Parmi les auteurs des attaques du 17 et 18 août, qui ont fait 16 morts et une centaine de blessés, dix sont nés au Maroc. Le magazine «Jeune Afrique» a jugé pertinent de le souligner à sa une.
Oui, les terroristes qui ont frappé la Catalogne sont presque tous Marocains, et alors ? https://t.co/5eHGrddUvc pic.twitter.com/xOKa602L0E
— Libération (@libe) 8 septembre 2017
«Born in Morocco» («Nés au Maroc»), titrait en une Jeune Afrique (daté du 27 août au 2 septembre), avec des photos de dix terroristes ayant participé aux attentats des 17 et 18 août en Catalogne, les couleurs du drapeau national marocain en arrière-plan, provoquant de vives réactions chez de nombreux lecteurs. Et pour cause, la couverture de l’hebdomadaire présente le Maroc comme le point commun entre ces terroristes. Même si Jeune Afrique précise dans le sous-titre que ces derniers se sont bien «radicalisés en Europe et y ont été recrutés par Daech», cette titraille témoigne d’une drôle de hiérarchisation de l’information. En faisant le choix de retenir de ces attentats l’origine des terroristes, on stigmatise de fait.
Or l’hebdomadaire s’en défend par le biais d’un raisonnement assez tortueux : «Mettre en avant le lieu de naissance des terroristes n’équivaut pas à stigmatiser les Marocains.» Mais alors à quoi cela équivaut-il ? Pourquoi asséner que ces terroristes-là sont nés au Maroc ? Qu’est-ce que cela peut bien susciter à part des relents racistes ?
Une haine innée et non acquise ?
Sauf que l’hebdomadaire renoue dans sa conclusion avec l’idée essentialiste de la une qu’il avait pourtant l’air de réfuter jusqu’ici : «C’est donc au tour du Moyen Atlas, connu pourtant pour être la région la plus tolérante du pays, de découvrir la haine qui sommeillait en certains de ses enfants exilés.» Une haine qui serait donc innée, du ressort du pays d’origine, et non acquise selon les ressorts soulevés précédemment.
Des confrères marocains ont soutenu l’initiative prise par l’hebdomadaire de dévoiler une réalité, de «sortir la tête du sable»comme le dit Karim Boukhari dans un billet, publié sur le site d’information marocain le 360. «Ils n’y vont pas par quatre chemins et nous disent ce que nous ne voulons pas entendre. Et qui est pourtant énorme, comme un coup de tonnerre. Tous les terroristes qui ont ensanglanté la Catalogne sont marocains. Oui, Marocains, tous ! […] Cela nous concerne directement. C’est notre problème», juge l’éditorialiste.
Mais au nom de quoi, si ce n’est des origines, les Marocains devraient-ils se sentir «concernés directement» ? Bien sûr, le Maroc et les Marocains doivent s’efforcer de parler librement des travers de la société et de les combattre. Bien sûr, la radicalisation des Marocains existe sur leur sol, il ne s’agit à aucun moment de nier cette réalité. Mais insinuer plus ou moins que la société marocaine, où aucun des terroristes n’a grandi, a une responsabilité dans la réalisation de ces attentats de Barcelone est non seulement abusif mais aussi, et surtout, contre-productif.
Tous les matins à Télé-matin dans la ” revue de la presse ” on fait de la pub. pour Libé….et l’Humanité. Bien entendu comme parfois ils citent le Figaro les journalistes vont vous soutenir que l’info et neutre !Ils nous prennent pour des c….!
“Avec l’islamisme, les intellectuels risquent à nouveau l’aveuglement”
Jacques Julliard : Mis à jour le 04/09/2017 à 12:06
Trois glaciations intellectuelles successives :
“[…] J’ai connu , au cours de mon existence, trois glaciations intellectuelles successives, qu’il est bon de rappeler au moment où l’islamisme frappe à coups redoublés, non seulement sur les corps, mais aussi sur les esprits.
