Chargé fin 2017 par Emmanuel Macron de fixer les grands axes du «plan de bataille» en faveur des banlieues en difficulté, Jean-Louis Borloo s’apprête à remettre au chef de l’Etat un rapport recommandant un investissement de 48 milliards d’euros.
Jean-Louis Borloo, artisan de la politique de rénovation urbaine initiée en 2003 sous la présidence Chirac, reprend du service. Après avoir plaidé pour l’électrification du continent africain ces dernières années, l’ancien ministre de la Ville a été chargé en novembre dernier par Emmanuel Macron, de constituer un rapport sur les banlieues en difficulté. L’objectif de ce «plan de bataille», qualifié ainsi par le chef de l'Etat : proposer les grandes lignes d’une politique visant à faire sortir de leur ornière les quartiers défavorisés.
Selon Le Figaro et L’Obs, l’ancien président du parti centriste UDI s’apprêterait, au cours de la semaine du 16 avril, à rendre son rapport, préconisant un plan d’investissement à hauteur de 48 milliards d’euros. Un montant qu’il a dévoilé lui-même devant les maire des grandes villes, réunis le 6 avril à Dijon. Ces derniers avaient notamment appelé l’Etat à donner «un nouveau souffle à la politique de la ville», sur fond d'inquiétudes d'un supposé désengagement de l'Etat envers les communes.
De son côté, le secrétaire d’Etat à la Cohésion des territoires, Julien Denormandie, a assuré que le gouvernement ne «lâcherait rien» en matière d'aide aux banlieues et qu’il consentirait des efforts importants pour les jeunes des quartiers populaires. Néanmoins, il a reconnu que dans ces territoires, certains maires et et associations étaient «épuisés».
Ces révélations surviennent quelques jours après la démission du maire écologiste de Sevran (Seine-Saint-Denis) Stéphane Gatignon, qui s'est dit «fatigué» par l'absence de volonté politique en faveur des banlieues.
Nos remerciements à Christelle B.
Faire appel à “Blackwater” reviendrait moins cher …
Pour bien moins d’un milliard on pourrait restaurer un bagne. Même pas pensé à ça.
@Maury
Précision : la majorité des Suisses ne souhaite pas rentrer dans l’UE et si on devait voter ça serait refusé. Le gouvernement le sait très bien mais fantasme sur cette UE. Aujourd’hui, vu le nombre d’accords pourris déjà signés (sans notre accord) avec Bruxelles, il ne manque presque rien pour que la Suisse en fasse partie. Et ceci à l’insu de notre plein gré comme disait je ne sais plus qui ! Bref, tout ce petit commerce se fait dans le dos du peuple “souverain”, la démocratie est bien finie…
Cette politique de la Ville est une distribution de rentes à certains quartiers caractérisés par des émeutes anti-police, des trafics illicites, des violences urbaines et scolaires. Un Etat sain au service des français aurait depuis longtemps fait le tri entre l’immigration qui respecte le pays d’accueil, donc les français, et l’immigration émeutière et délinquante, parasite sociale, et souvent islamiste – celle qui réclame la loi coranique. Mais la République est malade de l’Europe, comme le sont aussi Le Royaue-uni, l’Allemagne, l’Italie. Plus précisément les Etats-membres occidentaux de l’UE ont renié leurs lois et Constitutions nationales, souvent anciennes et raisonnées, pour des lois supranationales fondées sur l’indifférenciation obligatoire. La “construction” européenne, n’a rien d’un marché intérieur (l’OMC est la norme). Au lieu de cela nous avons dans toute l’Europe de l’Ouest, un vaste camp de rééducation à la négation identitaire européenne et à l’islamo-soumission (prison ferme pour Tony Robinson au RU) prison avec sursis pour P. Cassen en France) (procès politique dans toute l’Europe de l’Ouest, jadis foyer des libertés. Les grandes démocraties nationales ont échappé à leur propre Peuple, qu’elles remplacent chacun par un nouveau peuple nomade, moins instruit au moins au plan politique, donc plus accessible aux politiciens clientélistes.
Pour cette explosion de la rente clientéliste, la dette française est hors de contrôle. Ce régime vit à crédit, parasite les forces vives productrices, et vend le pays à l’étranger. Un régime-traître.
