Selon une information de RMC, Emilie König, la djihadiste de 30 ans originaire de Bretagne qui avait rejoint Daesh en Syrie, aurait été interpellée par les forces kurdes et serait à présent détenue dans un camp de réfugiés. Elle était recherchée depuis plusieurs années par les services de renseignement français après s'être illustrée dans de nombreuses vidéos de propagande sur internet.
Au début du mois de novembre, Emmanuel Macron avait déclaré que le retour en France de ressortissantes françaises interpellées avec leurs enfants serait examiné «au cas par cas».
Mais dans le cas de cette jeune mère de famille, qui appelait au djihad depuis plusieurs années et qui avait été inscrite sur la liste noire des terroristes internationaux par les Etats-Unis en septembre 2015, le dossier s'annonce plus épineux. Elle avait notamment quitté la France en 2013, avant de revenir quelques semaines plus tard afin de récupérer ses enfants, puis de repartir sans eux.
Une djihadiste bien connue sur internet et en Bretagne
Selon les informations de RMC, Emilie König n'était pas à proprement parler une combattante. Cependant, elle était bien connue sur les réseaux sociaux où elle diffusait des vidéos servant «à la propagande et au recrutement de volontaires» selon un responsable de la lutte antiterroriste cité par RMC.
Convertie à l'occasion de son mariage avec un premier mari emprisonné pour trafic de drogue, elle se faisait appeler Samra et se serait radicalisée au contact du groupe islamiste français Forsane Alizza. Elle était depuis connue sous le pseudonyme Ummu Tawwab.
Elle aurait été repérée dès 2010 aux abords de la mosquée de Lorient alors qu'elle distribuait des tracts appelant au djihad. Elle avait ensuite rejoint la Syrie pour y retrouver son mari, membre d'un groupe djihadiste depuis affilié à Daesh.
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Extrait de: Source et auteur
Reste allah livrer aux milices de femmes Yazidis et kurdes …elles ont sans doutes des questions à lui poser …..
Il faudrait laisser les Kurdes l’éliminer comme doivent l’être tous les criminels de guerre. Mais bien sûr on va la rapatrier, lui faire un procès, la mettre en prison pendant quelques années, tout cela à nos frais. Pendant ce temps, comme beaucoup d’autres, elle continuera à distiller le poison de l’idéologie islamiste et fera des émules.
Que les Kurdes la juge puis mettent une fin définitive a tout cela ; la France n’a pas besoin d’avoir sur sont sol une personne qui même en prison fera de la propagande pro Islamique.