Avec le durcissement de ses conditions d’utilisation, le réseau social a banni certains comptes dont ceux de Génération identitaire et des membres du mouvement nationaliste Britain First, dont Jayda Fransen. Des internautes dénoncent une censure.
Après les nombreuses critiques essuyées par le réseau social Twitter, accusé de diffuser des fake news, de censurer la moindre nudité mais de laisser prospérer des contenus de propagande, d’incitation au djihad ou à la haine, Twitter a progressivement durci ses contrôles et ses conditions d’utilisation. De nouvelles dispositions sont entrées en vigueur le 18 décembre, bannissant les «conduites haineuses».
Les comptes identitaires tels que ceux des membres du mouvement politique Britain First, ceux du groupe anti-immigration et anti-islam Génération identitaire ou encore de la page Pont d’Arcole (28 000 abonnés) sont alors passés à la trappe. Le compte de Yann Merkado, le fondateur du site suavelos, a lui aussi été supprimé, tandis que le compte du site n’a pas été banni.
La mesure a donc frappé les comptes du mouvement anglais anti-immigration et anti-islam Britain First, dont les chefs de file, Paul Goulding et Jayda Fransen, ont été expulsés du réseau. Cette dernière était sortie d’un relatif anonymat grâce au retweet par le président américain Donald Trump de trois vidéos virales ciblant des musulmans, qu'elle avait postées sur son compte. D’autres comptes contrevenant aux nouvelles règles ont été suspendus, comme celui de la Ligue de défense juive.
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Pourtant, “ils” ont besoin du peuple qui travaille pour financer et subventionner leur remplacement nauséabond. Si nous nous rebellions tous d’une seule voix, leur dictature ne ferait pas long feu. Mais pour se faire, encore faut -il qu’il y ait une cohésion au sein de notre peuple.Ne payons plus nos impôts en signe de protestation !
La diversité voulue par la gauche est celle prônée par les médias. Le djihad oui, le patriotisme non. Le métis homo criminel au social oui, le Blanc hétéro honnête et travailleur non.