A noter que le maire stipule qu'il ne peut rien faire pour s'opposer à la présence de ces racailles, les actions de ce maire ayant été annulées par la préfecture.
C'est ainsi qu'une "démocratie" n'est en réalité qu'une enveloppe vide tout au bénéfice de la politique de gauche.
**********
Un demandeur d'asile a menacé un travailleur dans un refuge suite à des demandes de wi-fi.
C'est ce qui est rapporté par le journal local Ciociaria Oggi, qui dans cet article a retracé l'événement en question. L'agresseur serait un migrant Sénégalais de vingt-six ans qui, après avoir demandé à plusieurs reprises la possibilité d'accéder au un réseau internet, aurait menacé et ensuite agressé un travailleur dans le centre où il est logé.
"Ce n'est pas la première fois malheureusement que dans les centres d'accueil, de tels incidents sont enregistrés précisément à cause de l'insistance avec laquelle les hôtes exigent le service."
Le requérant asile aurait été dénoncé pour menaces aggravées.
La ville martyre avait déjà été sous les feux des projecteurs en raison d'incidents similaires ou encore attribuables au comportement de certains migrants. Un autre Sénégalais, issu d'un CTA (camp pour réfugiés), avait été arrêté en janvier dernier à cause de la possession de 230 grammes de haschich et de marijuana dans un sac à dos.
A Cassino toujours, d'autres demandeurs d'asile ont protesté devant le poste de police local en raison du manque d'accès au réseau wi-fi.
Un Nigérian, encore, avait été accusé de tentative de meurtre pour avoir porté un coup à un autre migrant suite à un différend, comme nous l'avons rapporté ici. Ce dernier épisode, qui s'est déroulé il y a quelques semaines, a eu lieu devant le siège d'une coopérative à la rue du Carmine.
Le maire Carlo Maria D'Alessandro avait fait cette déclaration sur les conséquences possibles de l'immigration incontrôlée: "En ce qui concerne la crise des migrants et la sécurité des citoyens, nous mettons en place toutes les actions nécessaires pour protéger les résidents - avait-il souligné. Ou encore: "On vient de financer un projet de 850'000 euros qui permettra, entre autres, l'activation et l'installation de nouvelles caméras connectées directement aux salles d'opération des forces de l'ordre".
«En ce qui concerne l'arrivée continue des demandeurs d'asile - a-t-il ajouté - en tant que municipalité nous avons les mains liées.» J'ai émis une ordonnance pour faire évacuer une structure de la ville car les conditions sanitaires n'étaient pas remplies pour faire séjourner des centaines de migrants mais le TAR de la région de Lazio, où la coopérative chargée de gérer les réfugiés a fait appel de l'acte administratif, nous a informés que le seul organe compétent pour vérifier les conditions de séjour des demandeurs d'asile sont les préfectures et a également suspendu la mesure que j'ai émise."
En bref, aucune possibilité d'expulsion et "les mains liées" pour l'administration de la ville.
Source: ilgiornale.it Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch
Les immigrants ont urgemment besoin de la wi-fi, car cela les aide dans leurs activités quotidiennes. Ce sont en effet des trafiquants, en tout cas de drogue, et peut-être aussi de migrants.
Une histoire bien banale aujourd’hui.
En 1956 une famille refugiée de Hongrie avait refusé à Lausanne l’appartement qu’on leur attribuait en estimant qu’il n’était pas à la hauteur. L’histoire avait fait grand bruit et a paru dans la majorité des médias.
Les temps ont changé…
Pas un jour ne passe sans qu’une ” chance ” ne s’énerve parce qu’il n’à pas reçus ces aides en tout genre , tout ce que les assos leur ont promis en venant ici
” demandez , demandez , on vous donnera ”
il est temps de couper le robinet des aides !
Qu’attend la population Italien pour renvoyer tout ces rastacouer de l’autre coté de la mare nostrum , manu militari .
Un migrant qui agresse un gauchiste ? On en redemande 🙂