Attroupement, caillassage, provocations… Contrôle de police sous haute tension, mardi, dans un hall d’entrée squatté du bâtiment Cèdre bleu. Un renfort a été nécessaire pour sécuriser deux interpellations.
Depuis le mois de juin dernier, la police a procédé à plus de 15 interpellations dans le quartier du Haut-du-Lièvre. La majorité d’entre elles, sur fond de trafic de stupéfiants. Pour autant, le très lucratif business autour des stups ne cesse pas. Même si les policiers, de par leur présence sur le terrain et de longues investigations, parviennent à le contenir en s’exposant parfois à des interpellations houleuses. C’était le cas mardi, vers 16 h.
À la demande du bailleur, les patrouilles interviennent à l’entrée n°19 du bâtiment Cèdre bleu. Le hall est squatté par plusieurs individus dont certains se sont installés sur un canapé. Pour contrôler confortablement les flux. On suspecte un trafic de stups mobile organisé au niveau de cette entrée.
Les policiers procèdent alors au contrôle de six personnes. L’une d’elles, un jeune homme âgé d’une vingtaine d’années en possession d’une importante somme d’argent et d’un couteau, présente le profil d’un trafiquant potentiel. Domicilié dans le quartier, l’intéressé est défavorablement connu des services. Les policiers tentent alors de le menotter mais le suspect se débat et ses cris ne tardent pas à rameuter plusieurs curieux qui filment la scène. La tension monte d’un cran d’autant que le jeune Nancéien est légèrement blessé au cours de cette interpellation musclée. Un 2e suspect est arrêté à son tour. Il est porteur de quelques grammes de cannabis.
Le duo est exfiltré et placé en garde à vue avec l’arrivée de renforts policiers, équipés de casques et boucliers. Un pavé termine sa course dans la carrosserie d’un véhicule sérigraphié. Aucun fonctionnaire ne sera blessé. « De par leur professionnalisme, ils ont su gérer - encore une fois - une situation extrêmement tendue sur ce quartier », relève Abdel Nahass, secrétaire départemental du syndicat Unité SGP-Police-FO. Directeur départemental de la Sécurité publique, Nicolas Jolibois souligne, pour sa part, « le sang-froid et la réactivité des unités de voie publique engagées sur ce secteur ».
« Le 9 janvier, nous étions une centaine de fonctionnaires rassemblés devant l’hôtel de police de Nancy pour dénoncer les violences contre les policiers et leur banalisation. Mais quel message envoyons-nous lorsqu’on sait que ces deux individus interpellés au Haut-du-Lièvre ont été remis en liberté dès le lendemain ? », reprend Abdel Nahass. « Pour l’un, avec une convocation devant le tribunal. Pour l’autre, avec une ordonnance pénale. Et ce, sans même avoir été présenté à un magistrat. Nous n’abandonnons pas le terrain et la justice, elle, doit nous accompagner pour faire respecter le droit et la tranquillité publique. L’un des deux interpellés avait été arrêté dimanche pour conduite sans permis, rébellion et il était recherché pour outrages… »
La situation reste sensible sur le HDL. Le week-end dernier, l’entrée n°19-Cèdre Bleu faisait déjà parler d’elle. Avec des portes jetées par la fenêtre d’un appartement situé au 4e étage. Une scène surréaliste accompagnée de cris « Allah akbar ».
Contents les policiers ?
Votre Directeur départemental de la Sécurité publique, lui l’est et souligne : « le sang-froid et la réactivité des unités de voie publique engagées sur ce secteur ». Bravo !
Dommage, vous avez fait et subi tout cela pour rien, les raclures de bidet sont déjà relâchées, pour le prochain épisode de pas belle la vie !
Continuez à bien obéir , et pourtant… L ’article 28 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 considère qu’un fonctionnaire peut désobéir à un ordre qui lui est donné si celui-ci est à la fois manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public . Le droit à la tranquillité publique, à la protection des citoyens, ce n’est pas de l’intérêt public ? Et, est-il légal d’empêcher les policiers de faire leur travail de protection des citoyens, de la société, en leur refusant la possibilité et les moyens de riposte réellement adaptés à la situation ?
Des rues, des quartiers entiers sont aux mains de racailles, de criminels armés, (le citoyen, honnête lui, est désarmé) , et l’Etat par ses lois protectrices des racailles, ses juges rouges qui les appliquent selon leur penchants politiques laissent ces territoires entre leur mains .
Alors, vous serez dans doute, encore plus contents lorsqu’un quadra épinglera une médaille, à titre posthume sur votre cercueil. Lui aussi sera content, vous lui offrirez ainsi de belles cérémonies en direct, c’est bon pour la com.
Votre nouvelle devise : “avé Caesar, morituri te salutant”
Meme nos tribuneaux sont cambriolés (je serai curieux de connaitre le nom du vigile qui a fait le coup)…..mais il parait que les locaux ne sont pas assez sécurisés (a mon avis il serait bon de trier le personnel avant l’embauche)
https://www.lechorepublicain.fr/chartres/faits-divers/justice/2018/01/26/un-vigile-suspecte-d-avoir-derobe-de-la-drogue-a-chartres-comment-peut-on-piller-un-tribunal_12716547.html
On dirait un chapitre du livre de Laurent Oberton “Guerilla”…
Renvoyez ces sauvages chez eux s’occuper de leurs chameaux et moutons.
Bientot les flics feront comme les gardiens de prisons ….ils resteront les bras croisés a regarder l’anarchie qui se propage a la vitesse grand V …..malheur a celui qui n’aura pas le reflexe d’etre armé face a la vérolerie et l’on ne pourra pas culpabiliser les FO qui sont submergées par la pouillasserie qui se déverse sur notre pays avec la bénédiction des assoss , des curés et des islamo collabos