Mardi, la cour d’appel de Paris a rejeté le recours d’Esteban Morillo, l’un des skinheads qui contestait l’usage d’un poing américain dans l’affaire de la mort de Clément Méric, militant « antifas » de 18 ans.
Rappel des faits : le 5 juin 2013, dans le 9e arrondissement de Paris, quelque part entre les Grands magasins et la gare Saint-Lazare, deux bandes rivales s’affrontent violemment. D’un côté, un groupe de skinheads. De l’autre des « antifas », forcément… des bons p’tits gars « non-violents » combattant « les violences de l’extrême droite ». La baston laisse sur le pavé parisien Clément Méric, étudiant de Science Po. Emotion générale et réactions politiques droite gauche confondues (ministre de l’Intérieur de l’époque, Manuel Valls va jusqu’à parler « d’assassinat ») pointant du doigt les dangereux fachos de « l’extrême droite ». Le gentil Méric devient une icône, un symbole pour les « antifas ».
Plus de quatre ans après les faits, un juge d’instruction en charge du dossier avait ordonné en mars dernier un procès devant la cour d’assises pour quatre protagonistes du groupe des « skins », en écartant toutefois l’intention de tuer pour l’un des principaux suspects : Esteban Morillo. Principal mis en cause il est accusé de violences ayant entraîné la mort avec les circonstances aggravantes qu’elles ont été commises en réunion et avec usage ou menace d’une arme. En l’occurrence un poing américain. D’où recours formé par Esteban Morillo qui conteste avoir fait usage d’une arme mais reconnaît avoir frappé à mains nues, au visage, Clément Méric. Mardi, donc, la cour d’appel l’a débouté en confirmant l’ensemble des charges à son encontre.
Comme le relève un internaute, on « ne comprend pas pourquoi aucun membre du groupuscule d’extrême gauche n’est inculpé dans l’affaire. On a l’impression que seuls ceux “d’extrême droite” le sont ».
Justice à sens unique ? Rappelons aux juges et autres bonnes consciences, que les « antifas », extrêmement ultragauchisants au même titre que les « zadistes », Black Blocs et autres anticapitalistes, qui ne semblent guère déranger la classe politico-médiatique politiquement correcte et contre lesquels aucune demande de dissolution n’a jusqu’alors été réclamée, n’ont rien de gentilles victimes pacifistes.
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La Magistrature de la République dite française s’est illustrée depuis 2012 par de multiples décisions judiciaires marquées par un parti-pris politique : favoriser la colonisation de la France (par l’immigration disponible) et lutter contre tous les réfractaires. Est-ce étonnant ? Après tout la Législation républicaine proprement française s’est alignée sur la Législation européenne de la CEDH. Or le Droit de la CEDH est un Droit qui emplie les droits-créances, dont l’accès aux “droits sociaux pour les immigrés (sans condition de contribution ni de cotisation préalable) et un droit des étrangers doublement asymétrique : recours au droit d’asile à l’entrée, procédure judiciaire individuelle à la sortie, aucune réciprocité en faveur des citoyens européens dans les pays d’origine des flux migratoires. Or l’asymétrie du Droit et des obligations est une marque d’un régime juridique colonial : la France comme l’UE et même l’Europe est colonisée par une immigration de créanciers à laquelle elles ont bien imprudemment accordé des droits-créances : Convention CEDH de 1950. L’Etat de Droit européen comme français n’est donc qu’une absolution juridique d’un Droit colonial au détriment des français comme des européens. Le pouvoir politique aggrave cette colonisation par son laxisme administratif fiscal et policier envers cette immigration de créanciers : les colonisateurs. Sous cet angle juridique de la discrimination des natifs et regnicoles d’Europe, il devient possible de contester légalement les passes-droits coloniaux dont bénéficient l’immigration de créanciers, soit la part prépondérante numériquement de l’immigration en Europe. L’immigration du travail n’étant pas concernée. (pensez aux européens expatriés !) L’efficacité de cette contestation épendra de la capacité des eropéens (notemmment des français !) à sortir du matérialisme : ne plus déléguer la Solidarité aux politiciens (notamment parisiens) mais la gérer près de chez soi (comme dans les cantons suisses) enfer se doter de medias alternatifs (comme ici les observateurs CH et TV Libertés (au pluriel ! pour garantir des libertés concrètes, opposables aux gouvernements !)
Attendre un autre groupe pour leur casser la figure et tenter de le faire n’est peut-être pas illégal en France quand on est d’extrême gauche ?
il faut souligner que le vigile d’un magasin avait d’abord laissé sortir le groupe d’extrême gauche qui semblait s’être éloigner. lorsque que ceux d’extrême droite sont sortis ils ont été attaqué par la gauche.