Un nouveau livre vient de sortir : “L’imposture du vivre ensemble” de P.F. Paoli. Je me promets de l’acheter.
“Ouvrez, ouvrez la cave au Borloo,
Regardez-le s’enivrer, c’est beau,
Les enfants si vous voyez
Le p’tit Borloo assoiffé
Ouvrez-lui la cave pour se désaltérer”….
Il l’a sorti du garde-mites, le Macron, le Borloo ! Bon, nous en avons marre de cette ruineuse, inutile et imbécile “politique de la ville”. Cela vaut nib, zéro, ça n’a pas empêché les djihadistes de proliférer. Alors : stop ! Stop !
C’est son argent ou le mien ? Parce que ça change tout !
C’est comme vouloir aider Haïti.
Et combien de fois ce chiffre a été attribué à ces pôôôvres zones. Quand je pense à nos grand-parents qui n’ont pas eu la chance d’avoir un HLM, que nos parents auraient tellement apprécié d’avoir un HLM (époque où les immigrés venaient travailler pour l’industrie des voitures) mais hélas ils avait eu “la méchante idée de faire deux enfants seulement. On ne pouvait pas rivaliser avec le regroupement familial. Alors à cette époque, les propriétaires faisaient confiance aux gens àux revenus modestes, et leur louaient des petits appartements qui mangeaient la moitié d’un salaire modeste. L’allocation logement n’existait pas, alors les besoins essentiels comme s’habiller, se chauffer, se chausser était un sport financier. J’ai vu aussi des rescapés de la guerre vivre dans des barquements provisoires, pendant des années et des années. Tous ces humbles s’en sont sortis avec courage, sans tout cet assistanat et on pu améliorer petit à petit leur sort.
ET AUJOURD’HUI, l’assistanat social, plussss les milliards qui ont été dépensés ont servi à quoi? ET ON EN RAJOUTE.
Qui va payer : les classes moyennes qui vont voir leur revenus s’effondrer, pour protéger des masses migratoires que l’on fait venir POUR NOUS FAIRE DISPARAITRE.
HONTE A CES GOUVERNEMENTS QUI SERONT JUGES.
48 milliards plus 70 a 80 milliards par an pour l émigration avec une dette de 2250 milliards pour la France , plus les allocations sociales qui doit couter des milliards a l état français , les émigrer sont en grande partie responsable de la dette gigantesque de la France , tous ces investissement ne servent en rien puisque les musulmans haïssent les français au point de leur tirer dessus ou leur rouler dessus avec voiture et camions ou camionnette , leur haine se retrouve dans les textes du coran , c est l origine du mal , les racines du mal c est l islam , les français on fait assez pour les musulmans , ils leur ont tous donné mais ceux ci s en moque des largesse des gouvernements , ils veulent conquérir la France et l islamisée ainsi que le reste du monde , c est la terre entière qui est en danger , partout ou ils y a des musulmans , les gens sont en danger , quoi que l on fasse pour eux a coup de milliards ils s en moque tant que la charia ne sera pas installée en France et que le drapeau islamique flottera au sommet de l Elysée et de la maison blanche
Amis suisse ne rentrez jamais dans l’uerss!!!!!!!!!!!!
France : purge des “tradis” de l’armée : le gouvernement de gauche Macron se prépare à virer d’une école militaire les “tradis” de droite naturellement sur dénonciation du journal d’extrême gauche Libération, sur la base d’une lettre d’UNE étudiante, visiblement très féministe et … un peu en surpoids.
“Libération, le quotidien français, a publié des allégations d’intimidations quotidiennes envers les femmes, qui ont enduré leurs portes la nuit pour les empêcher de dormir, la défécation devant leurs dortoirs, les menaces de dommages physiques et les affichages internet avouant “la mort à la grosse”. “.
Il citait une lettre envoyée au président Emmanuel Macron par une étudiante dénonçant la présence de fraternités de jeunes hommes ultra-nationalistes connus sous le nom de «tradis», ou traditionalistes.
Elle a dit qu’environ 60 recrues masculines sur les 230 du centre étaient «disposées à faire n’importe quoi» pour la forcer, ainsi que les autres étudiantes, à abandonner.
