Source : Daniel Lazare, Consortium News, 25-10-2017
Le New York Times, qui autrefois se faisait le champion d’une presse libre, cherche maintenant à réprimer les nouvelles que le public reçoit sur Internet sous prétexte de combattre la « propagande russe », explique Daniel Lazare.
Jadis, le danger pour la liberté de la presse venait de la droite. Mais depuis le Russie-gate, les libéraux sont en train de rattraper le temps perdu.
Le dernier exemple en date est un article à la une du New York Times de mardi. Intitulé « YouTube permet l’entrée aux États-Unis d’un portail russe. », il offre l’habituel blabla sur les agents du Kremlin qui s’adonnent à la magie noire politique. Mais il va plus loin en essayant de discréditer un organe d’information parfaitement légitime.
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