Dès le début de son mandat de Président de la Commission Européenne (1er novembre 2014), Jean-Claude Juncker a hoqueté : « Avec l’’extrême droite, il n’y a aucun dialogue possible ». Aujourd’hui, il veut aller plus loin : supprimer tout financement des partis dits d’extrême droite !
L’esprit toujours embrumé, Juncker ne définit, ni n’explicite le concept de « parti d’extrême droite ». En réalité, il vise les partis qui n’applaudissent pas à sa politique. Avec la victoire de l’AfD en Allemagne (13 % des voix), le club des eurosceptiques s’est élargi.
N’allez pas parler d’Union Européenne aux Autrichiens, aux Tchèques, aux Slovaques, aux Polonais, aux Catalans, aux Ecossais, aux Hongrois et à de larges tranches de populations néerlandaise, française, italienne, grecque, etc. Et nous éviterons le « gros mot » des europhiles : Brexit.
Forteresse assiégée, la Commission Européenne dévoile son vrai visage : une institution anti-démocratique, à la limite de la dictature (modèle soviétique), dressée contre les peuples, indifférente aux besoins des gens, étrangère aux réalités quotidiennes du citoyen honnête.
Tout dialogue est rendu impossible par Juncker & Co. Pas d’accord avec les eurocrates ? Vous êtes d’extrême droite. On étouffe votre voix !
Les Catalans en font l’amère expérience, en ce moment même. Imaginez que Donald Trump ordonne à sa police d’emprisonner les opposants, de saisir des bulletins de vote, de menacer les bourgmestres mettant des locaux à disposition pour un vote… Ce serait le tollé international ! Or, c’est ce qui se passe en Catalogne : le gouvernement espagnol s’attaque aux Catalans, comme cela ne s’est plus produit depuis la guerre civile, dan s les anné&es 19830.
Et tout cela sous l’œil bienveillant de Jean-Claude Juncker, si prompt à voir une « menace contre la démocratie », dès que la Hongrie veut se protéger de l’invasion migratoire.
Que les partis soutenant la vision (un peu alambiquée) de Juncker se méfient. Quand il aura supprimé les partis dits d’extrême droite, il supprimera toute opposition. Et les oppresseurs d’hier deviendront les opprimés eux-mêmes.
C’est bien la démocratie que Juncker veut tuer.
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Extrait de: Source et auteur
Moi je veux le voir un jour payer pour son arrogance, au mieux lui planter la tête dans la boue….au pire le lampadaire!
Et oui un alcoolo alzheimé qui dirige l’europe,c’est tous ce qu’on a trouvé.
faudrait revoir complètement le mode d’élections des politiques et dirigeants depuis la base jusqu’au sommet,mais ça c’est de l’utopie……La nature ou autre chose va régler le problème sous peu.
M. Junker DOIT DÉMISSIONNER avant que cela ne soit trop tard. Ou alors, il faut le DÉMISSIONNER; lui couper son (mirobolant) salaire ! Un coup d’état à la tête de l’UE, un bon coup de balais, les lances à incendie pour nettoyer des écuries d’Augias !
Il est temps de remettre les pendules à l’heure avec ce genre d’individu qui se croit tout permis ! La DÉMOCRATIE vaincra ! J’en suis persuadé ! La Hongrie et la Pologne nous montre comment résister à ces technocrates de pacotille !
juncker est un être malfaisant qui veut détruire les peuples Européens de souche en les métissant avec les arabes et les noirs , c est pour cela qu il importe des millions d africain en Europe pour détruire sa culture millénaire , en détruisant l Europe en la métissant juncker a pour but de détruire les états nations pour que l UE dirigent tout comme l URSS ; l UE est une dictature qui méprisent les peuples de souche et n en tien aucun compte , juncker est un criminel, un dictateur , un psychopathe comme Hitler car détruire toute une race est un crime contre l humanité
Comme avait dit Farage dans un de ses discours au parlement européen, en s’adressant a ce dictateur en herbe, vous finirez pendu a un lampadaire…j’espere le voir un jour!
Voici Juncker & Co. en chasse de ‘l’extreme droite’ d’aujourd’hui:
https://www.youtube.com/watch?v=gUXB_jLiT3A