“J’ai honte d’avoir voulu rejoindre une armée qui n’est pas prête à recevoir des femmes, j’ai appris que le fait d’avoir un vagin ruine une carrière, une vocation, une vie”, écrit-elle.
Le rapport cite également un certain nombre d’anciennes étudiantes qui ont déclaré que la persécution alléguée les avait finalement conduites à quitter leur entraînement militaire, tandis que les comportements homophobes et d’extrême droite étaient répandus.”
https://www.telegraph.co.uk/news/2018/04/05/france-pledges-zero-tolerance-excludes-students-top-military/
France: vers une soumission totale à l’islam et la destruction de la liberté d’expression
par Guy Millière
7 avril 2018
Traduction du texte original: France: Toward Total Submission to Islam, Destruction of Free Speech
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Le gouvernement français et la justice française affirment traiter toutes les religions de manière égale, mais traitent la religion musulmane comme si elle était “plus égale que les autres”- et pouvait jouir des privilèges particuliers. Ceux qui critiquent l’islam – ou qui montrent les conséquences du terrorisme islamique – font l’objet de poursuites impitoyables, alors que des organisations racistes haineuses ne sont jamais incriminées.
“Qui a le droit de dire que, dans trente à quarante ans, la France ne sera pas un pays musulman? Personne dans ce pays n’a le droit de nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam”. – Marwan Muhammad, porte-parole du “Collectif contre l’islamophobie en France”.
Le Président Macron a récemment déclaré qu’il voulait une loi contre les “fausses nouvelles”. Si la loi est adoptée, tous les magazines en ligne en France qui ne diffusent pas ce que le gouvernement définit comme de “vraies nouvelles” pourraient faire l’objet d’une suspension immédiate. S’ils sont situés hors de France, l’accès à ceux-ci serait bloqué. Les magazines et sites web islamiques en ligne ne figurent pas sur la liste des fournisseurs de “fausses nouvelles” incriminés. Quels magazines et sites web sont en tête de liste? Ceux qui posent des questions sur l’Islam.
Après l’assassinat d’une grande partie de la rédaction du magazine satirique français Charlie Hebdo à Paris le 7 janvier 2015, la prises d’otage et les meurtres commis dans un supermarché cacher deux jours plus tard ont confirmé ce qui était d’ores et déjà évident: la France était une cible du terrorisme islamique. Une grande manifestation organisée à Paris le 11 janvier, a réuni un million et demi de personnes, a laquelle se sont jointes des personnalités politiques venues du monde entier.
Pendant un bref moment, la France a semblé être le pays où les multitudes étaient prêtes à défendre la liberté de parole, et où le gouvernement était prêt à se battre pour les valeurs de la civilisation occidentale.
Malheureusement, cette impression n’a pas duré longtemps.
Depuis des années, la liberté d’expression en France était en cours d’écrasement, en particulier pour ce qui concerne l’islam et le terrorisme islamique. Les journalistes qui osaient dire que l’islam ne ressemblait pas à une religion de paix, mais plutôt à une religion de guerre, faisaient l’objet de poursuites rudes et systématiques. Les directeur et rédacteur en chef de Charlie Hebdo n’étaient pas épargnés: ils avaient été poursuivis dès 2006, l’année où le magazine avait republié les caricatures danoises de Mahomet, et poursuivis à nouveau en 2007, 2012 et 2013. L’écrivain Michel Houellebecq avait été convoqué par la justice en 2010 pour avoir simplement affirmé que l’islam était une religion « con». La première condamnation judiciaire contre le polémiste Éric Zemmour date de 2011. Le site Riposte Laïque a été créé en 2007 pour lutter contre la censure, défendre la laïcité et préserver le droit de critiquer l’islam. Les procès contre son fondateur, Pierre Cassen, ont immédiatement été innombrables.
