11 commentaires

  1. Posté par leone le

    “Vous mangez un cadavre”
    Ben évidemment, on va pas les bouffer vivants comme les fauves et autres grands prédateurs qui n’attendent pas la mort de leur proie pour commencer à la dévorer.

  2. Posté par Dominique Schwander le

    Que ces végétariens soient conséquents et se fassent arracher leurs canines de carnivores.

  3. Posté par TonnerreGrondant le

    “…une carotte souffre quand on l’arrache et ce malgré qu’elle ne possède pas de système nerveux.”
    Arrêtez de dire des âneries
    Personnellement même si je ne suis pas végan , j’essaie de manger de moins en moins de viande
    et cela ne fait pas de tord à la santé ni à la forme physique que du contraire, les commentaires de Boulevard Voltaire sont une grossière caricature , d’ailleurs je ne vais plus jamais sur leur site
    le ton donné très souvent ne me plait pas , pour conclure si certain veulent être végétarien c’est leur choix, personnellement , je suis pour le droit des animaux , ce sont mes engagements et choix, et ce que je lis est une caricature des gros ( ou moyen carnassier ) , manger de la viande ne doit pas empêcher le respect envers les animaux , et le ventre ne doit pas passer avant le cerveau

  4. Posté par Cast le

    Il est aussi stupide d’être “végan” que de vouloir faire brouter une salade à un crocodile pour le nourrir !
    Au cas très probable ou vous ne le saviez pas une carotte souffre quand on l’arrache et ce malgré qu’elle ne possède pas de système nerveux. Il faut lire autre chose qu’uniquement ce qui vous arrange .

  5. Posté par Wouly le

    Dans le cochon tout est bon ! Par contre, le fait que les végan mangent des insectes ne me dérange pas. Je trouve ça complètement dégeu, mais je le dit pas ! Alors qu’ils se la coincent quand je mange une bonne fricassée de porc ou une choucroute bien accompagnée, cela risque de me faire mal digérer et dans ce cas-là je m’emporte très facilement.

  6. Posté par aldo le

    “Avec la folie vegan, aujourd’hui, manger un animal devient ni plus ni moins qu’une forme de cannibalisme” Il serait bien de préciser : “encore plus pour un musulman mangeant du cochon”. Car c’est bien là le sens de l’interdiction tout comme celle de la représentation imagée d’hallah. Comme lu, c’est la phonétique qui domine depuis la nuit des temps. Rien que cette identité phonétique entre ce pain juif et le dieu tueur distributeur de vierges ne peut qu’être une cause de grands conflits. Nous sommes sorti des l’ornière des millénaires passés. Pour éviter d’y retourner plus vite qu’il n’y paraît, iI serait grand temps de rendre obligatoire que tout le monde bouffe du cochon.

    On serait ainsi rassuré que pour tout ceux qui nous entourent le cochon n’est pas un dieu. Car j’ai toujours un doute. Tout ce qui nous arrive comme la surpopulation, l’immigration de masse, les attentats islamistes, le réchauffement de la planète ou le dérèglement climatique, l’arrivée de Macron, de la Merkel, des Sommaruga, des Cesla, de l’obsession du cul, du racisme et toutes leurs inventions apparentées, inspirées par ces socialo-islamo-bolvécho-fascistes, toutes ces calamités ne seraient-elles pas le fait des DES ADORATEURS DU DIEU COCHON ?

  7. Posté par poulbot le

    Ce n’est pas une bande de mangeur de végétaux qui va m’interdire de manger de la viande quelque soit l’animal ; j’adore le baeckeoffe et un baeckeoffe sans cochon ce n’est pas un baeckeoffe . Alors les homnivaches dehors.

  8. Posté par UnOurs le

    Qu’on consomme de la viande, oui, mais à condition que les animaux de rente soient élevés et tués sans souffrances inutiles. En fait, l’indifférence à la souffrance animale n’est pas un trait de caractère très européen. En passant, le twitter de Laurent Ozon qui illustre le fait que l’on peut n’être pas indifférent à la souffrance animale, tout en étant très très déterminé sur les questions identitaires:

    https://twitter.com/laurentozon

  9. Posté par Claire le

    L’homme a toujours été omnivore, et il a donc besoin d’une alimentation variée, contrairement aux vaches qui ne mangent que des végétaux. Il faut bien sûr assurer un minimum de “confort” aux animaux destinés à la boucherie, en évitant les élevages en batterie et en favorisant ceux où les animaux peuvent bouger librement dans la nature, comme c’était le cas naguère. Mais là, nous sommes sous le diktat des végétariens, pire des végétaliens (pourquoi utiliser le mot anglais “vegan”?), tout cela faisant partie du carcan de la pensée unique et de la bien-pensance.
    Ce plus, le cochon est devenu un symbole identitaire pas politiquement correct puisque les musulmans (et les juifs pratiquants) n’en mangent pas. Totalement discriminatoire, stigmatisant, etc.
    Cela dit, il fait partie de notre culture, de notre identité gastronomique occidentale. On en mange d’ailleurs sur toute la planète sauf dans les pays musulmans. Les Asiatiques en raffolent, comme nous.
    Vive le cochon!

  10. Posté par pierre frankenhauser le

    Finalement, manger végétarien, végan ou “carnivore” est un choix personnel. Ces moralisateurs n’ont pas de leçons à donner aux autres sur leurs goûts culinaires.

  11. Posté par pierre frankenhauser le

    Quant à ces cochons, ils étaient de toute façon condamnés, soit à finir carbonisés vivants et dans de grandes souffrances, soit à finir en barbecue après avoir été abattus rapidement, comme des milliards d’animaux sur cette Terre.

    On voit là toute l’hypocrisie de ces bonnes âmes. L’être humain a mangé de la viande pendant des centaines de milliers d’années, dont les parents de ces hypocrites et eux-mêmes. Avant cette vague vegan, cela ne les a pas dérangé de consommer du “cadavre”, que je sache. On ne les a pas entendu. On dirait que ces mongoles viennent de découvrir que les animaux de la ferme finissent dans nos assiettes. Nooonn, pas pooosssible!!! Mais c’est horrribbble. Quel scoop.

    S’ils ne sont pas contents, qu’ils aillent manger du compost, ou bien des insectes, la dernière mode occidentale. Toutefois, les spécistes ne manqueront pas de nous expliquer que les scarabées ou les chenilles souffrent également lorsqu’on les tue pour les manger. Et puis les plantes ont peut-être elles aussi une âme, qui sait. Faisons confiance à nos scientifiques pour le découvrir puis à nos journalistes pour nous culpabiliser ensuite. La sève d’un arbre, c’est son sang. On peut ainsi jouer au con pendant longtemps, à l’infini.

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