La journaliste anglo-pakistanaise Saira Khan a publié une tribune dans The Mirror où elle rejette la faute sur l’échec des Britanniques à intégrer les Pakistanais, en titrant : « L’échec à intégrer les immigrés pakistanais a conduit au scandale des viols d’enfants de Telford ».
J’ignore comment on passe de « Des milliers d’adolescentes blanches violées et réduites en esclavage par des gangs pakistanais » à « C’est un problème d’intégration » sans sous-entendre que c’est dans la culture pakistanaise de violer massivement des jeunes filles et de les exploiter sexuellement. On sait qu’en Afghanistan, ils préfèrent les petits garçons travestis pour assouvir leurs pulsions dégueulasses, que le taharrush gamea fait partie des traditions arabo-musulmanes, alors là il faudrait être clair si on veut nous expliquer que les gangs pédocriminels font partie du paysage culturel pakistanais et que tant que les blancs ne placent pas une assistante sociale et un policier derrière chaque immigré ou descendant d’immigré pakistanais, ça va être notre faute.
Saira Khan devrait dire clairement : ces crimes sexuels de masse font partie de la culture pakistanaise et les Pakistanais ne peuvent s’en sortir que par des efforts titanesques de reprogrammation mentale afin de les rendre juste respectueux de nos lois. Or pour elle c’est la faute de la société, de l’intégration, la faute à « ON ». Donc la faute des blancs.
De la même façon que c’est la faute des blancs quand les Africains se découpent en morceaux à la machette made in China, c’est de notre faute si nos fillettes se font droguer, violer et réduire en esclavage par d’immondes pédophiles dont l’exotisme interdit de se plaindre sous peine d’être traité de racisme.
Pendant 40 ans les autorités n’ont rien dit, et laissaient les jeunes filles se faire violer, prostituer, tabasser, droguer. Et le problème c’est l’intégration, pas les pédophiles couverts par l’antiracisme ?
La présentatrice Saira Khan, nominée des British Muslim Award (un événement sponsorisé par l’Islamic Bank of Britain) apparaîtra comme une « femme qui dit les choses » comme si tout avait été dit. Pourtant, elle ne fait que rediriger la faute vers l’Etat-Nounou blanc, comme le font toutes les racisées de la République en France. « Davantage de dialogue social » « davantage d’argent dans les cités » « davantage de politiques d’intégration, de polices de proximité ». Tout, absolument tout a foiré. Ces béquilles ne tiennent que quelques années, les tropismes ethniques étant trop forts. Et plus les villes se vident de leurs blancs, moins les immigrés ont de raison de s’intégrer à quoi que ce soit d’autre que leurs communautés.
La fameuse « intégration à l’Anglaise » que tout le monde vantait se révèle bien pire que la rééducation assimilationniste française (dont le but est de faire des générations de petits blancs dans des corps d’étrangers).
Cette tribune est d’une brièveté de niveau « service public minimum », et sonne faux.
Saira Khan est une Paki qui pense que tout va être okay parce qu’elle dit « oui c’est vrai mes frères ont fait des choses moches, mais ils ont été éduqué par nos mères comme des gros cons », et accuse les blancs de ne pas avoir su intégrer toute sa famille de timbrés arriérés. Elle ose même finir sa tribune en expliquant que si des gens comme elle ne parlent pas, ce sont les méchants blancs britanniques patriotes qui vont triompher :
« A moins que nous ne voulions que les voix de Britain First et du BNP (British National Party) dominent et nous divisent, les Asiatiques comme moi doivent se lever, parler, être honnêtes, et dire « pas en mon nom, pas dans ma religion ni dans mon pays. »
Elle est donc assez gonflée pour avouer qu’elle écrit juste pour protéger ses petites fesses d’une « division » qui ne profiterait qu’aux blancs.
![Tore Rasmussen : « La génération Gretha Thunberg est morte, y compris en Norvège. » [Interview]](https://lesobservateurs.ch/wp-content/uploads/2024/11/Greta_Thunberg_7-76x76.jpg "Tore Rasmussen : « La génération Gretha Thunberg est morte, y compris en Norvège. » [Interview]")
je crois que cette pakistanaise n’a pas compris comment ca marchait l’intégration!!!!mais si elle veut de l’intégration et bien on va lui en donner à notre manière….bientôt!!!!!
je suis allé voir ce que signifait “taharrush gamea”…Et là je lis que cette Madame Saira Khan a déclaré en 2016 avoir été agressée sexuellement au Pakistan, en 2007, alors qu’elle travaillait pour la BBC…par de vrais Pakistanais . Si l’on se rend au Pakistan ,faudra-t-il intégrer ces coutumes ? Et si on refuse de telles coutumes ,quels arguments Madame Khan utilisera-t-elle pour signaler aux Pakistanais que c’est de leur faute si on ne peut pas s’intégrer ? A moins que ce soit encore de notre faute…
Les autres communautés se sont intégrées sans aucun problème.
