L’Association suisse vigilance islam (ASVI) et les signataires de cette pétition réclament au Centre suisse islam et société (CSIS) et à la Commission fédérale contre le racisme (CFR) d’organiser des colloques et séminaires qui traitent de leurs préoccupations et pas seulement des plaintes et préoccupations des pratiquants musulmans.
Personne ne peut ignorer que de très nombreux citoyens sont inquiets de l’expansion continue de l’islam. Nous observons des pratiques et revendications alarmantes : couverture de femmes et même d’écolières par des voiles, foulards, burkinis, burqas ; prières dans les entreprises et écoles, rites alimentaires, etc. Ces demandes dévotes remettent en question les valeurs de notre société et son caractère séculier.
Comme beaucoup de citoyens de notre pays, nous sommes nombreux à prendre la peine de lire des textes fondamentaux de l’islam et constatons leur intolérance, leur misogynie et la violence à laquelle ils incitent. Nous aimerions que le CSIS et la CFR organisent des événements qui permettent l’expression de ces constats, et ceci avec la participation d’ex-musulmans qui portent un regard critique sur l’islam et ses représentants.
Les dizaines de milliers attentats commis par des musulmans au nom de l’islam depuis le 11 Septembre, l’absence de liberté de religion dans tous les pays musulmans, les régimes qui s’inspirant de la charia sanctionnent les «transgresseurs» par des tortures telles que le fouet, tout cela nous conduit à contester fermement l’affirmation d’une absence de lien entre ces régimes liberticides, ces violences et l’islam.
Or, le CSIS et la CFR écrivent des rapports et organisent des événements exclusivement consacrés à des problèmes ressentis et dénoncés par des musulmans, événements qui sont par ailleurs financés par nous aussi, citoyens critiques. Exemple du thème mis à l’ordre du jour du 11 septembre 2017 : «Hostilité envers les musulmans: société, médias, politique». De plus, le choix de cette date pour exposer les plaintes des communautés musulmanes nous parait particulièrement choquant.
Au vu de ce qui précède, nous demandons instamment aux destinataires de cette pétition qu’ils organisent des journées de débats sur, par exemple, l’un ou l’autre des thèmes suivants :
1. Pourquoi les pratiques revendiquées par les prosélytes musulmans posent-elles problème à de nombreux citoyens de Suisse non-musulmans?
2. Quels défis rencontrent les services publics (écoles, hôpitaux, administration) et les entreprises face aux revendications musulmanes ?
3. Contenus de Coran et des hadiths: comment les imams abordent-ils le statut des femmes, la condamnation des autres religions, l’esclavage, l’apostasie, les châtiments corporels ?
Merci de signer seulement si vous résidez en Suisse!
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Excellente initiative !
Il faut faire connaître l’Islam et l’histoire islamique, tout l’Islam.
Quiz : pourquoi parle-t-on arabe en Tunisie et depuis quand ? Pourquoi les Tunisiens sont musulmans ? Quel étaient leurs religions avant l’Islam ?
Lors de la conquête du monde par les musulmans (la “diffusion de la foi” en termes islamiques), était-ce un djihad spirituel (grand djihad) ou un djihad guerrier (petit djihad) , ce qui montrerait que le djihad guerrier offensif et complètement légal en Islam ?
Car il y a la théorie islamique que la gauche déforme, mais il y a aussi la pratique islamique.
Enfin : sur quelle religion et exemple donné par un leader religieux est basé le fait qu’un majeur peut épouser une fillette de 9 ans au Yemen et en Iran ? Quel était le nom de ce leader religieux du 7e siècle ?
Le seul moyen de sortir de cette confrontation, serait de démontrer par a+b et d’attester que les textes utilisés par les musulmans définissent une LEGISLATION qui, en tant que telle, remet en cause et interfère avec les législations des états non musulmans. Car pour nos états, le terme religion a été relégué à la sphère spirituelle, alors que l’islam se pare du mot religion à des fins purement politiques.
A mon avis, ouvrir le débat renforcera plus qu’il n’affaiblira la position déjà occupée..
J’ajoute quatre points qui pourraient être discutés lors de ces journées de débats :
4. Quelle est la différence entre un musulman radicalisé et un musulman modéré et lequel des deux est le plus loyal et respectueux du coran ?
5. Apparemment, la Cour Européenne des Droits de l’Homme a déclaré l’islam incompatible avec la démocratie : qu’en pense la CFR et que compte-t-elle faire à ce sujet ?
Et même s’il n’y avait pas eu cette déclaration, l’islam est-il compatible avec la démocratie ?
6. Pour la plupart des Occidentaux, l’islam est une régression dans tous les domaines : au nom de quel droit peut-on imposer cette régression aux non-musulmans et de quel droit voudrait-on les empêcher de se défendre contre cette régression ?
7. Il y a une technique dans l’islam qui s’appelle la taqiya : la CFR est-elle consciente de l’application insidieuse de cette technique ?