Le harcèlement judiciaire contre ceux qui osaient encore parler «incorrectement» de l’islam ne s’est pas arrêté après les meurtres de Charlie Hebdo: il s’est au contraire intensifié. Les attentats terroristes perpétrés en France en novembre 2015 et en juillet 2016 n’ont donné lieu à aucune manifestation; tout juste à des signes de tristesse, de peur et de résignation. Les politiciens français ont utilisé à chaque fois des mots vides, ont parlé des dangers du “fanatisme” et ont dit que la France était “en guerre” – mais ils n’ont jamais nommé l’ennemi. Les journalistes et les écrivains qui ont déclaré que les terroristes qui attaquaient la France étaient musulmans, et que “l’islamisme” n’était pas étranger à l’islam, ont dû répondre de leurs paroles devant un tribunal et se sont vus infliger des amendes de plusieurs milliers d’euros.
Éric Zemmour et Pierre Cassen ont tous deux passé des heures à fournir aux juges des preuves concluantes – en vain.
Depuis l’élection du Président Emmanuel Macron il y a un an, la situation s’est encore détériorée. Le 20 juin 2017, à la fin d’un dîner d’Iftar qu’il a partagé avec des dirigeants musulmans, Macron a déclaré que “.. personne ne peut faire croire que l’islam n’est pas compatible avec la République”; que “personne ne peut faire croire que la France rejette sa composante de foi musulmane”, et que “tenter de donner de l’islam l’image d’une religion cautionnant le meurtre et la terreur” doit être condamné. La plupart des critiques français de l’Islam ont compris le message et ont prudemment choisi le silence. Riposte Laïque n’a pas fait le même choix, et en a subi les conséquences.
Le 20 janvier 2018, Pierre Cassen a été reconnu coupable d'”incitation à la haine” contre les Musulmans et s’est vu infliger une amende globale de 12 000 euros. Il a également été condamné à une peine de prison avec sursis de trois mois. Il sera bientôt jugé à nouveau pour s’être rendu coupable du même “crime” et pourrait être envoyé en prison.
Plusieurs gouvernements européens ont clairement indiqué que la critique de l’islam pouvait mener à des poursuites et à des condamnations. Récemment, des citoyens britanniques, danois et allemands ont été condamnés à des peines avec sursis. Si Pierre Cassen devait être emprisonné, ce sera la première fois que quelqu’un dans une démocratie occidentale serait envoyé en prison pour avoir critiqué une religion.
Le pire est que Pierre Cassen n’est même pas l’auteur de l’article visé par les juges. L’article visé ne fait que dire l’évidence: les Islamistes sont en guerre avec la France et l’Occident, et les incitations à tuer les infidèles sont présentes dans le Coran. Pierre Cassen a, de surcroit, été condamné en tant que directeur de publication de Riposte Laïque; or, depuis 2012, Riposte Laïque est hébergé par la Suisse et dispose d’un directeur de publication suisse. Pierre Cassen n’a plus de rôle officiel dans l’organisation. Il est juste une proie facile parce qu’il vit en France. Pierre Cassen est clairement victime d’un abus de droit, et envisage de demander l’asile politique en Suisse.
Deux membres de l’Assemblée nationale française, Gilbert Collard et Marine Le Pen, une ancienne candidate à la présidence qui a obtenu 35% des voix lors du second tour en mai 2017, ont également été récemment inculpés pour “diffusion d’images violentes “. Ils n’ont pas publié de textes critiquant l’Islam. Après qu’un journaliste ait comparé leur parti (Front national) à l’État islamique, ils ont tweeté des photos montrant des atrocités commises par l’État islamique, et ont ajouté sous les photos: “Daech c’est ça ! “. Ils risquent de lourdes amendes et des peines de prison. Les photos qu’ils ont tweeté ne sont pas secrètes: elles sont largement disponibles sur internet.
Gilbert Collard et Marine Le Pen étaient normalement protégés par l’immunité parlementaire. Leur immunité parlementaire a été levée par un vote quasi unanime à l’Assemblée nationale française. C’est la première fois que des membres d’un gouvernement occidental démocratique risquent d’être emprisonnés pour avoir publié des photos largement disponibles de crimes islamiques.
Les lois françaises sont toujours davantage utilisées par le système judiciaire français pour réprimer toute critique de l’islam. Et, en une dangereuse inversion de la réalité, les critiques de la violence terroriste islamique sont désormais systématiquement présentées par les juges français comme des exemples d’incitation à la haine et à la violence. La menace de peines de prison s’ajoute à la menace d’amendes.
