La police métropolitaine de Tokyo a arrêté un ressortissant turc qui demande actuellement le statut de réfugié et un autre étranger suspecté dans des douzaines de cambriolages dans la région de Kanto depuis le début de l’année.
Vers 18h30 le 20 avril, le ressortissant turc, un résident de 20 ans de Toshima Ward, et une cohorte masculine auraient brisé une fenêtre de la résidence d’un homme de 63 ans à Noda City, préfecture de Chiba, pour avoir accès à l’intérieur pour voler une montre et des anneaux d’une valeur de 210 000 yens.
Les deux suspects, qui sont devenus des personnes d’intérêt pour la police après un examen de la caméra de sécurité, nient les allégations.
Les suspects seraient à l’origine d’une cinquantaine d’incidents dans les préfectures de Chiba et Saitama depuis février, où la valeur des biens perdus est d’environ 10 millions de yens.
Le ressortissant turc, ethniquement kurde, a présenté une demande au bureau de l’immigration afin d’obtenir le statut de réfugié au Japon, a indiqué la police.
Plus tôt cette année, le ministère de la Justice a annoncé que plus de 19 600 ressortissants étrangers ont présenté une demande d’asile au Japon, soit une augmentation de 80% par rapport à l’année précédente. De ces demandes, 20 ont été approuvées, une baisse de 8 au cours de l’année précédente.
Source Via Suavelõs.eu
Les Japonais ne veulent pas d’immigration chez eux, et ils ont bien raison. Ce contre-exemple ne risque pas de les faire changer d’avis! En tout cas on constate partout que les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Les Japonais devraient inventer des robots-castrateurs capables d’amputer la fierté mal placée entre les jambes de ce genre d’individu.
Le statut de réfugié a bon dos, encore.
Ça doit leur éviter sans doute l’expulsion immédiate et leur permettre une marge de manœuvre plus grande
Je ne connais pas le Japon mais les quelques lectures et avis que j’ai recueillis m’inclinent à penser qu’on ne badine pas avec les institutions et les lois dans l’Empire du Levant.
L’assistanat n’y semble être ni un credo ni une commodité ni une œuvre sociale.
L’effort est vertu et le travail une raison.
Je me doute donc que ce genre de parasites pourrait goûter aux joies de l’hébergement prolongé et, minoritaire qu’il sera, connaitre la bienveillance des yakuzas si il n’est pas expulsé sur le champ.