Alors que l’ancien conseiller fédéral Burkhalter faisait de la discrétion une condition sine qua non des négociations avec l’UE, le nouveau secrétaire d’État aux affaires européennes prend le pari inverse.
L’objectif du nouveau négociateur en chef avec l’UE est clair: rétablir la confiance et convaincre. Il parle ainsi d’un changement de paradigme. «Dans le passé, il y avait d'abord des consultations et des négociations secrètes, puis les résultats étaient publiés.
Et de prendre l’exemple de l’accord institutionnel, désormais porté par Ignazio Cassis. «Nous avons commencé à expliquer ce que nous voulons atteindre et nous continuerons à le faire.»
(...)
accord-cadre: JA-MAIS!
Schengen & cedh: NON: le citoyen suisse veut décider qui il accepte CHEZ LUI! L’ue n’a pas voix au chapitre.
Un collabo UE grassement retribué par nos impots en plus, que lui et sa clique aillent au diable, veulent encore et encore nous soumettrent aux dictateurs de Bruxelles, jamais nous ne cederons!
Quand a Cassis, que certains voyaient de notre coté, vous pouvez tirez la chasse…Un vrai plr
Peu importe la méthode. On ne nous raconte que ce que l’on veut bien, comme d’habitude. Le seul but est de nous faire sauter dans le creux à purin…
Bof, c’est juste une propagande qui change de ton, et de mots, car elle reste martelante et harcelante, jusqu’à ce que les Suisses cèdent.