La jeune fille aurait pu être violée par deux hommes au beau milieu de la rue si des passants n’étaient pas intervenus.
Mardi 23 août à Calais. La nuit est tombée sur le quartier Beau-Marais quand des passants entendent soudain les cris désespérés d’une jeune fille.
Ces appels à l’aide sont ceux d’une adolescente de 16 ans à peine. En plein milieu de la rue Georges Andrique, en face de l’école primaire, deux jeunes hommes sont agrippés à elle et tentent de lui arracher ses vêtements. Il s’agit ni plus ni moins d’une tentative de viol…
Heureusement pour cette jeune fille, les passants viennent aussitôt à son secours. Ses deux agresseurs seront arrêtés quelques minutes plus tard par des policiers de la Brigade Anti-Criminalité.
Les violeurs interpellés sont deux jeunes Erythréens dépourvus de carte de séjour. Ils sont âgés respectivement de 16 et 17 ans. Leur victime est une jeune migrante elle aussi originaire de la Corne de l’Afrique.
Le procureur de la République du Pas-de-Calais a ouvert hier une information judiciaire pour “tentative de viol en réunion sur mineure”. Les deux suspects ont été placés en détention provisoire.
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Nos remerciements à Victoria Valentini
C’est tellement sauvage qu’on ne peut même plus évoquer le mot “viol”. Car chez certains violeurs, il y a la volonté quand-même de “se cacher avec leur victime”. Donc un minimum de conscience de la saloperie de l’acte.
Ce qui se renouvelle souvent c’est le fait qu’ils soient en groupe. Bouffer l’autre, terroriser sexuellement l’autre et lâcheté en plus .Le niveau est de plus en plus bas. Même le monde animal ne descend pas jusqu’à ce niveau.
Au lieu de les expulser, on va les relâcher parce qu’ils se disent mineurs.
@colt seavers : “A renvoyer dans leur pays par avion et sans parachute”
Ça va pas la tête !? Et qui paiera le billet d’avion ? Et le carbone de la mort qui tue rejeté par le gros navion, vous-y-avez pensé au carbone ? (même si la forêt tropicale en bénéficie à plein à cause d’un horrible principe d’extrême-droite: la synthèse chrlorophyllienne, et puis aussi un peu beaucoup à cause de l’exubérance solaire, chose dont on ne vous parlera jamais dans la presse du kandubien.)
Ils rentreront comme ils sont venus, par la mer, on les fout à l’eau à Marseille et ils rentrent chez eux par leurs propres moyens; c’est simple, propre et ça ne nécessite aucun carburant polluant, juste un coup de pied au cul bien placé sur la jetée.
Mais quand va t on comprendre que ces gens sont des sauvages et qu’ils n’ y a rien de bon a en tirer, la seule solution le renvois immédiat de ces parasites, de ces migrant en rut et qui ne sont bon qu’ a ça
A renvoyer dans leur pays par avion et sans parachute
expulsion séance tenante vers leur pays d’origine .