Ceux qui critiquent l’islam – ou qui montrent simplement les conséquences du terrorisme islamique – font l’objet de poursuites impitoyables, alors que des organisations racistes haineuses ne sont jamais incriminées. Le mouvement islamo-gauchiste les “Indigènes de la République”, ainsi, publie des textes laissant entendre que les Juifs contrôlent le “système financier mondial” et que “les sionistes” tuent les enfants palestiniens pour le plaisir, mais n’est jamais condamné. Houria Bouteldja, la porte-parole du mouvement, a publié un livre décrivant les juifs comme des partisans pervers de “l’islamophobie” et déclarant que l’Holocauste est “infiniment moins qu’un détail” de l’histoire. Elle a récemment participé à des manifestations anti-israéliennes au cours desquelles des drapeaux du Hamas et du Hezbollah ont été brandis ainsi que des portraits de tueurs de Juifs. Des organisations juives ont exprimé leur indignation et déposé des plaintes – mais l’ont fait en vain.
Le gouvernement français et la justice française affirment traiter toutes les religions de manière égale, mais traitent la religion musulmane comme si elle était “plus égale que les autres”- et pouvait jouir des privilèges particuliers.
En France, les attaques anti-musulmanes sont bénignes et rares, mais conduisent à de graves condamnations: en janvier 2016, un homme a jeté des lardons devant une mosquée, et a été immédiatement envoyé en prison. Les attaques contre le Christianisme sont innombrables, parfois violentes, et ne mènent presque jamais à la moindre incrimination par la justice. Les théâtres français abritent fréquemment des spectacles anti-chrétiens. Dans une pièce intitulée “Sur le concept du visage de Dieu”, actuellement en tournée dans tout le pays, un grand portrait de Jésus-Christ se trouve insulté pendant près de deux heures, et recouvert d’une matière censée être des excréments. Le Ministère de la Culture français subventionne la tournée. Aucun directeur de théâtre en France n’imaginerait produire un spectacle hostile à l’islam.
Six à huit millions de musulmans vivent en France, et le nombre augmente sans cesse. 400 000 Juifs n’ont pas encore quitté la France, mais chaque année le nombre diminue. Les Chrétiens pratiquants disparaissent. Les églises sont souvent vides.
Les sondages montrent qu’une proportion significative de la population française pense que l’islam est une menace, mais les autorités françaises choisissent de harceler ceux qui parlent de la menace.
En 2005, la situation était déjà grave. Des émeutes musulmanes ont eu lieu dans tout le pays. Le Président français Jacques Chirac a demandé à des imams de rétablir le calme et a commencé à abandonner la souveraineté du gouvernement français sur de nombreux districts. Quelques années plus tard, le Président Nicolas Sarkozy a prétendu réorganiser l'”islam de France”, sur la base d’une structure qu’il avait créée en 2003 lorsqu’il était Ministre de l’Intérieur. Il a demandé aux dirigeants musulmans français d’appeler à la “modération”. Il a échoué: les dirigeants musulmans français ont tous déclaré que “l’islam n’est pas violent” et n’a pas besoin de “modération”. Il a promis de mettre fin à l’existence de “zones de non droit” et de reprendre en main les quartiers abandonnés sous Jacques Chirac. Il a également échoué; en 2006, il y avait 751 zones de non droit en France, et le nombre aujourd’hui reste le même. Le Président François Hollande n’a rien fait et a laissé la situation pourrir davantage. Le Président Emmanuel Macron parle à nouveau de la nécessité de “réorganiser l’islam de France” et semble pratiquer la reddition.
