Par Andreas Glarner, conseiller national, Oberwil-Lieli
La modification de la loi sur l’asile introduit des exigences plus élevées concernant l’assignation des requérants d’asile dans un centre spécial pour les déboutés. En outre, les tribunaux doivent concrétiser la notion de «menace grave». Ce qui ne manquera pas d’entraîner un surplus d’affaires juridiques inutiles et des coûts supplémentaires, et de donner un mauvais signal. Il faut donc garder la réglementation actuelle.
Si cela n’était pas écrit noir sur blanc dans la nouvelle loi sur l’asile, on aurait de la peine à le croire: le Conseil fédéral et le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) veulent assouplir les critères relatifs aux conditions où un requérant d’asile doit être conduit dans un centre spécial pour les requérants déboutés.
Les critères pour une mise en danger ou une entrave étaient effet clairement définis jusqu’ici, alors que la nouvelle loi sur l’asile ne parle plus que de « mettre en danger » ou « d’entraver considérablement », et ce d’une manière très générale. Les tribunaux seront donc bien obligés d’interpréter ces notions au cas par cas, ce qui induira immanquablement des coûts supplémentaires ainsi qu’un ralentissement sensible des procédures, alors que celles-ci devraient être accélérées.
On se demande automatiquement s’il s’agit d’intention ou d’inadvertance. Autrement dit, le SEM a-t-il fait preuve d’incompétence ou est-ce qu’il ne veut pas tout bonnement introduire d’autres avantages pour les requérants d’asile déboutés?
L’industrie de l’asile a le bras long au sein du SEM
Si l’on regarde d’où viennent les dirigeants du SEM, alors on s’aperçoit bien vite l’intention qui se cache là derrière. Le « syndrome Mère Theresa de Caritas » ne cesse de se propager. Ce qui ne saurait étonner outre mesure car ces dirigeants, y compris la cheffe du département, ont tous été des cadres de l’industrie de l’asile!
Le directeur du SEM, le secrétaire d’Etat Mario Gattiker, était responsable du service juridique chez Caritas. Sa remplaçante, Barbara Büschi, était quant à elle présidente de Caritas Berne. Esther Maurer, qui occupe le poste de vice-directrice, était présidente de « Solidar Schweiz » (ancienne œuvre d’entraide) et a signé un appel pour que la Suisse accueille 50’000 réfugiés. Mentionnons également que Simonetta Sommaruga, conseillère fédérale, a été présidente de Swissaid pendant 5 ans. Encore des questions?
L’UDC réclame le retour à l’ancien régime
L’UDC se positionne contre ce renchérissement et ce ralentissement de la procédure. Elle a présenté une motion à ce propos et réclame le retour à l’ancienne réglementation. Nous sommes curieux de voir si les représentantes et les représentants du PLR et du PDC vont nous soutenir dans les commissions et au Parlement.
Bravo l’UDC.
Mais quand allez-vous donc passer dans l’opposition ?
Vos deux délégués au conseil fédelair ont manifestement oublié qu’ils sont UDC et que cela signifie qu’une bonne partie du peuple suisse attend qu’ils se réveillent !
D’autre part, le traître cassis vient d’annoncer à Davos qu’il pense que dans trois mois l’accord cadre sera signé ?!?!?!?!?!?!?!?!? Il nous a bien eu ! Il nous l’a mis dans le fion dès habilement.
Dans l’opposition, vous pourrez déclencher des manifestations hostiles à toute cette corruption.
Il faut déjà débouter SYSTEMATIQUEMENT les personnes ne pouvant prouver leur identité ! Ensuite tests osseux pour déterminer l’âge des demandeurs!!
Test d’ADN pour le regroupement familial, qu’il faudrait limiter aux gens ayants des possibilités de travailler avec une période d’essai de 10 ans pendant lesquels tout recours à l’aide sociale doit être interdit!
Aucune bourse ou aide sociale pour les personnes ne parlant pas la langue!
Il suffit de regarder le nombres de parasites qui nuisent au pays et à qui on paie des études. Si UN SEUL membre de la famille n’est pas dans les règles, renvoi immédiat de tout le clan. Sans préavis!!!
@M. A. Rösti: Merci pour vos efforts dans le but d’accélérer les renvois des migrants/immigrés illégaux !
Ce processus de remigration (expulsion du territoire) doit être effectif, pas seulement sur le papier.
Toutes ces ong dirigées par ces femmes rapaces dont le seul intérêt est leur porte-monnaie sous le couvert d’aider est une immense saloperie. J’espère juste qu’elles ont toutes des filles à donner en pâture à toutes ces crapules qu’elles aident à poursuivre cette invasion.