Par Mireille Vallette
Luce Schwerzmann Fernandes, enseignante vaudoise, a écrit ce Courrier de lecteurs paru vendredi 1er décembre dans 24 Heures:
Des us et des coutumes…
"De plus en plus de parents d’élèves demandent un entretien à l’approche de Noël pour nous suggérer, nous guider ou nous interdire des pratiques et des habitudes… Je souhaite réagir car, après 28 ans d’enseignement, je commence presque à ressentir un sentiment de malaise quand Noël approche. Comment vivre dans le respect de chacun et vivre nos traditions pleinement?
En réfléchissant à la question… Nous imposons à nos petits d’écrire de gauche à droite, est-ce de l’irrespect face aux autres cultures? Nous comptons nos années depuis le point 0, naissance de Jésus et apprenons dans nos programmes les années avant J-C et après J-C. Nos jours fériés correspondent à toutes nos origines judéo-chrétiennes et lorsque nous transmettons nos traditions, nous expliquons en classe ce à quoi correspond chaque fête, est-ce un manque de sensibilité face à l’«autre»? Nos expressions sont souvent tirées de notre patrimoine biblique. Les enfants suisses ont le droit de recevoir la transmission de notre culture: la naissance du Christ, les bergers et les mages. Nos chants de Noël sont quasi tous imprégnés de ce message de Noël. Pourquoi le pays «accueillant» s’efface-t-il de plus en plus par respect et pour ne pas froisser l’«accueilli»? Pourquoi l’accueilli ne considérerait-il pas comme une richesse issue de la multiculturalité de tolérer nos pratiques, voire d’avoir de la joie à approcher la diversité des pratiques du pays accueillant? Pourquoi n’exigerions-nous pas de l’accueilli qu’il se conforme à nos rites et usages? Cela pour faciliter le processus d’intégration. Personne ne leur reprocherait de garder, dans leur intimité, les us et coutumes de leurs origines et traditions."
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Luce Schwerzmann Fernandes, une «vieille» enseignante un peu agacée, Saint-Saphorin-sur-Morges.
Reste un grand mystère: qui sont ces parents d'élèves?
J’ai été l’élève de Luce Schwerzmann Fernandes dans le collège du village à Epalinges lors de ma deuxième enfantine (en l’an 2000 env.), je suis métisse (d’un père congolais et une mère suisse) et j’ai une anecdote:
Nous sommes en période de Noël et les festivités approchent. Qui dit festivités dit: chants, poèmes, crèche et spectacle de fin d’année pour les parents. L’idée était de mettre en scène la naissance de l’enfant Jésus. Chacun se proposait pour un rôle et il est inutile de préciser que les garçons se bousculaient pour être Joseph et les filles Marie. Moi, comme toutes les autres filles, je voulais être Marie mais manifestement un autre rôle m’était pré-destiné “Non, Hélène, toi tu joueras Balthazar!”…
Au départ j’étais simplement révoltée de ne pas pouvoir jouer Marie, cela m’a valu un bon moment d’entêtement pour espérer le rôle, en vain. Mais par la suite, ça n’était pas le fait de ne pas pouvoir jouer Marie qui me posait problème mais plutôt le fait de devoir obligatoirement jouer Balthazar. C’est alors que je fus surnommée, par Mme Schwerzmann, de “Balthazar boudeuse”… aïe.. vraiment pas terrible venant d’une personne portant en elle une certaine influence. Heureusement pour moi, j’étais quelqu’un de très appréciée et ce surnom, bien qu’il ait marqué certains des mes camardes, n’a heureusement pas été repris plus loin. Mais comment est-il possible qu’une enseignante, face à des jeunes enfants qui ont encore tout à comprendre et apprendre, se permette de tenir un discours aussi stigmatisant et discriminateur ? Mes parents connaissent cette histoire et n’ont pas souhaiter, à l’époque, s’arrêter sur l’événement jugeant plus négatif que bénéfique de remuer des dires qui pouvaient être très troublants, en soi. Mais là, l’occasion de réagir sur cet évènement précédent m’est offerte sur un plateau, à travers cet article. Je ne peux pas lire les mots “respect de chacun”, “l’accueilli” et laisser ce discours poursuivre plus loin sans mon interruption. Il ne m’est pas possible de prendre cette réflexion en considération lorsque je peux moi-même témoigner de remarques lourdes en connotations et clairement inappropriées tenues sur le sujet qui n’ont, à aucun moment, intégré “l’accueilli” à notre tradition ou l’ont fait participer à cette joie de la fête de Noël. Je me suis rarement sentie discriminée par mon métissage, il y a beaucoup de gens ouverts et sympathiques dans mon quotidien mais face à ces quelques paroles, je suis obligée de sourire. La notion du “respect de chacun” semble tout d’un coup très relative…
A lire les nombreux kilomètres de messages anti-islam ou sceptique à accueillir les autres. Ce qui est le plus marrant est d’observer que ce sont ces mêmes personnes qui se disent patriotes qui désertes depuis de nombreuses années nos églises et qui ont eux même par leur désintérêt totale des croyances chretiennes tué les traditions. Le problème n’est pas chez l’autre mais bien chez nous de par l’abandon nos racines. Peut être que ce qui dérange chez l’autre c’est le respect qu’il a pour sa propre culture et ces croyances choses que nous Suisse avons perdu. On veut défendre des traditions et des principes qui sont depuis longtemps oublié. Au lieux d’utiliser notre énergie pour vivre concrètement nos traditions ou nos croyances, nous nous épuisons à nous battre contre les « méchants envahisseur ». Noel peut se vivre dans le respect des autres traditions, si nous voulons que l’autre respecte nos traditions apprenons déjà à nous intéresser au siennes, n’attendons pas des autres ce que nous sommes déjà incapable de faire nous mêmes. A force d’évoluer dans une société faites de scepticisme et de méfiance, finalement c’est tout ce que nous transmettons à « l’autre » et c’est tout ce qu’il nous rend en retour… le chat qui se mord la queue
“Pourquoi l’accueilli ne considérerait-il pas comme une richesse issue de la multiculturalité de tolérer nos pratiques”
Parce qu’ils ont le soutien de la gauche qui vomit autant le christianisme que l’occident.
