L'invention de la mort d'un étudiant ou l'inconscience du gauchisme imbécile
Le lamentable épisode du faux martyr de Tolbiac donne une nouvelle démonstration de l’urgence qu’il y a pour tout mouvement populaire à se débarrasser du gauchisme infantile désormais entré en voie de dégénérescence accélérée.
Chien Guevara au pays de la « fake » révolution
La faculté de Tolbiac était occupée depuis quelque temps par une poignée d’hurluberlus aux revendications absurdes quand elles n’étaient pas carrément racistes. À la demande du doyen, une intervention policière s’est déroulée à cinq heures du matin, moment où la poignée d’occupants dormait paisiblement. L’évacuation s’est déroulée sans problème et sans casse comme le démontrait tout un tas de vidéos. Une petite guerre de communication a suivi dans la journée, les autorités faisant circuler les photos des locaux dévastés par l’occupation, les autres se relayant pour prétendre sur un ton dramatique, voire avec force sanglots que l’évacuation avait été l’occasion d’un abominable pogrom. La palme revenant à ces dirigeantes de la pauvre UNEF qui nous avaient d’abord expliqué la détresse de ces étudiants arrivant en fac sans qu’on leur ait appris à prendre des notes et à couper leur viande au resto U. Avant de nous asséner cette fois-ci que toutes les cochonneries taguées sur les murs de l’établissement étaient le fait des forces de l’ordre au moment de leur intervention. L’épisode hilarant du chien Guevara sur Twitter n’avait fait qu’illustrer le ridicule de tout cet épisode affublé du titre ronflant et stupide de « commune libre de Tolbiac ». [...]
Et vous, qu'en pensez vous ?