Une tribune de Nicolas Dhuicq, ex-député LR et psychiatre
Les récentes déclarations du ministre de l’Intérieur français, convoquant la psychiatrie dans la lutte contre le terrorisme, montrent le désarroi intellectuel dans lequel se trouvent nos gouvernants face au terrorisme islamiste. En effet, nous devons avoir à l’esprit que les dits terroristes se vivent comme des combattants, au service d’une cause. Ils poursuivent un but politico-théologique clair : l’instauration d’un califat salafiste, c’est-à-dire wahhabite, sur les terres actuellement islamisées, ou qui le furent un temps, comme l’Espagne avant la Reconquista, ou la Narbonnaise en France.
Ils tentent le coup un peu partout mais sont virés meme par des gens pratiquants la meme religion ,c’est pour dire comme leur archaïsme n’interesse que peu de monde .Vouloir vivre a l’heure du prophete serait faire abstraction de beaucoup de commodités dont ils s’accomodent avec délectation