Le principal prévenu risque quatorze ans de prison pour deux viols, des car-jackings et des vols avec violence
Vols simples, vols avec violence, car-jackings, coups et blessures… sont autant de préventions retenues contre trois détenus qui comparaissaient ce lundi devant le tribunal correctionnel de Mons. L’un d’entre eux doit aussi répondre de deux viols commis sur deux femmes à Mons et La Louvière. La violence, sous toutes ses formes, était centrale dans cette affaire.
Âgés d’une trentaine d’années, les trois prévenus sont de nationalité tunisienne, seul un avait un semblant de vie de famille en Belgique, du côté de La Louvière. Il s’agit de Marouane, c’est lui qui comparaît pour les faits les plus graves. Il est incarcéré depuis novembre 2015. Il risque quatorze ans de prison (ainsi que sept ans de mise à disposition du tribunal d’application des peines). Dans le dossier vols en série, ses présumés complices risquent de trois à sept ans de prison.
Marouane, le principal prévenu, est bien connu en France où il a déjà écopé de cinq condamnations en correctionnelle pour des faits similaires. Son ADN est d’ailleurs répertorié dans la base de données. C’est ce qui permettra aux enquêteurs belges de relier Marouane à deux viols.
Des réfugiés? Ah bon, la Tunisie est en guerre? Quand cessera-t-on de nous prendre pour des imbéciles? Il faut dire que le manque de réaction de la plupart des concitoyens européens est affligeante.
Oh, il y aura bien des crétins pour leur trouver des circonstances atténuantes. Il faut reconnaître que les chats-fourrés fréquentent assidûment Sir Konstanz A.T. Nuanth, faux gentleman de fort mauvais conseil. Cependant, ma Dame de Cœur à moi ne coupe pas la tête des scélérats, contrairement à celle d’Alice, elle trouve que répandre trois litres de sang c’est salissant : elle préfère l’injection létale. La Dame de Pique préfère la pendaison, mais pour des motifs inavouables !
perpète …c est tous ce qu’ils méritent
La Dame de Cœur dirait , qu’on leur coupe la tête.
En Suisse, ils obtiendraient le droit d’asile pour faire venir leurs familles élargies et seraient condamnés à suivre des cours d’équitation.