La première fut la glaciation stalinienne. Elle marque notre aprèsguerre. Dans l’intelligentsia, les mots étaient encore gelés, les paroles surveillées, les opinions contrôlées, les échanges interdits. Quiconque mettait en doute l’excellence du régime dirigé par le camarade Staline ne pouvait être qu’un agent de l’impérialisme américain. La nature proprement meurtrière de la dictature soviétique était pourtant aveuglante, même pour les moins avertis ; mais partagés entre la force de l’évidence et la pression du politiquement correct, beaucoup d’intellectuels multipliaient les contorsions qui ont conduit nombre d’entre eux à la dépression nerveuse, voire à la tentation du suicide.
La deuxième glaciation fut maoïste. Elle ne disposait pas de cet énorme arsenal que constituait un parti communiste puissant, respecté, voire hégémonique dans certaines disciplines. Ses dévots avaient beau répéter – déjà ! – que le maoïsme « n’avait rien à voir » avec le stalinisme, le ver était dans les esprits. Pour écarter le doute, ils répliquaient par un surcroît de ferveur et d’obséquiosité envers le nouveau dieu vivant. Ce furent les Chinois euxmêmes qui les détrompèrent, comme les Russes l’avaient fait précédemment pour Staline.
La troisième glaciation, nous la vivons de nos jours, c’est la glaciation islamiste. Le « rien à voir avec », qui est à la dévotion gauchiste ce que le « en même temps » est à l’univers mental du macronisme, s’est affirmé comme jamais. C’est la pensée schizophrénique appliquée à la politique. On a vu ressurgir chez certains intellectuels le même type d’argumentation qui avait cours dans les précédentes glaciations : la théorie de l’encerclement par l’impérialisme, l’érection de l’islam en « religion des pauvres », le ressentiment érigé en moteur de l’histoire, etc. […]”
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2017/09/03/31003-20170903ARTFIG00157-jacques-julliard-l-intellectuel-a-le-devoir-de-rester-un-homme-seul.php
Jacques Julliard est un intellectuel de gauche
Libération, le quotidien créé par des militants maoïstes et la Gauche prolétarienne, a soutenu les Khmers rouges et la pédophilie. En matière d’aveuglement volontaire idéologique de gauche on ne fait pas mieux.
L’avantage c’est lorsque la grande purge arrivera, on les reconnaitra au faciès.
On ne va pas faire des études sur la longueurs des poils de leurs barbes … Ce sont des terroristes islamiques fanatisés. Daech (EI) en a même revendiqué la pérennité. Point barre. Ce sont des ASSASSINS. Leur nationalité n’a AUCUNE IMPORTANCE !! Ce sont des ASSASSINS MUSULMANS complètement radicalisés par la lecture du coran (l’islam = la secte mortifère d’amour et de paix)
Citation mémorable de Hassan II, roi du Maroc:
“Les miens ne seront jamais français en dépit de tous les efforts que vous ferez”.
Le problème ce n’est pas le Maroc, mais c’est l’islam ! Encore raté ! Combien leur faudra-t-il de temps pour trouver l’origine du mal alors que c’est sous leurs yeux ? !
Maintenant on ne peut plus présenter un fait sans que la bienpensance s’autorise à dire que le fait concret présente est un concept fasciste.
L’heure est grave . Les faits sont les faits ; la réalité est ce qu’elle est . Les auteurs de l’attentat récent commis à Barclone sont tous marocains, et sont tous musulmans.
Après , pour élaborer une théorie à partir de ce fait , il appartient à chacun de s’interroger pour savoir si les bouddhistes sont dangereux et pour savoir si les chretiens qui ont découvert la formule du TNT ne sont pas à l’orgine de tous ces attentats !
Les Musulmans, on le sait par la presse et les médias occidentaux, sont tolerants et empreins de paix et d’amour pour les autres. De ce fait , ils ne peuvent pas être violents, n’est ce pas ?
Ou alors il y a quelque chose que je n’ai pas compris.