On n’en peut plus de tous ces donneurs de leçons, que ce soit nos mondialistes immigrationnistes islamophiles, ou ceux que ces derniers nous imposent. Il est insupportable que la faute, quelle qu’elle soit, soit toujours systématiquement rejetée sur les blancs, même quand ils ont la sottise d’accueillir la diversité. Et ce sont toujours de pauvres (très) jeunes filles blanches innocentes et non protégées par leur milieu familial qui sont les victimes d’abominations.
On pourrait suggérer à cette péronnelle agressive d’aller prêcher la bonne parole dans les camps de migrants, seule et les épaules dénudées comme sur la photo. Le résultat pourrait être intéressant…
Toi , met ton voile , et tais toi ! ça fait des siècles qu’on vit sans tes “lumières” et on veut continuer .
En fait, le genre d’attitude de cette journaliste est hyper raciste, car en rejetant toute la faute sur les Blancs, ça sous-entend que les Blancs sont supérieurs, que sans l’aide et l’effort des Blancs les autres restent des sauvages.
On pourrait à la limite reprocher aux Blancs de ne pas avoir éduqué ces arriérés durant l’époque coloniale.
Et ils violent des Blanches, autres preuves que ce sont eux les racistes.
Erreur , ils ne fallait surtout pas les intégrer chez nous .Leurs mœurs sont des mœurs de barbares qui n’a rien à voir avec une société civilisées .
Ben tiens ! ! C’est vrai, c’est dégueulasse! Au lieu de les laisser se fatiguer à violer et prostituer de jeunes européennes, c’était à nous, pays d’accueil, de leur offrir de pleines charretées de jeunes filles décorées de couronnes d’oranger et de lys blancs pour les remercier de venir payer nos retraites. La tradition de l’accueil des étrangers se perd, je vous le dis!
@ Christian Hofer, vous m’avez précéder de quelques minutes ! Notez que ce sont toujours les mêmes qui posent problème, toujours de la même religion, celle des British Muslim Awards. Ce ne sont ni des Hindoues, ni des Bouddhistes, ni des Sikhs ni des témoins de Jéhovah
Est-ce à la société britannique d'”intégrer” les étrangers ? Ou aux étrangers de s’intégrer dans la société britannique ?
“Diviser” : c’est vrai que participer aux British Muslim Awards, cela ne divise pas la société britannique en deux, les musulmans d’un coté et “les autres” de l’autre.
Au fait, comment les pakistanais musulmans traitent-ils les pakistanais chrétiens au Pakistan si ce n’est par la violence et le mépris ? La faute à l’intégration par les blancs ?
Cette femme est un morceau de haine vis-à-vis d’une société qui lui a permis d’être ce qu’elle est.
Donc dans sa tête, nous serions responsables de leurs moeurs et de leur culture, les mêmes qui vous disent que toute intervention des Européens peut être considérée comme étant du néocolonialisme et du paternalisme?
On va mettre les choses au point: ce n’est pas à nous de les éduquer mais à eux de se mettre au niveau du pays d’accueil. Ce n’est pas nous d’intégrer mais à eux de faire des efforts et d’apprendre.
S’ils sont incapables de le faire, alors ils n’ont rien à faire en Occident. Nous n’avons aucune responsabilité vis-à-vis de leur culture rétrograde et c’est à eux de changer, de se mettre à niveau.
On croirait avoir affaire à des débiles qu’il faut prendre en charge!
Est-ce que cette péronnelle s’est faite droguée, violée, exploitée …. par des ”petits” Blancs ?
L’intégration ne peut se faire ”que” si les conditions suivantes sont réunies :
– La personne qui désire s’intégrer fait une EFFORT personnel.
– Le pays d’accueil met à disposition les structures nécessaires.
– Le pays d’accueil n’accepte pas les ghetto, ni les no go zone
– La proportion de migrants/immigrés doit être FAIBLE par rapport à la population autochtone (en général moins de 10%).
– Les demandeurs de s’intégrer ne revendiquent rien d’autre que l’intégration, puis peut être d’acquérir la nationalité du pays d’accueil …
Perso, j’accuse la société Pakistanaise d’engendrer des violeurs.
Non, mais on a fini d’inverser les rôles ?