Le regroupement familial rend l’intégration des immigrants plus difficile
Mauvaise nouvelle pour tous ceux qui favorisent le « regroupement familial », comme les islamo-gauchistes, Macron, Merkel et même certains membres de notre gouvernement. Une étude de l’Université de Constance auprès des immigrants musulmans (c’est la majorité) montre que leur intégration est rendue plus difficile par l’élargissement de leur cercle de parents.
https://www.journalistenwatch.com/2018/04/17/uni-studie-integration-von-migranten-wird-durch-groessere-verwandtschaftsgruppen-erschwert/
Les Afghans et les Syriens, par exemple, ont formé, à la suite de leur immigration en série et du « regroupement familial », des groupes plus importants de parenté qui se caractérisent par de fortes structures hiérarchiques. Ils sont difficilement ou pas du tout atteignables par des mesures d’intégration, vivent selon leurs propres règles culturelles traditionnelles et exercent entre autres des pressions sur les membres de leur groupe qui seraient prêts à s’intégrer.
Claude Haenggli, 17.4.2018
BONNE ANALYSE.
En effet, ils ont l’habitude de vivre en groupe, selon la loi du groupe, l’emprise et la protection du groupe. Faites venir leur famille et vous aurez le même résultat.
Ayant connu cette manière de vivre dans les différentes communautés que j’ai fréquentées, j’ai pu m’apercevoir ” de cette petite ou grande ALIENATION au groupe”. S’il n’y avait qu’une “protection du groupe sur l’individu, mais il y a des “codes” très pesants à respecter et qui deviennent “étouffants” au fur et à mesure que l’individu grandit en Occident, car il perçoit qu’il n’a pas à cause de son groupe, le droit à vivre la liberté qu’il voit au quotidien à l’extérieur. Une minorité s’échappera de cette ALIENATION au groupe. Mais vivra une solitude à laquelle elle n’était absolument pas préparée.
LE RESTE S’Y SOUMETTRA ET VIVRA UNE INSATISFACTION QU’IL N’EXPRIMERA PAS ENVERS SA “TRIBU” petite, moyenne ou grande, MAIS ENVERS LE PAYS D’ACCUEIL EN LE RENDANT COUPABLE DE SON MALAISE.
Pour commencer, l’Europe a mal fait son job en parquant l’ensemble des populations allochtones dans des quartiers vides et en les considèrant au mieux comme des citoyens de troisième zone, sans se préoccuper de leur intégration.
Tu m’étonnes qu’ils n’arrivent pas à s’intégrer avec une telle ségrégation et avec la possibilité de ramener leur famille pour rester entre eux, histoire de bien faire du communautarisme.
Et pour les peuples d’Europe, la question se résume de la sorte: dans le grand corps européen, voulez-vous de gros kystes ou des cellules-malignes disséminées partout ? A la limite, on peut se dire qu’un kyste, ça s’extrait “chirurgicalement” plus facilement.
C’est l’ évidence même.
Et vu qu’il s’ agit à 95% de musulmans au social, plus besoin de s’ en faire…
On vit comme sous une tente de bédouins d’où l’on ne sort que pour se rendre aux Offices Sociaux pour y retirer son ” dû “.
C’est la définition d’ un ” Etat dans l’ Etat “.
Tout ceci est voulu, c’est foutu depuis si longtemps… pour ceux qui sont accros aux statistiques
voir sur Kla tv :
Existe-t-il un remplacement délibéré de la population ?
https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=12258&date=2018-04-10
Etant en famille et vivant avec leur clan, c’est évident qu’ils n’ont plus besoin de s’intégrer, dans le même ordre d’idée qu’une personne qui voyage à l’étranger seule rencontrera plus de gens du pays et cherchera plus le contact avec ces gens du pays que quelqu’un qui voyage en famille ou en groupe.
Et donc, ça doit aussi être évident pour les Macron, Merkel et autres, donc on peut en déduire que l’intégration des étrangers n’est pas le but de ces politiciens….
Quand on sait à quel point les sociétés musulmanes sont patriarcales on comprend que la présence du père n’aide pas les jeunes femmes à se débarasser de leur voile et les jeunes hommes à respecter leurs femmes et celles des kouffars.
Le simple bon sens permet de le comprendre mais il est heureux qu’une étude universitaire vienne le confirmer. Que cela donne à cette approche un tantinet de crédibilité vis-à-vis des médias gauchistes.