Image : Johnny Halliday priant au mur des lamentations et portant une kippa marquée du drapeau d’Israël
Au sujet du transfert de l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem par Donald Trump :
Vidéo de Paul Joseph Watson (en anglais) : l’islam est une religion de paix, s’il y a des violences c’est tout de la faute à Trump.
Article de Daniel Pipes (en anglais) : Trump reconnaît Jérusalem comme la capitale d’Israël : qu’est-ce que cela signifie ? […] L'obsession palestinienne, arabe et musulmane pour Jérusalem ne découle pas d'un intérêt religieux pour la ville mais du désir de la contrôler. Là où les sionistes posent le pied, les Palestiniens suivent. […] La décision de Trump a été aussitôt vivement dénoncée par le pape, le secrétaire général de l'ONU, les dirigeants européens, Ankara et Téhéran, les islamistes, la gauche et les Palestiniens. Par contre, la plupart des Etats arabes sont restés muets : ils ont d’autres priorités ! […]
Quant à l’accusation de massacres de Palestiniens par les Juifs, voici la vérité.
Il y a eu de nombreux massacres de civils non combattants (les « civils » combattants ne sont pas des civils) en Palestine, cela avant la création de l’Etat d’Israël (en 1948) et ensuite.
Tous ces massacres sont le fait des Arabes et des Palestiniens, ainsi que de certains miliciens libanais dans le cas de Sabra et Chatila.
Par massacre, il faut entendre la mise à mort volontaire (et non accidentelle) de civils non combattants.
En ce qui concerne le prétendu massacre de Deir Yassin, il s’agit d’un mythe monté en épingle par les Arabes, avec la complicité de Ben Gourion. Pour ce dernier, il s’agissait de nuire à l’Irgoun, dont le prestige au sein de la population israélienne allait croissant.
Il n’y a pas eu de massacre à Deir Yassin, mais un combat de localité, combat dans lequel les civils n’avaient pas déserté la localité avant le début du combat comme cela se faisait habituellement. (Avant d’attaquer une localité, les troupes israéliennes invitaient par haut parleur les civils à évacuer les lieux et, normalement, ces derniers partaient sans être inquiétés.)
Le prétendu massacre de Deir Yassin a été largement annoncé et diffusé parmi les populations arabes, ce qui a entrainé l’exode de nombreux Arabes non combattants. Tout cela est abondement documenté et connu, tout cela a donné lieu à de nombreuses controverses. (Wikipédia en donne un bref aperçu, qui vaut ce qu’il vaut, libre à chacun d’approfondir le sujet. À notre connaissance, la meilleure documentation, exhaustive, à ce sujet est la suivante : Paul GINIEWSKI, De Massada à Beyrouth : une leçon d’histoire, Paris : PUF, 1983, chapitre 10 intitulé « Le mythe de Dir Yassine’ du livre auteur éditeur »).
Le massacre des civils israéliens tombés aux mains des musulmans était une pratique courante et les Israéliens s’étaient organisés en conséquence, déjà bien avant 1948, les femmes ne voulant pas être tuées après avoir été violées, les hommes ne voulant être tués après avoir été mutilés.
En ce qui concerne la perte de biens et de propriétés du fait de déplacements de populations, le bilan global de ce type de pertes est infiniment élevé en ce qui concerne les Juifs qui, après la création de l’État d’Israël, ont été chassés, sans pouvoir rien emporter, de tous les pays musulmans où ils vivaient depuis des siècles, souvent avant l’arrivée de l’islam. À l’inverse, les pertes de ce type sont minimes en ce qui concerne les Palestiniens en particulier et les musulmans en général.
Pour ne rien dire des apports phénoménaux faits par des Juifs en ce qui concerne la science, la technique, les arts, la culture, etc., en Israël et dans le monde entier. Les musulmans en ont bénéficié comme tout le monde, mais sans rien apporter de pareil à l’humanité.
