Du vendredi 4 au dimanche 6 mai, la conférence internationale "Bandung du Nord" pour une "internationale décoloniale" se tiendra à la Bourse du travail de Saint-Denis: la «première conférence internationale de personnes de couleur prenant à bras le corps les questions concernant les non-blancs vivant dans le nord global».
Le postulat de départ des organisateurs: environ 160 millions de «non-blancs» vivent dans les pays du «Nord global». Selon eux, ces personnes «font l’expérience du racisme dans toutes les sphères de la vie, tel un rappel constant de la continuité de l’héritage colonial». Ce racisme se manifesterait «dans le système politique qui prive les non-blancs de parole et impose un récit dominant sur le terrorisme qui facilite la montée d’un État policier et cible les personnes non blanches». Ainsi, l'objectif affiché de cette conférence est de défendre une «Internationale Décoloniale qui scellerait une alliance politique entre les mouvements décoloniaux d'Occident».
Au programme de ces journées, des conférences et des débats aux intitulés douteux. Florilège : «Combattre l’Etat policier et le racisme d’Etat à l’échelle des pays du Nord», «Quelles alliances avec la gauche blanche», ou encore «Racismes intra-communautaires ou comment les combattre et construire une alliance stratégique entre les communautés ?» Cette idéologie mortifère est toujours la même : sous couvert d'antiracisme, on inculque une vision racialiste de la société en prônant une solidarité entre les communautés non-blanches afin de lutter contre les oppresseurs blancs.
Parmi la longue liste des intervenants, on retrouve toute la clique française habituelle. Le Collectif contre l'islamophobie en France ; Rokhaya Diallo, une militante antiraciste connue pour avoir défendu les camps d’été interdits aux blancs ; Houria Bouteldja, porte-parole du Parti des indigènes de la République qui accuse régulièrement la France de racisme d’Etat envers les descendants des populations colonisés. Autre invité de marque : Nordine Saidi, un membre du parti Islam en Belgique (mouvement dont l’objectif est d’instaurer la charia dans son pays), qui avait refusé en 2009 de condamner les attentats terroristes.
Le clou de cette conférence est probablement le «jet de chaussures anti-impérialistes» qui sera organisé contre Manuel Valls. Ces quelques jours du premier week-end de mai promettent d'être enrichissants.
Pourquoi donc critiquent-ils l’époque où les noirs s’asseyaient à l’arrière du bus? On leur donnait juste la possibilité de s’exprimer entre racisés sans l’oppressante présence blanche pour les gêner. Le progrès avant l’heure, ils sont forts ces américains :’D
Donc en toute réciprocité, on va enfin pouvoir organiser des événements entre Blancs.
Rappelons que sur le continent “non blanc”, la Rhodésie était surnommée la petite Suisse de l’Afrique devenue, depuis la décolonisation, le Zimbabwe, un pays qui affiche menace de famine et chômage massif.
L’état d’Afrique du Sud était également très prospère, attirant fortement les résidents des pays voisins, mais la reprise en main par les descendants de ces migrants, change la donne: http://www.jeuneafrique.com/mag/491244/economie/afrique-du-sud-une-situation-economique-catastrophique/
Evidemment, ce manque de compétences et de performances de cette population non blanche, c’est encore la faute aux blancs.
Bande de cons ! Les peuples d’Asie, dans leur majorité, sont assez intelligents pour avoir tiré profit de la colonisation (science, médecine, techniques dont agriculture) et ne s’en plaignent pas après avoir recouvré l’indépendance. Et puis il y a les autres, qui n’en ont rien tiré, et qui se plaignent. Idiots qu’ils sont : s’il y a eu crime de la part des anciennes puissances coloniales, c’est bien d’avoir décolonisé. Car après leur retrait, la gabegie, la famine, les guerres tribales, les épidémies, ont recommencé comme avant la colonisation. S’y rajoute le lapinisme pour aggraver le Spiel. Alors qu’ils ne viennent pas nous échauffer les oreilles, ces claque-dents bons à rien, avec la “colonisation” ! Marre, c’est marre !