet bateau, aide à y parvenir : l’égalitarisme, au nom de la justice, est le grand prétexte des gauchistes. Par là, ce genre de « scientifique » peut se garantir un gagne-pain, alors que son travail est sans la moindre plus-value pour la société.
Depuis cinquante ans, les strates et statuts sociaux sont enseignés absolument partout dans les facultés de sciences sociales et leurs dérivés. En perpétuant ces fadaises, ces écoles exercent un effet délétère : l’esprit des étudiants est souillé par la pensée unique, les fatras bourdieusiens leur sont présentés comme le top de la connaissance, et ils apprennent en même temps que toute remise en question du dogme est un comportement honteux, xénophobe, raciste, réactionnaire et nauséabond.
Puis à leur tour, ces étudiants deviennent la nouvelle couche sociale de parasites, de fonctionnaires et d’artistes subventionnés qui vont vivre sur le dos de la collectivité et bénéficier de salaires triples ou quintuples de la plupart de ceux qui les entretiennent, pour continuer à disserter sur les inégalités entre les couches sociales…
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Deux exemples :
Pierre François, un sociologue qui revendique fièrement que « La sociologie, c’est une discipline de gauche »
Un sociologue de pacotille qui se penche ici sur les élections
Votre contribution à ce site, cher Cenator, est certainement bien moins utile à la société que celle de de sociologue.
Merci Cenator pour vos judicieux commentaires !
On ne dit pas “sociologue”, mais “sociologue de mes deux”.