Epidémie de Chikungunya : la mairie de Rome n'a pas réagi assez vite
Virginia Raggi, maire de Rome (5-Stelle) est sous le feu des critiques pour n'avoir décidé que 5 jours après de prendre des mesures de désinfection contre les moustiques transmettant une des "maladies des immigrés", la Chikungunya. La directive du ministère de la santé exige pourtant que cela soit fait au plus tard 24 heures après le signalement de la maladie. Actuellement, il y a 17 cas dans le Latium, dont sept dans la capitale, où l'Institut supérieur de la santé a interdit le don du sang pour 1,2 millions d'habitants. D'autres cas de maladies tropicales provoquées par des moustiques (malaria, méningite du Nil, Chikungunya) ont été signalés ces derniers temps dans toute l'Italie et même en France dans le Var.
Traduction (Claude Haenggli) : L'affaire des moustiques est devenue un cas politique sur le plan national. Beatrice Lorenzin, ministre de la santé, est montée aux barricades en disant qu'elle était très préoccupée par la situation. Il s'est passé trop de temps entre la première demande d'intervention des responsables de la santé régionaux, datant du 7 septembre, et les mesures de désinfection de la commune de Rome. Ce retard a fait, selon les experts, perdre un temps précieux pour le contrôle de la diffusion de la maladie.
Claude Haenggli, 14.9.2017
La gale à Paris, le chikungunya à Rome, faut rapatrier les ONG d’Afrique au plus vite, c’est en Europe que ça se passe maintenant !
En plus de nous apporter la religion d’amour, de tolérance et de paix, ainsi que le vivre-ensemble, les charmants migrants nous apportent aussi leurs maladies. Il est très important de tout partager, n’est-ce pas? Faisons preuve d’un peu d’empathie tout de même, comme Macron à Saint Martin qui paluchait et étreignait les autochtones. A un moment, je me suis demandée s’il guérissait aussi les écrouelles.