Depuis le début de l’année, la capitale britannique connaît une forte augmentation d’actes de violence, notamment par arme à feu ou arme blanche. Ainsi, au cours du premier trimestre 2018, Scotland Yard a ouvert 45 enquêtes pour meurtre, soit deux fois plus que sur la même période l’an dernier.
Une aggravation sensible du nombre de meurtres et d’agression qui a fait deux victimes de plus dimanche. En l’occurrence, deux jeunes de 13 et 15 ans (dont les jours ne sont pas en danger) qui ont été blessés par balles en pleine journée, dans la commune de Harrow, au nord-ouest de la ville. Règlement de comptes ou dommage collatéral ? Pour l’heure, aucune information n’a filtré, tant sur les raisons de l’agression que sur l’origine des agressés et des agresseurs (seule confirmation positive : le « Royal Baby » n’est pas dans le coup).
Une recrudescence de violences et d’homicides qui, après le scandale de Telford qui a secoué le royaume et le Premier ministre britannique Theresa May au mois de mars dernier (viols et prostitution forcée de jeunes filles psychologiquement fragiles, mineures pour la plupart et… blanches, par des gangs d’indo-pakistanais qui, bienfait de la diversité, de l’apport culturel et des mœurs venus d’ailleurs, sévissaient depuis les années 1980), commence à inquiéter les autorités. A noter qu’une semaine auparavant, Rhyhiem Ainsworth Barton, 17 ans, a été tué par balle à Southwark, dans le sud de Londres, et qu’une « grosse altercation » entre deux groupes – gangs ? – d’hommes à Hackney, dans l’est de la ville, a donné lieu à une attaque à l’acide.
Raison évoquée de cette hausse de violences : selon un document du ministère de l’Intérieur britannique – qui fait l’impasse, « pasdamalgame » oblige, sur l’immigration-invasion dont la Grande-Bretagne, comme les autres capitales européennes, est victime –, cette hausse du nombre d’attaques serait probablement due à la politique de réduction des effectifs policiers menée depuis 2010 par le gouvernement conservateur.
Des incidents en augmentation qui ont interpellé Donald Trump. Vendredi, devant la NRA (le puissant lobby américain pro-armes), le président des Etats-Unis a affirmé qu’un hôpital jadis prestigieux de Londres ressemblait désormais à une zone de guerre en raison du nombre d’agressions qui s’y déroulent. Donald Trump aurait également pu ajouter qu’à New York, le nombre d’homicides a chuté de 87 % depuis 1990, alors qu’au cours des trois dernières années le nombre a augmenté de 40 % dans la capitale britannique.
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Extrait de: Source et auteur
Je pense que d’avoir élu un Sadi Khan comme maire il faut être maso ou suicidaire c’est sûr qu’il encouragera la terreur islamique contre les kouffars assez naïfs pour penser être protégés de ses congénères!!!au contraire il participe à la dégradation et encourage “les bonnes volontés” de semer la terreur qui désarme les idiots utiles psychologiquement et qui tomberont tout cuits lors de l’assaut final!
L’europe et ses politiciens toujours plus bas dans l’abject.