En 2005, des émeutes musulmanes ont eu lieu dans toute la France. Le Président Jacques Chirac a commencé à abandonner la souveraineté du gouvernement sur de nombreux quartiers. Sur la photo: La police anti-émeute regarde un entrepôt brûler en banlieue parisienne à Aubervilliers le 4 novembre 2005, lors de la huitième nuit d’émeutes. (Photo par Pascal Le Segretain / Getty Images)
Macron a récemment laissé entendre qu’il voulait créer le poste de “Grand Imam de France”, un homme qui serait le “chef spirituel” de l’Islam en France. Il a ajouté qu’il aimerait voir la construction de grandes “mosquées cathédrales” dans toutes les grandes villes françaises. Il veut aussi que la langue arabe soit enseignée dans toutes les écoles secondaires, afin, sans doute, de maintenir une relation entre les musulmans et la langue de leur religion. Il promet une “discrimination positive” en faveur des Musulmans et une lutte plus résolue contre “ceux qui attaquent l’islam”. Il n’utilise jamais les mots “Islam radical”. Il parle de “radicalisation”, mais affirme que le principal danger est la “radicalisation de la laïcité”. Il ne cache pas que ceux qui défendent la laïcité – et une séparation nette entre le gouvernement et l’islam (Riposte Laïque, par exemple) – sont un obstacle sur la voie qu’il entend suivre.
A l’évidence, la lutte contre la “radicalisation de la laïcité” est en marche!
Marwan Muhammad, porte-parole du “Collectif contre l’islamophobie en France” a déclaré en 2011:
“Qui a le droit de dire que, dans trente à quarante ans, la France ne sera pas un pays musulman? Personne dans ce pays n’a le droit de nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam”.
Chaque jour en France, des hommes comme Marwan Muhammad ont davantage le droit d’espérer.
L’éminent prédicateur islamique Tariq Ramadan est actuellement détenu à la prison de Fleury-Mérogis, près de Paris: les juges ne peuvent pas ignorer les accusations de viol retenues contre lui. Certains Musulmans français s’obstinent à affirmer qu’il est injustement accusé. D’autres disent que c’est un imposteur, semblent prêts à se débarrasser de lui, et ajoutent qu’il est urgent de créer “d’authentiques institutions islamiques françaises” pleinement “reconnues par le gouvernement français”. Le Président Macron ne pourrait dire mieux. L’islamisation de la France ne s’arrêtera pas.
Le Président Macron a récemment déclaré qu’il voulait une loi contre les “fake news”. Si la loi est adoptée, tous les magazines en ligne en France qui ne diffusent pas ce que le gouvernement définit comme de “vraies nouvelles” pourraient faire l’objet d’une suspension immédiate. S’ils sont situés hors de France, l’accès à ceux-ci serait bloqué. Les magazines et sites web islamiques en ligne ne figurent pas sur la liste des fournisseurs de “fausses nouvelles” incriminés. Quels magazines et sites web sont en tête de liste? Ceux qui posent des questions sur l’Islam.
48 milliards d’euros… ça fait cher le Kärcher.
Cool, plus de pognon pour s’acheter des armes et des explosifs. Les attentats vont ainsi redoubler de fréquence et d’ampleur.
Combien de milliards déjà gaspillés ? Financer ces banlieues n’est pas une nouveauté, mais comme les immigrés viennent avec des Imams et des Coran le problème ne sera jamais résolu avec de la finance. Idem pour les autres éthnies envahissantes : Mème si vous leur donnez à tous l’aide sociale, et une voiture,et un abonnement SNCF,et une TV, et des vacances payées dans leur pays , vous récolterez quand mème de la M….
Qui ne serviront strictement à rien.
Ils ont les alloc et le commerce de la drogue. belles bagnoles, beaux fringues, belles motos et on chialle misère.
Cet argent servirait à la France profonde.
On achète les voyous pour qu’ils se calment. Et tant pis pour les braves qui eux veulent du boulot..
L’art de jeter l’argent par la fenêtre et d’exiger des autres toujours plus d’austérité.
Quels Tordus dans ce gouvernement français.
48 milliards pour l’essor du djihad en France ! Bientôt la charia pour tous .
Merci les collabos !
Et oui,début de la fin…vous pouvez injecter tout l’or du monde tant que leur idéologie sera prioritaire ils n’y aura pas de solutions et la haine qu’ils portent aux européens ne fait que grandir.
Mais nos stupides élites avec les gauchos n’y voient rien et sabordent l’europe…sauve qui peut.
48 milliards jetés à la poubelle, qui serviront juste à attirer quelques milliers ou dizaines de milliers de voix aux prochaines élections …
“quartiers populaires”, en français quartiers où vivent les immigrés, très généralement musulmans. Les asiatiques n’ont pas besoin de “Politiques de la ville” pour s’en sortir. C’est d’ailleurs curieux.