Il est vrai par contre que les Palestiniens ont un art inégalé pour se plaindre sans cesse et faire gober cela aux gugusses peu informés ou désinformés du monde entier.
Il est évident aussi qu’en se complaisant dans une position victimaire, ils font du sur-place, alors que l’histoire avance très rapidement de nos jours, voyez plutôt ce reportage (vidéo 4:35) :
« Notre vie était magnifique du temps où les Juifs géraient notre ville »
Cenator, 12 décembre 2017
Après la reconnaissance par le président des Etats-Unis Donald Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël, le 6 décembre 2017, Mobarak Haidar, célèbre historien pakistanais, auteur de nombreux livres, a écrit sur sa page Facebook :[1]
Jérusalem et les revendications musulmanes
Le Saint Coran a évoqué la mosquée Al-Aqsa lorsqu’elle n’était pas une « mosquée » au sens islamique du terme. C’était un lieu saint du fait des prophètes d’Israël, de Moïse à Jésus. C’était le lieu sacré de culte des juifs et des chrétiens. A l’évidence, il n’y avait pas de musulmans dans la ville de Jérusalem jusqu’à l’ère de l’émir des Croyants Omar ibn Khattab… Le prophète [Mahomet] et ses fidèles priaient le visage tourné vers ce temple sacré juif-chrétien, car la Kaaba (le centre actuel du hadj musulman) était remplie d’idoles.
Après la conquête de La Mecque, les musulmans ont reçu l’injonction de tourner leurs visages vers la Kaaba et de se détourner de Jérusalem. Ils n’ont jamais orienté leur loyauté vers Jérusalem après cette date, pendant les 1 400 dernières années. Aucun musulman n’a voulu prier à Jérusalem jusqu’à sa conquête par le second Calife [Omar ibn Khattab], alors même qu’il n’y avait aucune restriction pour les musulmans. Ils ne s’y rendent pas aujourd’hui car ce n’est plus leur centre [religieux].
Les chrétiens ont été les maîtres de Jérusalem avant sa conquête par les musulmans. C’est toujours un lieu saint pour les chrétiens. Mais les chrétiens ne contestent pas la propriété de la ville. Ils jouissent du droit religieux de visiter la ville sainte, et les juifs ne les en empêchent pas. Les musulmans doivent également jouir des mêmes droits religieux, et ont en réalité ces droits ; les juifs ne les en privent pas. Les musulmans à travers le monde, par conséquent, n’ont aucun fondement religieux pour gouverner Jérusalem. La plupart des musulmans n’ont jamais souhaité même visiter Jérusalem. Quant à la revendication politique, seuls les Palestiniens peuvent l’invoquer et seuls eux doivent négocier.
Cela ne peut pas constituer une revendication musulmane collective. Les Arabes Quraychites furent les maîtres de Jérusalem pendant un certain temps. Ensuite, les Mamelouks, les rois musulmans, l’ont conquise. Les Turcs sont venus par la suite. Les chrétiens coloniaux ont été les derniers dirigeants politiques. Il est intéressant d’observer que les musulmans iraniens ou les musulmans du sous-continent indien ou d’Asie du Sud-Est et d’Afrique n’en ont jamais été ses maîtres. Ils ne peuvent revendiquer que des liens spirituels.
Les centres actifs de la foi musulmane ne sont autres que les Villes saintes de La Mecque et de Médine. Les Iraniens n’ont jamais contrôlé ces centres actifs. Pourtant ils construisent passionnément des armes meurtrières et [forment] des forces djihadistes pour conquérir ou détruire Israël. C’est la politique communautaire de l’hégémonie qui ne peut générer rien d’autre que division et douleur.
LIEN: http://memri.fr/2017/12/10/apres-la-reconnaissance-par-trump-de-jerusalem-comme-capitale-disrael-lhistorien-pakistanais-mobarak-haidar-ecrit-les-musulmans-du-monde-nont-pas-de/
durant la retransmission de son enterrement il n’y avait pas de femmes voilées ni de barbus…..
que des blancs la France de souche…