L'Université a lancé un programme où les étudiants aident les requérants d'asile à pratiquer le français tout en nouant des contacts sociaux. Ils sont en tout trente-cinq étudiants — dont trente-trois jeunes femmes — à avoir comme elle décidé de tenter l’expérience de former un binôme avec un requérant d’asile.
«En tant que réfugié, c’est utile de connaître quelqu’un qui sait comment les choses fonctionnent en Suisse. Célia peut m’aider dans mes démarches administratives, par exemple pour remplir les formulaires afin d’avoir l’équivalence de mes diplômes.». S’il obtient l’asile, le Gazaoui espère pouvoir reprendre son métier d’assistant social.
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Les femmes sont comme les hommes , par exemple si elles ne trouvent pas un julot ici, on se tourne vers le tiers-monde et on rève ! Les hommes font de mème manière certains vont chercher des filles à marier jusqu’au Zoulouland.( Afrique du Sud)…
@Célestine : il vaudrait mieux que les femmes gauchistes dont vous parlez n’éduquent pas d’enfants, car ce serait un désastre ! Il faudrait d’abord les éduquer elles-mêmes avant de les réinsérer dans la vie normale, loin de la “politique”. Mission impossible face à des esprits sclérosés.
Heureusement, il demeure une majorité (silencieuse) de femmes non contaminées par les idées destructrices des gauchistes.
@Jack Palance – Je suis une femme en total accord avec vos commentaires. Il n’y a pas si longtemps que ça, je pensais que des femmes au gouvernement ou autres instances supérieures apporteraient un peu d’humanité dans un monde géré par des hommes, à la dure, à la Jack Palance quoi. Aujourd’hui, en constatant tout le mal qu’elles génèrent de par leur sentimentalité excessive, leur naïveté et leur désir de revanche, je suis pour qu’elles retournent à leurs casseroles et à l’éducation de leurs mômes.
Je persiste à dire que les femmes n’ont en grande majorité aucune jugeote et fonctionnent à l’émotionnel, l’humanisme bœuf, au protectionnisme primaire et sclérosée par le gauchisme !….combien de ces péronnelles seront en politique d’ici quelques années afin de continuer leur destruction de notre société ?…..il y a qu’à se souvenir de toutes ces petites pisseuses avec leurs pancartes “Welkom migrant” en Allemagne pour s’en faire une parfaite illustration !
Petite question: comment un type qui ne sait pas remplir ses papiers pourrait-il être assistant social?
N’a-t-il pas mélangé *être au social* avec *travailler au social*?
L’étudiante-boniche va pouvoir l’aider à prendre le travail d’un Suisse, avec un diplôme au rabais: rien que de l’enrichissement pour nous autres Suisses. Et n’en doutez pas, l’administration de Genève adorerait engager cet individu à la place de l’un de nos compatriotes: quelle splendide publicité avec cette preuve “d’ouverture pour la diversité”. On l’a d’ailleurs très bien relevé avec la famille Ramadan qui n’a pas eu son pareil pour remercier ce canton.
Spécifiquement en sachant que le social est l’endroit rêvé pour qu’il puisse par la suite arroser de notre argent tous ses petits copains.
Pendant ce temps, la faculté de médecine de l’Unige serre la vis aux étudiants de 1ère année en leur interdisant de redoubler si leur note globale est trop basse: les autres avant les nôtres!
Bravo l’Unige!
Elles peuvent se faire violer, ou découper en rondelle, cela me ferait grandement plaisir. Bande d’idiotes.
Je cite : ”S’il obtient l’asile, le Gazaoui espère pouvoir reprendre son métier d’assistant social.”
Venir en Suisse pour faire du social … il va pouvoir s’occuper de requérants au social, des réfugiés au social, des migrants/immigrés au social, de ”chômeurs immigrés” au social, des ”chances” au social, le social aide le social … on tourne en boucle !