@un Ours
Entièrement d’accord avec vous on était tellement mieux quand ces parasites de tous bords étaient chez EUX et n’avaient aucune chance de venir nous faire ch… ici. Je ne pensais pas que leur travail de sape de notre civilisation se ferait aussi rapidement…. mais il faut dire qu’ils sont bien aidés n’est-ce pas les gauchiasses?
APPEL A TEMOINS
Nous sommes à l’approche de Noël, une fête familiale et religieuse pour certains d’entre nous. Chaque année, des musulmans et des autorités complaisantes cherchent à faire interdire à l’école les crèches et les chants de Noël, religieux ou païens. Si vous avez entendu parler de pressions en ce sens dans une institution scolaire, écrivez-nous. Nous respecterons l’anonymat des personnes et des lieux concernés.
Pour nous contacter:
http://www.vigilanceislam.com/index.php/pratique/nous-contacter
ou écrire à:
Association suisse vigilance islam
1200 Genève (Suisse)
@pas gentille Madame Schwerzmann Fernandes, comment osez-vous penser et écrire des horreurs pareilles ? Vous ne craignez pas de perdre votre emploi ? Et ce cher 24 Heures (totalement neutre et impartial comme chacun.e (gag) le sait) a daigné publier un courrier raciste, xéno, etc ? Toute vérité n’est pas bonne à lire ou entendre mais ça fait vraiment du bien venant d’une “vieille” enseignante, c’est rassurant. Un tout grand merci à vous et bon courage pour la suite.
déjà on avait parfois beaucoup de mal de s’entendre entre nous
il y a des cons partout !
mais alors avec des barbus au regard méchants et leur empaquetées qui regardent les femmes normale avec des regards haineux faut pas s’attendre à du convivial !
faut arrêter de nous les imposer ces gens là!c’est pas marrants le vivre ensemble avec des gueules pareilles et des mœurs de chameliers du désert
Simple.
On était mieux avant,
quand on était entre Blancs.
Nos us et coutumes et traditions remontent même à notre pré-histoire qui a évolué en recevant des nouvelles couches successives ainsi, quand la vague judéo-chrétienne est arrivée, le Pape Grégoire a demandé à Thomas de Cantorbery de ne pas détruire les temples et idoles mais de les orienter vers le culte du vrai Dieu – lisez cela dans « mythologies chrétiennes » de Philippe Walter – nos religions c’est pareil, ce sont celles qui depuis notre pré-histoire évoluent avec nous chez nous.
Voici un message qui marque avec fracas votre entrée dans le club des méchants racistes accusés de véhiculer la haine des gentils musulmans, chère Madame ! Vous savez, il ne fait jamais bon exprimer la réalité incontestable, cela chagrine les collabos de l’islamogauchosphère qui n’ont d’autre but dans leur pathétique existence que vouloir imposer à chacune et chacun le silence et l’acceptation, et ce, souvent par des démonstrations de violences urbaines et de slogans… racistes !
@Mme Luce Schwerzmann Fernandes: Courage, nous sommes envahis, mais gardons vivace nos traditions, us et coutumes ! Y compris Noël !
Appelons un chat un chat. Cela n’est pas nommé dans l’article, mais je cite ”les parents d’élèves demandent un entretien à l’approche de Noël” sont MUSULMANS ! N’est-ce pas ?
Nous accueillons et respectons les réfugiés les migrants/immigrés installés chez nous.
Que cela soit bidirectionnel, le respect se partage !
L’intégration (encore faut-il la volonté de s’intégrer) dans le pays d’accueil est la base !
Chère Madame, ils ne sont pas là pour s’intégrer mais pour s’imposer !
Quand bien même la date de sa célébration est celle d’une fête païenne “christianisée”, la fête de la nativité mérite le plus grand respect pour ce qu’elle représente. La seule critique justifiée concerne son dévoiement par les marchands du temple moderne. On ne doit pas pour autant tolérer que des allochtones ou leurs idiots utiles se permettent de la remettre en cause dans les écoles. Pour savoir qui sont ces parents, il suffit de se demander qui veut à tout prix formater les jeunes cerveaux Suisses. Une tâche qui a toujours fait le beurre des socialistes, et maintenant celui des mahométans.
Il faut que la Suisse arrête d’accueillir à tours de bras, je vous rassure, ce n’est que le début de la manifestation du problème qui va finir par saborder le pays!