Pour continuer à pouvoir servir les pauvres allemands, la soupe populaire de la ville d'Essen dans l'ouest du pays a pris une décision radicale : elle n'accueillera désormais plus que des personnes détentrices d'un passeport allemand.
Une décision que l'organisation, la Tafel, justifie en raison de l'augmentation du nombre de réfugiés au cours des dernières années. En raison de ce phénomène, la proportion de citoyens étrangers parmi les personnes servies est aujourd'hui «montée à 75%», soutient ainsi la Tafel dans des propos rapportés par Le Figaro. Or, avant la crise migratoire, les étrangers ne représentaient que 35% de la population aidée note l'organisation.
«Nous voulons que la grand-mère allemande puisse continuer à venir», a expliqué aux médias allemands le responsable de la Tafel à Essen, Jörg Sartor. Selon lui, les femmes n'oseraient plus venir en raison du comportement de certains réfugiés, qui leur «manquent de respect» ou encore qui n'hésitent pas à «bousculer» dans les files d'attente. D'une manière plus générale, Jörg Sartor a dénoncé l'attitude de «profiteurs» de certains demandeurs d'asile.
Cette décision de la Tafel d'Essen a été très mal perçue en Allemagne, à commencer par les autres soupes populaires qui s'en sont rapidement désolidarisées. «Il est très clair que l'urgence sociale doit l'emporter sur l'origine», a insisté Jochen Brühl, le président de la Tafel au niveau fédéral, jugeant que le signal d'alarme tiré à Essen n'était «pas compréhensible».
Les responsables locaux de la soupe populaire d'Essen se sont défendus en expliquant que la mesure n'était que temporaire et que les étrangers qui fréquentaient déjà l'endroit pouvaient continuer à venir, avant d'affirmer qu'ils ne reviendraient pas sur leur décision.
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Extrait de: Source et auteur
La charite doit etre prioritaire pour son prochain. Je donne donc raison a la Tafel d’Essen. Cordialement. Gerald de LaVauzelle
Bonne initiative
que les envahisseurs aillent se faire f… !
Pour qu’ils ne se battent pas parce qu’il n’ y a pas assez de place: servir une soupe au pois avec des petits dés de jambon. Les vieux en Allemagne sont comme les nôtres ils aiment la soupe au pois avec du jambon, de la saucisse et des jarrets de porc…
Un grand BRAVO à la ville d’Essen !
Que beaucoup d’autres villes prennent les mêmes décisions et l’europe reverra poindre un espoir à l’horizon !
Très bonne mesure. Les merkéliens laisseront-ils la liberté à la ville de procéder selon la juste loi ? C’est une autre paire de manches. En France, en tous cas, ce serait impensable, souvenons-nous des distributions de soupe au cochon ridiculement interdites par des préfets crapoteux sous prétexte de “discrimination” ! Pourtant, la discrimination s’impose de plus en plus : “les nôtres et pas l’envahisseur”. Nous en avons assez du fascisme retourné comme peau de lapin de la bien-pensance qui proclame et agit selon “l’envahisseur avant les nôtres”. Il est vrai que “les nôtres”, pour la bien-pensance hypocrite et perverse, ça n’existe pas !.
Donc si j’ai bien compris, le président de la Tafel au niveau fédéral se fout complètement de la grand-mère allemande….. qu’ils sont beaux ces grands humanistes à la sauce islamo-collabobos !