Gilles-William Goldnadel évoque le racisme anti-blanc, dont très peu de médias ou d’associations osent parler. Selon l’avocat, c’est ce tabou qui explique le silence médiatique autour du scandale d’abus sexuels révélé à Telford.
Le racisme antiblanc est le trou le plus noir de l’information comme de la réflexion. Si vous aimez la tranquillité, évitez donc de le nommer. Ou utilisez si possible une circonlocution. Essayez plutôt «détestation anti-occidentale».
Vous éviterez ainsi le chromatisme gênant. On peut parler des noirs, davantage encore du racisme qui les frappe. Mais évoquer le blanc, sauf de manière négative, voilà qui est gênant. Et très inélégant. En parler le moins possible. J’ai connu une époque, pas très lointaine, où les organisations antiracistes autoproclamées contestaient l’existence même de l’aversion du blanc. Lorsqu’on la leur mettait juste dessous leurs yeux, elles la reconnaissaient du bout des lèvres pincées en alléguant le fait que seules des organisations «d’extrême droite» se souciaient de cette question très secondaire. Bref, une pirouette assez primaire. De nos jours, lorsque le temps est clair, certaines condescendent toutefois à se saisir de cas emblématiques, pourvu que le traitement soit discret et homéopathique.
L’actualité récente me permet, à travers deux exemples, l’un en creux, l’autre en plein, de faire sonder du doigt le trou noir maudit.
Prenez Mayotte. On a tout dit sur les dernières manifestations d’exaspération de la colère populaire des Mahorais à propos de l’immigration massive et invasive.
On a dit que cette colère était légitime. On a dit que cette immigration était insupportable pour la population autochtone. On a reconnu sans barguigner le lien entre immigration excessive, illégale et criminalité. On a convenu également qu’elle était facteur de misère sociale, médicale et d’appauvrissement. On a accepté sans pousser de hauts cris de questionner la légitimité du droit du sol. On a reconnu qu’il existait effectivement «des Français de papier» qui avaient indûment instrumentalisé le droit du sol français pour devenir nos concitoyens pour de pures questions d’opportunité financière. On a tout dit, sauf que les Mahorais qui se plaignaient légitimement mais parfois violemment seraient des racistes, des xénophobes ou des populistes extrémistes.
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Mais il y a peut-être encore pire: l’incroyable omerta qui couvre pour l’heure en France les crimes sexuels autour des filles blanches ayant été découverts dans la commune anglaise de Telford.
Près de mille jeunes filles ont fait l’objet de viols collectifs et de trafic de proxénétisme violent de la part d’hommes issus principalement de la communauté pakistanaise. L’affaire connue depuis plusieurs mois, vient de prendre désormais une dimension extravagante et met en cause la police et les médias.
À l’époque de «Balance ton porc», où les violences faites aux femmes font l’objet d’une attention obsessionnelle permanente, le silence qui entoure ce drame immonde prend un tour invraisemblablement obscène et scandaleux.
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«La journaliste Johanna Williams du magazine Spiked, s’émeut que ce qui semble être le pire scandale d’abus sexuels sur des enfants de Grande-Bretagne ait reçu relativement peu de couverture et ne fasse pas la une de journaux tels que le Guardian ou le Times, alors que depuis plusieurs mois, le harcèlement des femmes est dénoncé comme par exemple par le mouvement Me Too dont elle dénonce l’hypocrisie et le silence assourdissant».
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«Comme dans les autres affaires similaires, les auteurs étaient très majoritairement d’origine pakistanaise et bangladaise et de religion musulmane. Par crainte d’être considérées comme racistes, les autorités ont longtemps refusé d’enquêter» (Steve Bird The Télégraph du 9 décembre 2017).
Pendant ce temps, les pseudo-antiracistes hystériques et les néo-féministes frénétiques à moralisme chromatiquement variable restent calmes.
La souffrance, quand elle est blanche, demeure une zone noire interdite de visite.
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Extrait de: Source et auteur
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resistancerepublicaine.eu/2018/03/20/lobs-enquete-sur-le-scandale-pedophile-de-telford-impliquant-un-gang-pakistanais-et-denonce-un-coup-de-la-fachosphere/
Quand on vous dit que les journaleux surtout de gauche sont pourris jusqu’à la moelle l’obs est un merdias qui vomit sa haine du Pays et de ceux qui le défendent, quitte à mentir et inverser les choses; une officine islamo gauchiste quoi!!!!!!
Les gouvernements successifs anglais sont COMPLICES !
Cela ne fait aucun doute. Il ne fallait surtout pas ébruiter des faits à l’encontre de ”chances” ou ”invités” muzz !! Cela allait à l’encontre du multi-culturisme officiel !
Les journaleux à la botte des dirigeants islamo-collabo-bobo sont de piètres individus du même niveau que leur journal juste bon pour du papier ”Q”.
C’est un SCANDALE !
Armons-nous pour nous défendre !
C’est la preuve que ni la police, ni la gendarmerie, ni l’armée ne viendront nous défendre !
Tous gangrénés jusqu’à l’os par les muzz, surtout avec l’aide de Londres Sadique Khan !
Pas étonnant ce silence des médias et des politiques, des horreurs comme Telford nuisent à la propagande du Vivre Ensemble, donc nuisent à l’envahissement de l’Europe par les sauvages consanguins afin de créer cette entité peuplée d’idiots malléables à souhait par les puissants, tout ça avec la bénédiction des zélites islamo-collabobos.
Une actrice qui s’est fait toucher les fesses pour avoir un rôle va émouvoir les médias pendant des mois, des milliers de jeunes filles blanches violées et traitées en esclaves sexuelles par des Anglais d’origine pakistanaise ne méritent même pas un article….
Quelle bande de pourris !
Les “élites” dans leur grandeur (j’me moque là) n’ont pas intégré les réseaux sociaux , particulièrement ceux résistants au mal ambiant ; il est impossible de cacher certaines infamies ; les pédophiles ne pourront indéfiniment se cacher derrière des pizzas et bénéficier de réseaux sectaires .
Je pense que le titre prête à confusion car on comprend que c’est le racisme anti-blanc qui impose l’omerta médiatique alors que c’est la négation de ce racisme qui impose ce même silence.
Tragique constat en effet: Tandis qu’un jeune britannique qui dépose des lardons dans la boite aux lettres d’une mosquée est traité comme un terroriste et jeté en prison en pâture à des musulmans qui auront sa peau, des gangs de pédophiles et de violeurs, assassins de surcroit, sévissent depuis dix ans en toute impunité…
Les gouvernements britanniques ont du sang sur les mains.
On a le sentiment de vivre un cauchemar éveillé..