Manque de respect et surtout de confiance: l'interaction entre la police et les communautés culturelles n'est pas toujours aisée. Pour y remédier, de plus en plus de polices misent sur des "bâtisseurs de ponts", des agents spécialistes du contact avec les minorités.
Le cas est édifiant: une migrante turque violentée par son mari avait peur de s'adresser à la police, pensant que celle-ci, comme souvent dans son pays d'origine, donnerait raison à l'homme. La policière de l'intervention a dû lui expliquer comment travaillent les forces de l'ordre helvétique pour la rassurer.
Cet exemple provient d'un travail de master consacré aux "bâtisseurs de ponts", rendu cet automne à la Haute école des sciences appliquées de Zurich (ZHAW). Il illustre la nécessité d'expliquer le travail de la police à la population interculturelle grandissante.
Zurich pionnière en Suisse
Une des premières polices à avoir reconnu ce besoin en Suisse est la police cantonale zurichoise. Elle a fondé son service de bâtisseurs de ponts il y a tout juste dix ans.
Une des dernières en date est la police de Winterthour (ZH), qui a créé un poste de bâtisseur de pont il y a une année. La démarche s'inscrit dans l'effort de la ville de prévenir la radicalisation islamiste. Elle avait fait les titres après le départ de plusieurs jeunes pour rejoindre les rangs de l'Etat islamique (EI).
D'autres polices comptent des bâtisseurs de ponts, mais pas toujours sous ce titre. A Lausanne par exemple, ils agissent sous l'égide du "Projet Multiculturalité".
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Rappel:
Pour le socialiste Alain Berset « renforcer les minorités, c’est renforcer le pays »
L’exemple est parlant (et affligeant) : au final on va payer une appartement séparé à la femme turque et l’entretenir pendant des années, mais on ne va certainement pas expulser le mari (auquel on offrira probablement le soutien d’un psy et de quelques assistants sociaux).
Le seul pont à bâtir pour ces communautés est aérien, direction leurs pays d’origine, et les avions doivent revenir vides.
Voilà donc le véritable visage du multiculturalisme: le petit con d’Européen obligé de palier aux problèmes importés par d’autres communautés violentes.
Mais ne vous inquiétez pas, la police n’aura aucune “compréhension” lorsqu’il s’agira des nôtres.
Depuis longtemps la devise de la police est :Les autres avant les nôtres et on dénonce les racistes.
Et la Police, elle tond la pelouse et elle sort aussi les poubelles? Je croyais que son rôle était de vaguement assurer la sécurité des biens et des contribuables (s’ils sont trop endommagés, ils ne paient plus leurs taxes, c’est ennuyeux), et de faire régner l’ordre bien-pensant en appliquant la loi de façon créative (la loi étant le bon-vouloir de l’état; “avant” on n’avait pas besoin de ce genre de concepts merdiques -l’état, la loi, etc. – il y avait les coutumes)
Bref, visiblement la Police a du temps libre et l’état ne sait pas quoi faire de nos impôts, on saura s’en souvenir le moment venu.
Quand il s’agissait des Tessinois , le Gouvernement s’en foutait comme d’une guigne.
Mais dès qu’il s’agit de migrants musulmans, on déroule le tapis rouge.
Bon, perso, je préfère que les conflits soient réglés avec cette minorité plutôt que des zones de non-droit à la française.
M. le CF Berset, dans les pays musulmans est-ce qu’il y a des bâtisseurs de pont avec les minorités chrétiennes ???
“Projet Multiculturalité” = Projet soumission…
Mise en place de frontières (barrières, murs, poste de douane, etc…), stop à l’attribution de nouveaux permis, stop total de l’asile, durcissement de l’acquisition de la nationalité, revu des acquisition de nationalité de ces 20 dernières années, inscription dans la constitution fédérale d’un plafond à 10% d’étrangers en moyenne dans le pays (avec un plafond “local” à 25%), etc…
Belle initiative mais quand le nombre de musulmans sera supérieur, cela sera balayé …